Larry Sanders demande à Twitter quelle franchise devrait l’appeler : sinon le sevrage, on en est où ?

Il est des hommes dans cette Ligue qui ne changeront jamais. Car c’est ancré en eux, car il sont tombés tels des Obelix cain-ri dans une marmite de dope étant petits. Larry Sanders fait partie de ces phénomènes et il nous l’a encore prouvé hier. Surtout, ne change rien Larry.

Suspendu il y a un an et demi pour avoir consommé une substance qui n’était pas du Yop, Larry Sanders fait aujourd’hui partie de ces bannis de la NBA qui galèrent à retrouver un job malgré des qualités athlétiques évidentes et un CV intéressant (6,5 points, 5,8 rebonds et 1,8 contres en cinq saisons à Milwaukee, quasiment un double-double de moyenne en 2012/13). Pour remédier à ça, ce bon vieux Larry a donc tenté le tout pour le tout hier sur Twitter en s’adressant à ses fans, histoire de savoir selon eux quelle franchise aurait le plus intérêt à se laisser séduire par son profil de gentleman idéal. On ne sait pas encore si la technique portera ses fruits, on a bien une petite idée en fait, mais en tout cas l’ami Larry nous aura au moins fait marrer cinq minutes :

On imagine clairement les GM’s des huit équipes mentionnées se frotter les mains en attendant les résultats du sondage, des résultats au moins aussi attendus que ceux des Présidentielles ou du vainqueur de Ninja Warrior sur Tf1. Non, très sérieusement cette fois-ci, voilà là une nouvelle preuve de l’étincelle qui semble avoir grillé une partie du cerveau du bonhomme il y a quelques années, la ganja s’étant occupée des neurones restants. On ne remerciera en tout cas jamais assez Larry, lui qui comme J.R. Smith, Nick Young ou Lance Stephenson continue de nous vendre du rêve et de manière très régulière. Sauf que les trois derniers jouent encore au basket.

On se retrouve très vite pour de nouvelles aventures de Larry Sanders, probablement pas sur un parquet mais là n’est peut-être et finalement pas l’essentiel avec lui. On espère juste qu’il ne découvrira pas Periscope trop tôt. Parce que sinon ça sent la guez à plein nez.

Source image et texte : Twitter – @LarrySanders