Giovanni in Paris – épisode zéro : l’histoire d’un Bressan qui prépare un été olympique

Le 20 mars 2024 à 17:56 par Giovanni Marriette

Giovanni in Paris Episode 0 20 mars 2024
Source image : Léonce Barbezieux

Si vous êtes un Français, à peu près normalement constitué, et que vous suivez un tant soit peu l’actualité, alors vous savez que 2024, en France, sera une année à part. Si vous êtes français ET fan de sport, alors nous savons tous deux comme l’approche de ces Jeux Olympiques apporte ce petit lot de papillons dans le ventre à la seule pensée du possible, la pensée de moments historiques auxquels nous allons pouvoir assister. Mais alors… si vous êtes Français, fan de sport, Bressan et rédacteur en chef d’un média sportif en 2024, déjà c’est bizarre car c’est que vous êtes littéralement moi, mais ça veut donc dire que vous allez avoir la chance de suivre tout cela au cœur même de l’aventure.

Messieurs dames, l’histoire qui va suivre est celle d’un homme qui s’apprête à lier l’utile à l’agréable. Un homme qui s’en va couvrir les Jeux Olympiques de Paris 2024, sur place, à domicile. Enfin à domicile… pas vraiment. Car en bon bressan pur jus, plus adepte de la réalisation d’une fondue à l’état sauvage plutôt que capable d’adaptation dans le grand monde, cela aussi risque de représenter son lot d’aventure. Et c’est justement tout cela que je vais vous conter. En vous promettant d’en profiter pour mille et de vous faire partager toute mon expérience, comme si vous y étiez.

Giovanni in Paris, épisode zéro, let’s go !

Peut-on décemment imaginer mieux. Rêver plus grand, oui on peut, parait même que si les gens ne rient pas quand tu leur parles de ton rêve, c’est que tu ne rêves pas assez grand. Rêver plus grand oui, mais en ce qui concerne le domaine du réalisable… difficile de faire mieux. A mon échelle en tout cas. Sachez tout de même qu’il y a vingt ans je dormais dans une Clio, qu’il y a dix je vendais des bananes, et qu’il y a encore cinq je me destinais, pourquoi pas, à un futur d’éducateur spécialisé. Dans trois mois ? Je serai donc Place de la Concorde à Paris, avec une accréditation officielle délivrée par le CIO, pour représenter TrashTalk et vous raconter à ma façon le tournoi olympique de basket-ball 3×3.

Ce grand écart…

Au menu de cette rubrique qui ne survivra pas à 2024 ? Du ressenti, des sourires, une grande aventure. Où, quand, comment et avec qui, vous saurez absolument tout sur mon emploi du temps parisien. Tant pour vous moquer de mon incompréhension face à un plan du 8è arrondissement que pour lire en exclusivité les notes perso d’un chanceux sur place, aussi bien pour suivre quasiment en live tout ce qu’il se passe sur le demi-terrain que pour me donner de la force quant à la claustrophobie qui m’empêche de m’approcher de la moindre station de métro. Si si.

Combien d’épisodes pour cette série absolument pas disponible sur Netflix mais plutôt sur Netflip ? Quatre, ou cinq ou dix-sept, peu importe, l’essentiel sera vous l’aurez compris de vous retranscrire au mieux ce qu’il se passe de plus important dans ma vie olympique dans les prochains mois. Spoiler au passage, le premier épisode me mènera non pas à Paris mais à… Marseille, le 31 mai prochain, pour prendre la température 3×3 aux côtés des Équipes de France et de leurs staffs.

Qu’est-ce qu’on mange, où est-ce qu’on dort, plutôt IPA ou Tropico ? C’est quoi le 3×3, qui sont les collègues sur place, et vais-je pouvoir participer à la compétition de breakdance, de “breaking” comme ils disent ? Rien, RIEN ne sera laissé de côté, ne serait-ce que par respect pour ceux qui auraient voulu en être mais qui n’ont pas pu, pour une raison ou une autre. Je me ferai ainsi la voix du peuple, tout en détente mais avec sérieux, pour laisser gravé dans le marbre une aventure qui s’annonce comme l’une des plus incroyables de ma vie.

Bonus track ? L’idée sera aussi de rencontrer du monde, évidemment, entre deux avenues parisiennes, pour partager ensemble selfies et belles histoires, éclats de rire et expérience. Via mes réseaux, oui je me prends pour Kim Kardashian, n’hésitez pas à sonner à ma porte. Et si personne ne sonne n’ayez crainte, je dirai simplement que, zut, la sonnette était sans doute cassée.

Giovanni in Paris le compte à rebours est lancé, et je dois bien avouer que j’ai rarement été aussi excité. Excitation positive car l’évènement est historique, mais du stress également car mon but est vraiment de vous faire profiter de tout ça comme si vous y étiez, à ma façon. Très hâte de m’envoyer une raclette en terrasse sous 30 degrés, entre deux matchs de 3×3 bien sûr. A très vite !

Remerciements à TrashTalk, à Thomas, à Léonce, et à la vie en général