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Les Spurs font leur loi à Oklahoma City (117-102), 3 victoires en 3 matchs face au Thunder !!

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Les Knicks renversent Cleveland (126-124) : Mitchell Robinson, Tyler Kolek et Brunson en héros !

Victor Wembanyama Shai Gilgeous-Alexander Thunder Spurs 10 mai 2024

Thunder – Spurs, la preview : la revanche, un plat qui se mange froid même à Noël ? (20h30)

NBA Christmas Day : 5 belles affiches au menu de Noël, de 18h jusqu’au bout de la nuit !

NBA Christmas Day : cinq grands moments, à la sauce TrashTalk !

Miami Heat

Le Heat a perdu la flamme : 8e défaite en 9 matchs, pire bilan NBA sur le mois de décembre

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Troller LeBron James, la passion dévorante de Dillon Brooks

Hawks : 4 défaites en 4 matchs depuis le retour de Trae Young…

Houston Rockets

Los Angeles Clippers

Les Rockets impuissants face à Kawhi Leonard (41 points), 4e défaite en 5 matchs…

« Sportivement, il n’y a pas photo » : Victor Wembanyama balaie les comparaisons avec Chet Holmgren

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Skal Labissiere

Photo de profil page joueur NBA Skal Labissiere

John Wall court d&rsquo;un bout du terrain à l&rsquo;autre, Kawhi Leonard émerge sous le maillot des Spurs, DeMarcus Cousins est le meilleur poste 5 du moment et le tandem Damian Lillard &#8211; C.J. McCollum ambitionne un titre. Bienvenue dix ans en arrière.
Skal Labissière qui s&rsquo;engage avec les Kings, et puis quoi encore, Langston Galloway à la relance en Italie ?
Oh wait.
Ouai, avec cette signature d&rsquo;une saison &#8211; partiellement garantie &#8211; à Sacramento, Skal Labissière s&rsquo;autorise le rêve. Cela faisait depuis 2020 que l&rsquo;ailier-fort haïtien n&rsquo;avait plus donné de nouvelles à la Grande Ligue. Il n&rsquo;a en soi que 27 ans &#8211; et « seulement » 148 matchs NBA à son actif &#8211; mais son profil avait marqué. L&rsquo;un de ces grands stretchs prédisposé à s&rsquo;écarter à 3-points sur certaines situations. On rigole, mais en 2017, ce n&rsquo;était pas monnaie courante. Comment est-il (re)tombé dans les radars de Sacramento ? On ne sait pas vraiment. On n&rsquo;oublie jamais vraiment son ex, mais de là à aller le récupérer en G League, chez les Mexico City Capitanes, où ses stats n&rsquo;ont pas été flamboyantes &#8211; du moins, il n&rsquo;y a pas réalisé de percée individuelle &#8211; c&rsquo;est bizarre. Ses trois saisons passées à Sacramento de 2016 à 2019 plaident sûrement pour lui. On garde le souvenir d&rsquo;un haut potentiel physique, qui n&rsquo;a finalement pas été exploité dans les temps. Mais bon, il ne revient pour l&rsquo;instant que pour le camp d&rsquo;entraînement, à l&rsquo;issue duquel, une place l&rsquo;attend sûrement aux Stockton Kings, la franchise de G League de Sacramento.
<blockquote class="twitter-tweet tw-align-center">
Skal Labissiere has agreed to a partially guaranteed one-year deal with the Sacramento Kings, his agent Daniel Hazan of Hazan Sports Management told <a href="https://twitter.com/TheAthletic?ref_src=twsrc%5Etfw">@TheAthletic</a> <a href="https://twitter.com/Stadium?ref_src=twsrc%5Etfw">@Stadium</a>. Labissiere returns to franchise that selected him in first round in 2016 and where he played for 3 years.
— Shams Charania (@ShamsCharania) <a href="https://twitter.com/ShamsCharania/status/1693759710359335285?ref_src=twsrc%5Etfw">August 21, 2023</a></blockquote>
<script async src="https://platform.twitter.com/widgets.js" charset="utf-8"></script>

