De 1986 à 1999, Dennis Rodman a écrit sa légende en NBA. La légende d’un joueur pas comme les autres. Un maniaque du rebond, un fanatique de la défense sur l’homme qui a posé d’immenses problèmes aux meilleurs attaquants de la ligue qui ont croisé sa route. Les tâches obscures étaient le rayon de Rodman et il mettait un point d’honneur à les remplir à chaque rencontre…
“Ce que je fais et que personne d’autre ne fait, c’est sauter trois ou quatre fois pour un rebond.”
“J’ai plus faim que tous les autres gars. Chaque rebond est un challenge personnel.”
Chaque soir, Dennis “The Worm” dépensait une énergie fabuleuse sur les parquets, son caractère le rendait très difficile à gérer pour ses coachs ou ses partenaires mais, partout où il est passé, Rodzilla a gobé du rebond et tout donné pour contenir l’attaque adverse ce qui a fait de lui une pièce essentielle des équipes avec lesquelles il a gagné 5 bagues de champion.
“Je ne sais pas qui sera MVP de ces Finales ou pas mais ce que je sais c’est que Dennis Rodman a fait gagner ces deux matchs. Il est la raison pour laquelle ils ont autant de succès.” George Karl, à l’époque coach des Seattle Supersonics, après le match 6 des Finales de 1996 (victoire des Bulls 4-2).
Rodman est le symbole du joueur qui pèse sur un match quasiment sans marquer de points. Un OVNI, un fou, un monstre du jeu…
Portrait !
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Zezichon
19 novembre 2013 à 18 h 15 min at 18 h 15 min
Une légende et un monstre des parquets. Malgré ses frasques, il détonnait complètement dans la ligue et c'est finalement pour ça qu'on l'aime. Parce qu'il s'est acquitté avec une hargne et un savoir faire inégalé des tâches les plus obscures mais tellement essentielles pour une équipe qui vise le graal, et cela a porté ses fruits avec donc 5 bagouzes à l'arrivée et une place au Hall Of Fame pour celui qui s'est tellement donné pour ce sport. Longue vie à The Worm!
ABallNeverLies
19 novembre 2013 à 18 h 25 min at 18 h 25 min
Nous sommes bien d'accord !!
@ECazenave
20 novembre 2013 à 16 h 47 min at 16 h 47 min
Un 17/20 ! Iris pas assez présente à mon goût.. Ces interventions régulières permettraient de questionner le narrateur et de rendre la chose plus drôle. Un dialogue entre un passionné qui tente vainement d'expliquer à sa moitié les subtilités de la balle orange avec la même musique, la même fluidité dans l'enchaînement des images et c'est un succès total !
Cela dit c'est en très bonne voie et ça reste mon humble avis perso 😉
@ECazenave
20 novembre 2013 à 16 h 47 min at 16 h 47 min
Un 17/20 ! Iris pas assez présente à mon goût.. Ces interventions régulières permettraient de questionner le narrateur et de rendre la chose plus drôle. Un dialogue entre un passionné qui tente vainement d'expliquer à sa moitié les subtilités de la balle orange avec la même musique, la même fluidité dans l'enchaînement des images et c'est un succès total !
Cela dit c'est en très bonne voie et ça reste mon humble avis perso 😉
ABallNeverLies
20 novembre 2013 à 18 h 05 min at 18 h 05 min
Héhé 🙂 Merci pour les compliments et pour ton avis qui n'est pas tombé dans l'oreille d'un sourd ! C'est très intéressant d'avoir ce regard extérieur.
@Vizionnaire
22 novembre 2013 à 16 h 08 min at 16 h 08 min
Bah moi c'est simple c'est LE gars qui m'a donné envie de faire du basket en 1995 ac son jersey de SA sur les épaules et, déjà, les coupes de cheveux les plus dingues de l'histoire de sport, même pas Carlos Valderama fait le poids…
Un monstre de défense, un vicieux, un chien, parfois même un enculé disons-le, et cette science du rebond, que dis-je, cet art ultime… Putain je matte des matches d'époque pour lui, même pas pour Michael, c'est dire…
ABallNeverLies
24 novembre 2013 à 20 h 28 min at 20 h 28 min
On se comprend 🙂