Les 10 bonnes raisons de suivre les Brooklyn Nets sur la saison NBA 2023-24
Le 09 oct. 2023 à 14:33 par Nicolas Vrignaud
La saison NBA 2023-24 reprendra le 24 octobre et d’ici-là, c’est la tradition, TrashTalk vous propose un tour d’horizon complet des 30 franchises qui composent la Grande Ligue. Au cœur de ce calendrier très complet des 30 Previews en 30 Jours ? 10 bonnes raisons de suivre chacune des trente franchises NBA. Aujourd’hui les Nets, qui ont plus de raisons d’être une équipe à mater que vous pouvez le penser.
#1 Les montagnes russes Cam Thomas
On le sait. On le SAIT. Cam Thomas qui enchaîne les DNP et les 3 points par ci par là en sortie de banc à l’heure où les vendeurs de tacos du Barclays Center commencent à plier la boutique en se disant que le chiffre d’affaires du soir était entre le “moyen” et le “passable”. Mais il y aura cette série de trois ou quatre matchs. Celle où Cam Thomas se transformera en Michael Jordan prime. Ces matchs où même Mikal Bridges s’assoira sur le banc pour regarder avec le sentiment d’être un privilégié. Celle où les adversaires pourront tenter ce qu’ils veulent, même ramener le SWAT, et Cam Thomas leur en plantera quand même 50. Et celle où nous autres fans de NBA ne regretteront jamais de s’être dit “Allez, ce soir je clique sur les Nets”.
#2 Nic Claxton qui tourne à 3,8 contres de moyenne
Il sera sans doute le marche-pieds de la moitié des marsupiaux qui peuplent cette fantastique NBA. Mais dans le même temps, Nic Claxton empêchera une partie des fusées de décoller. En leur rabâchant une main de fer dans la ganache, synonyme d’un passage dans les hautes sphères du Top Ten matinal. ‘”Il faut souffrir pour être belle” que disait l’adage. Nic Claxton l’a compris, version basket.
#3 Les travaux de Royce O’Neale
Le genre de gars que vous détestez s’il est contre vous. Que vous adulez s’il est avec vous. Le type qui peut sortir du terrain avec trois airballs et 2 planches, mais qui sera heureux car il a pris le mental d’un adversaire pour en faire une salade niçoise. Un pur joueur, sans doute parmi ceux que le basket à de meilleurs en termes de psychologie. Car il est battant, car il aime ça et surtout car il facilite le jeu de tous les autres sans dire le moindre mot.
#4 La bromance Bridges – Johnson
Du pain béni pour l’équipe communication, et que ça sort des photos sur Insta toutes les trois heures. Les deux joueurs venus de Phoenix ont une relation amicale particulière, à la vie à la mort et surtout au basket. On a hâte de voir leur collection de high five qui durent plus longtemps que le temps fort saisonnier des Wolves.
#5 Darius Bazley qui fait n’importe quoi
Darius Bazley. La NBA a connu des gens sans cerveau, mais Darius est un cas presque spécial. Sur les réseaux, sur le terrain. Un gars qui pète un plomb et joue LeBron James en 1 contre 1 comme s’il était son égal. Une bouffée d’air frais au coeur de nos nuits intenses.
#6 Ian Eagle aux commentaires
Une voix iconique, qui nous fait vivre le match depuis Belleville sur Vie comme si l’on était à Brooklyn. Une voix qui accompagne presque tout autant que les joueurs ce doux rêve que nous avons de la NBA. Un grand commentateur, qui fait qu’on va préférer s’enjailler sur un match pourrave de Brooklyn en imaginant le frisson d’un poster de Nic Claxton.
#7 Le coup de balai au premier tour des Playoffs
Ouais, parce qu’en l’état actuel, l’effectif y va tout droit, et c’est sans leur faire tort ni les sous-estimer.
#8 Dorian Finney-Smith en majuscule
Parce qu’il était la coqueluche à Dallas. Parce que le compte fan français l’adulait. Tiens, est-ce qu’il pourrait se renommer Dallas Nets Fr cette saison ? C’est en tout cas l’objectif secret de DFS : devenir le chouchou du Barclays Center.
DSJ reste en NBA 1 an de plus 🥹🥹🥹
La réunion DORIAN FINNEY-SMITH × Dennis Smith Jr#DaSmithWay https://t.co/mKxtB99RXE
— Dallas Mavs France (@DallasMavsFr) July 1, 2023
#9 Les derbys avec les Knicks
L’un des matchs les plus chauds de l’année (non). Une rivalité dans la ville qui ne dort jamais, pour faire croire aux Knicks qu’ils doivent s’inquiéter des Nets, pour les voir quand même serrer un peu les fesses lors d’une défaite de leur équipe. Pour les avoir vu jubiler lors de l’effondrement définitif de la super team KD – Kyrie, pour les voir chialer de rage quand Bridges en plantera 45 devant les fans du Barclays Center.
#10 Les gens qui bouffent du quinoa dans les gradins
Brooklyn, quartier branché et artistique de la Grosse Pomme. L’endroit où les gens qui consomment tout autant de vapeurs d’échappement que les habitants du Queens ou du Bronx peuvent se donner bonne conscience en buvant de l’IPA brassée dans le pâté de maisons à trois rues de chez eux, parce que c’est classe et surtout que c’est local. Des gens qui vous disent que la vie est tranquille dans un quartier rempli de peintres (basket inclus ?). Le quartier où ça s’envoie des pokebowls sans arrière pensée alors qu’une bonne salade de gésiers est infiniment plus bonne. Le Barclays Center, cet endroit où le quinoa est vendu en broches parce que c’est à la mode.
Source : @Nets, YouTube