Skal Labissière signe un contrat d’un an non garanti avec les Kings

Séduisant lors de sa saison rookie, Skal Labissiere a eu un peu plus de mal sur son début de seconde saison en NBA. Fini le côté surprenant, le longiligne intérieur des Kings sait qu&rsquo;il est attendu et doit étoffer sa palette : récemment, ça va de mieux en mieux.
Hormis une blessure à l&rsquo;épaule qui l&rsquo;a empêché de jouer pendant ce récent mois de février et des passages par la G-League freinant son développement en mode TGV chez les plus grands, Skal a joué la plupart des rencontres à Sacramento cette saison, 48 pour être précis. Avec un temps de jeu un poil plus élevé, le bonhomme a cependant alterné entre le très bien et le très frustrant, notamment à cause de son manque de connaissance du jeu au plus haut niveau. Doué, Labissiere l&rsquo;est, mais encore bien vert aussi. Du coup, après le côté surprenant de sa première saison NBA, les anciens à l&rsquo;intérieur l&rsquo;ont accueilli avec le couteau entre les dents et quelques bonnes leçons d&rsquo;expérience. Une saison qui fût donc difficile jusqu&rsquo;ici pour lui, sachant que certaines de ses performances l&rsquo;an dernier faisaient fantasmer pas mal de monde, que ce soit à Sacramento ou ailleurs. Cependant, sous la tutelle de quelques vétérans et un staff patient, Skal n&rsquo;a pas paniqué et commence à retrouver ses sensations. Des minutes, des responsabilités, et ce signe imparable qui montre clairement quand un joueur se met à bien comprendre la Ligue : comment contribuer quand le shoot ne rentre pas. Avec ses sécateurs à la place des bras et une mobilité sensationnelle, Labissiere fait savoir sa présence dans sa peinture et les contres pleuvent de plus en plus fréquemment, tout en limitant les fautes stupides et en gobant du rebond. Un apprentissage long, à fort potentiel, sur lequel l&rsquo;intéressé est récemment revenu pour le Sacramento Bee.
<blockquote>
“L&rsquo;an passé j&rsquo;avais l&rsquo;impression de parfois errer sur le terrain, en essayant de comprendre des choses ici et là. Je pense que cette année, j&rsquo;apprends davantage, ce qui se passe dans la Ligue, comment jouent les autres intérieurs. [&#8230;] Il faut que je me tienne plus bas pour accepter le challenge physique, les adversaires me rentrent dedans, ils voient ma taille et et vont essayer de me tester. Je dois travailler sur le fait d&rsquo;accepter le contact, être présent et le provoquer en premier. [&#8230;] Que mon shoot ne rentre ou pas, j&rsquo;essaye d&rsquo;impacter le jeu de différentes façons, que ce soit au rebond, au contre, des petites choses. Je pense qu&rsquo;une chose que je peux contrôler, c&rsquo;est mon niveau d&rsquo;effort. On en a parlé avec le staff récemment et j&rsquo;essaye de m&rsquo;appliquer tous les soirs.”
</blockquote>
Sur les 6 dernières rencontres, Skal regarde la quasi-trentaine de minutes de jeu dans les yeux et sa production suit forcément. 20 points sur la tête des Wolves, 12 rebonds et 3 contres face au Jazz, 4 passes décisives sur les Lakers, on retrouve petit à petit le phénomène qui dunkait avec rage et berçait les nuits des Kings en deuxième partie de saison dernière. Bis repetita cette année ? Peut-être bien. Car avec une vingtaine de matchs à jouer, une franchise qui a décidé de donner les clés aux jeunes et un Zach Randolph qui devrait davantage enchaîner les repos que les balles au poste, les opportunités seront présentes pour Labissiere. Maintenant, reste à voir comment peut-il grandir dans son jeu. Être encore meilleur balle en main, défendre encore plus intelligemment, et pourquoi pas se transformer en arme redoutable sur pick and roll comme pick and pop avec Bogdan Bogdanovic et De&rsquo;Aaron Fox. Surtout qu&rsquo;en ce moment, à Sacramento, ce n&rsquo;est pas comme si un franchise player était déjà posé avec les clés de la team dans ses mains. Les Kings veulent voir lequel de ses phénomènes va devenir the man, et Skal en montre des prémices certains soirs. Avec six semaines à jouer, on ne peut donc que souhaiter au Haïtien de taper quelques cartons, histoire d&rsquo;entamer la saison prochaine avec ce que les jeunes demandent le plus : un spot précis, un temps de jeu régulier, des responsabilités annoncées.
Willie Cauley-Stein et Skal Labissiere, paire d&rsquo;intérieurs du turfu pour les Kings ? C&rsquo;est le projet. Maintenant, s&rsquo;il fallait parier sur un des deux boys pour devenir un grand grâce à son talent, on pourrait se pencher vers le second. A lui de jouer sur cette fin de saison.
Source : Sacramento Bee

