The Ball Never Lies #8 – Dennis Rodman
Le 19 nov. 2013 à 17:02 par Alexandre Martin

De 1986 à 1999, Dennis Rodman a écrit sa légende en NBA. La légende d’un joueur pas comme les autres. Un maniaque du rebond, un fanatique de la défense sur l’homme qui a posé d’immenses problèmes aux meilleurs attaquants de la ligue qui ont croisé sa route. Les tâches obscures étaient le rayon de Rodman et il mettait un point d’honneur à les remplir à chaque rencontre…
« Ce que je fais et que personne d’autre ne fait, c’est sauter trois ou quatre fois pour un rebond. »
« J’ai plus faim que tous les autres gars. Chaque rebond est un challenge personnel. »
Chaque soir, Dennis « The Worm » dépensait une énergie fabuleuse sur les parquets, son caractère le rendait très difficile à gérer pour ses coachs ou ses partenaires mais, partout où il est passé, Rodzilla a gobé du rebond et tout donné pour contenir l’attaque adverse ce qui a fait de lui une pièce essentielle des équipes avec lesquelles il a gagné 5 bagues de champion.
« Je ne sais pas qui sera MVP de ces Finales ou pas mais ce que je sais c’est que Dennis Rodman a fait gagner ces deux matchs. Il est la raison pour laquelle ils ont autant de succès. » George Karl, à l’époque coach des Seattle Supersonics, après le match 6 des Finales de 1996 (victoire des Bulls 4-2).
Rodman est le symbole du joueur qui pèse sur un match quasiment sans marquer de points. Un OVNI, un fou, un monstre du jeu…
Portrait !
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