Un mois (presque) tranquille : Andrew Wiggins a enfin signé son contrat avec Cleveland
Le 25 juil. 2014 à 00:28 par Clément Hénot
L’affaire était en suspens depuis quelques temps, mais toujours dans les tuyaux malgré ces innombrables rumeurs de transferts qui pourrissent les fils d’actualité Facebook et Twitter de bon nombre d’entre nous. Elle est aujourd’hui officielle : Andrew Wiggins est enfin sous contrat avec les Cavaliers. C’est pas trop tôt !
Le canadien est également impliqué bien malgré lui dans toutes ces rumeurs de transferts qui commencent très sérieusement à nous les briser menu. Et vas-y qu’on veut Kevin Love, et vas-y qu’on veut pas vous lâcher Wiggins, et vas-y qu’on veut bien finalement… Beaucoup de pression pour un numéro 1 de Draft qui n’a toujours pas posé la moindre sneaker sur un véritable parquet NBA, et beaucoup de bourrage de crâne pour… pas grand chose au final en termes d’avancées à propos de ce transfert.
Toutefois, ce contrat, environ à hauteur de 5.5 millions de dollars pour la première année, avec augmentation les trois suivantes, signifie un petit peu de répit pour Wiggins, qui ne pourra pas être échangé durant les trente prochains jours. Kevin Love attendra donc.
Cavaliers signed No. 1 overall pick Andrew Wiggins today. He can’t be traded for 30 days.
— Adrian Wojnarowski (@WojYahooNBA) 24 Juillet 2014
“Les Cavaliers ont signé aujourd’hui le 1er choix de la Draft Andrew Wiggins. Il ne peut pas être transféré pendant 30 jours.”
Par contre, ne vous enflammez pas trop vite, car ces 30 jours de répit ne sont qu’officieux, en effet, même si aucun échange n’est possible, les Cavs et les Wolves peuvent continuer leur dialogue de sourds négociation. Sauf que “négociation” rime avec “rumeurs à la con” et on devrait donc encore bouffer de la rumeur une bonne partie de l’été.
Cette signature vient un peu plus retarder l’échéance, mais apporte une indication du salaire que devront supporter les Wolves s’ils accueillent Wiggins. Mais la Love Story est loin d’être terminée, nous ne saurons pas tout de suite s’ils vécurent heureux et eurent beaucoup d’enfants… Nous on s’en fout, on veut juste que ça se termine.
source image : Cleveland.com
source texte : Adrian Wojnarowski – Yahoo! Sports