Skal Labissiere commence à capter son rôle en NBA : le jeu ralentit pour le Haïtien aux longs bras

Auteur d’une première saison prometteuse en NBA, Skal Labissiere pourrait bien être la victime du départ de George Hill dans l’Ohio. À l&rsquo;heure du développement de ses jeunes talents, la franchise californienne pourrait bien sacrifier son sophomore afin de se débarrasser du trop lourd contrat du meneur vétéran. 
Vingt-huitième choix de la Draft 2016, l’ailier fort de 21 ans drafté par Phoenix et échangé dans la foulée aux Kings contre un pick de Draft et deux clopes pourrait se voir demander de faire à nouveau ses valises, afin de partir loin de Sacramento. La franchise de Vivek Ranadive a pourtant récemment décidé de moins faire jouer ses anciens, comme Zibo et Vince Carter par exemple, afin de développer au maximum ses jeunes sur la deuxième partie de saison. Cela peut sembler logique, étant donné que la franchise est clairement en pleine reconstruction. Possédant le pire bilan de la Ligue avec le Magic (14-33), les Kings sont en pôle position pour récupérer un très bon pick de Draft. Labissiere lui, pourtant auteur d’une bonne première saison en ayant produit en moyenne 8,8 points et 4,9 rebonds, semble stagner depuis le début de l’exercice 2017-18 et pour un paquet de raisons. Rien d’inquiétant, puisqu’il n’est que sophomore et conserve une marge de progression importante, enregistrant sensiblement les mêmes stats que l’an passé avec 8 points et 4 rebonds, ainsi que le même temps de jeu de 18 minutes. Cependant, c&rsquo;est ce potentiel brut et ce manque de jump en deuxième année qui le rend transférable. À noter qu’il a déjà joué 41 matchs depuis le début de la saison, contre seulement 33 en tant que rookie.
N’étant donc pas une pièce maîtresse dans une équipe de Sacramento qui cherche à repartir de zéro, tout semble designer Labissiere comme l’opportunité parfaite de faire de la place dans le roster aclifornien. Et si les Kings cherchent à libérer un siège dans leur équipe, ce serait en vu d’un potentiel deal avec la franchise de <del>LeBron</del>  l’Ohio. En effet, selon plusieurs sources proches du dossier, les Kings seraient disposés a céder George Hill aux Cavaliers, probablement en échange de deux joueurs qui pourraient s’avérer être Iman Shumpert et Channing Frye. C&rsquo;est une base, autour de laquelle danser et assaisonner, mais elle est bien réelle car les insiders s&rsquo;accordent sur la même note à ce propos. Pour Sacramento, cela permettrait de dire au revoir à un vétéran possédant un contrat un peu trop lourd par rapport a ce qu’il démontre sur les parquets, puisque Hill devrait toucher 37 millions de dollars d’ici 2020, en ne produisant que 10,3 points, 2,8 passes et 2,9 rebonds depuis le début de la saison. Grassement payé pour initialement gérer les jeunes, George est aujourd&rsquo;hui le premier à faire la grimace. Les Kings ayant déjà 15 contrats validés dans leur effectif, la franchise californienne pourrait donc arranger un deal voyant Labissiere ou Malachi Richardson faire leurs bagages, afin de pouvoir assimiler les pièces venues de Cleveland.
Si la potentielle destination de Skal Labissiere n’a pas encore fuité, on espère que ce changement d’air permettra à ce rookie avec une belle marge de progression de step up, afin de définitivement trouver sa place dans un roster qui lui permettrait de s’épanouir pleinement. Le talent est là en plus, clairement.
Source : ESPN

