The Ball Never Lies #29 – Baron Davis
Le 16 avr. 2015 à 18:45 par Alexandre Martin
Quand on passe en revue la carrière de Baron Davis, le mot “bague” ne vient même pas à l’esprit puisque ce joueur spectaculaire et attachant n’a tout simplement jamais vu ne serait-ce que la couleur d’une finale de conférence.
“Il est, de loin, le meilleur meneur de la ligue actuellement.” LeBron James à propos de B-Davis en 2007
Si c’est King James qui le dit alors… La NBA a vu défiler des rois, des princes, des divas, des starlettes ou encore des marsupilamis en tout genre mais il n’y a eu et il n’y aura qu’un seul Baron ! Un noble du basket amateur de gros dunks et de pénétrations tout en puissance, un meneur tout aussi scoreur que playmaker qui a évolué dans la Grande Ligue tout au long des années 2000 et dont la détente de kangourou, la capacité à planter des points ou le sens de la passe ont été un régal pour les fans.
“Vous pouvez le mettre tout là haut avec Shaquille O’Neal et Tim Duncan en termes de leadership et de potentiel MVP ! Magic Johnson (en 2004) dans son style toujours aussi réaliste et pas du tout dans l’exagération…”
De Charlotte à New York, en passant par la Nouvelle-Orléans, Golden State et Los Angeles, Davis a eu une carrière nourrie de quelques superbes performances et surtout, il a toujours tout donné et laissé des marques indélébiles dans l’égo de ses adversaires ou dans le cœur des supporters.
The Ball Never Lies retrace ici les 13 saisons de ce Baron dont la drogue était une balle orange…