NBA Top 10 du jour : aujourd’hui on fête l’apparition du mot préféré de Raymond Felton

Après une nuit qui aura vu Cleveland envoyer un message à la ligue et le Thunder se foutre de notre gueule face aux Kings, on enchaîne sans plus attendre avec le Top 10 du jour, idéal pour revisionner les meilleures actions de la nuit tout en apprenant plein de choses diablement intéressantes. Aujourd’hui l’apparition du mot “hamburger”, l’un des termes qui prend aujourd’hui le plus de place dans nos vies et dans nos bides.

Tout a donc commencé le 5 janvier 1889 quand pour la première fois, les Américains vont mettre un nom sur ce délice de sandwich qu’aiment se préparer les immigrés venus d’Allemagne. Durant leur traversée de l’Atlantique, les aïeux de Dirk Nowitzki prennent l’habitude de manger des steaks hachés accompagnés d’oignons, et surtout enrobés de chapelure pour que la viande puisse résister à la traversée dans la durée. Et si, dès l’arrivée des marins allemands à New York, la recette commence à attirer le chaland américain, c’est dans tout le pays que la bonne nouvelle va rapidement se répandre. De la côte Est jusqu’en Californie en passant par les Grands Lacs, le Dakota, l’Iowa, et le Colorado, ce sandwich devient rapidement l’un des symboles de l’Amérique nouvelle et après avoir réfléchi durant de longues heures, les Ricains décident donc de donner un nom à ce délice.  La recette nous vient du port de Hambourg, ce sera donc un “hamburger”.

Deux tranches de pain pour remplacer la chapelure et donner un côté swag au futur plat préféré des rondouillards et let’s go, le hamburger devient rapidement une institution aux États-Unis. Et si les States populariseront le “burger” en rajoutant par la suite cheddar, cornichons et autres sauces bien grasses, chacun aujourd’hui aime personnaliser son petit plat. Des mecs comme Raymond Felton ou Jared Dudley se laissent ainsi aller en rajoutant une demi-douzaine de fromages et des poivrons alors qu’un Boris Diaw doit sans doute apprécier le fameux hamburger farci aux grenouilles et à la persillade, le tout évidemment accompagné  de son Saint-Emilion millésimé. Quand aux GOAT de la bouffe que sont Glen Davis ou encore Sofoklis Schortsanitis, on les imagine aisément farcir leurs burgers avec de la choucroute, des sardines ou encore des poulets entiers.

Car 126 ans après le cadeau hambourgeois, le burger est bel et bien devenu une valeur sûre et ce n’est pas votre petit arrondi ventral qui viendra le contredire.

Sans transition, passons tout de suite au Top 10 de la nuit, que vous apprécierez peut-être en dégustant la vieille moitié du troisième Big Mac que vous n’avez pas pu finir hier. Et si c’est le cas, on ne vous félicite pas.

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