Skal Labissiere pourrait faire les frais du deal de George Hill : nouveau départ pour l’Haïtien ?

Drafté l’année dernière par les Suns puis envoyé aux Kings, Skal Labissière avait montré des choses intéressantes tout au long de sa saison rookie. Avec des performances en légère baisse depuis la reprise, le sophomore ne s’attendait surement pas à cela mais il a été affecté à l’équipe de G-League de sa franchise.
Rappelez-vous de l’engouement qu’il y avait pour cette équipe des Kings durant l’été. On se disait que le mix entre les jeunes et les vétérans aurait pu rendre cette équipe agréable à regarder, que la reconstruction après le départ de DeMarcus Cousins avait plutôt bien commencé. Toute cette petite hype autour de la franchise californienne a bien disparu depuis, pour laisser place à une indifférence totale pour cette équipe sauf lorsqu’<a href="https://trashtalk.co/2017/11/28/les-kings-qui-se-tapent-les-warriors-a-loracle-arena-au-finish-cest-combien-sur-lechelle-du-lol/" target="_blank" rel="noopener">ils ont réussi à se taper les Warriors</a> la semaine dernière. Les Kings sont pour l’instant à la quatorzième place de la Conférence Ouest avec un triste bilan de 7 victoires pour 16 défaites. Dans ce cas là on pourrait se dire que la saison est terminée, qu’il faut passer à autre chose et attendre la prochaine en mettant en avant les jeunes mais ce n’est malheureusement pas la vision des Kings sur cette situation.
Le sophomore de 21 ans, Skal Labissière, a été envoyé dans l’équipe de G League affiliée aux Kings. Les dirigeants de Sacramento ont surement voulu combler la blessure de Willie Cauley-Stein en ramenant le pivot Georgios Papagiannis pour le remplacer mais le jeune ailier-fort ne méritait pas cela. Certes son début de saison n’est pas exceptionnel avec 7,7 points et 4 rebonds de moyenne mais le talent est bien là et ce n’est que sa deuxième saison en NBA alors qu’il n’a joué que 33 matchs l’année dernière. Pendant ce peu de rencontres auxquelles il a participé, il s’est distingué avec de très grosses performances. Il a notamment inscrit 25 points face à Houston mais surtout 32 contre les Suns qui l’avaient jeté pendant l’été. C’est donc assez bizarre de voir les Kings se séparer d’un joueur qui a montré de très belle choses, surtout dans cette saison où aucun résultat n’est attendu mais il existe peut-être une raison interne que l’on ignore.
Il n’y a pas vraiment pire sanction que d’envoyer un joueur dans la ligue mineur mais ce sera le sort réservé à Skal Labissiere. Le sophomore ne mérite pas vraiment cela, on espère tout de même qu’il sortira vivant de cette expérience douloureuse. 
Source texte : Tony Xypteras/<a href="https://www.sactownroyalty.com/2017/12/5/16739250/sacramento-kings-send-skal-labissiere-to-reno-bighorns-call-up-georgios-papagiannis" target="_blank" rel="noopener">Sactownroyalty.com</a>

Skal Labissière envoyé en G League : les Kings ne voudraient surtout pas risquer de développer son potentiel

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