Les highlights 2019-20 de LaMelo Ball : passage express par les Hawks… d’Illawarra, avant de débouler sur le podium de la Draft

Le 11 nov. 2020 à 12:23 par Giovanni Marriette

Du 9 au 16 novembre TrashTalk glisse tranquillement vers l’évènement de l’automne : la NBA Draft 2020. Chaque jour un profil en vidéo, et chaque jour quelques minutes de highlights pour vous faire une petite idée des phénomènes qui débarqueront bientôt dans la Ligue. Parce qu’il ne faut plus traîner, parce que la NBA est – déjà – bientôt de retour. Acte 2 aujourd’hui avec un nom bien connu du grand public : Ball. Après LaVar et Lonzo, voici venir LaMelo Ball, peut-être bien le produit le plus réussi (le seul ?) de la famille.

Et le petit lien utile pour retrouver le profil en vidéo, sur ta chaîne YouTube préférée bien sûr

LaMelo Ball est-il un vrai joueur de basket ? Est-il simplement un personnage de plus dans la télé-réalité géante orchestrée depuis quelques années par son père ? Réponse dans quelques semaines, mais quoiqu’il en soit le talent de LaMelo parait indéniable. Parti jouer les explorateurs pendant un an en Australie, sorte d’Erasmus version basket-ball, le deuxième Ball est annoncé comme le meilleur de la famille, et tout simplement comme l’un des meilleurs basketteurs de sa promo. On a déjà vu ça hein. Ses 17 points, 7,6 rebonds et 6,8 passes dans un championnat d’adultes sont autant d’indicateurs positifs sur son niveau, ses milliards de shoots ratés du parking n’en sont pas, mais dans une équipe qui comptait également dans ses rangs des têtes connues comme David Andersen, Josh Boone ou Aaron Brooks, LaMelo a assumé son rôle de baby star sans faire de vague. Aujourd’hui c’est donc un podium de Draft qui s’offre à lui, malgré des interviews un peu foirées dans lesquelles il semble avoir eu du mal à épeler son propre nom ou quelque chose dans le genre. La seule garantie le concernant ? La franchise qui le récupérera s’offrira une bonne dose de hype et – surtout – un joueur attiré par le cercle et par les highlights, un attaquant-né avec tout ce que ça comporte comme avantages et comme inconvénients.

Neuf minutes d’agressivité et d’explosivité vers le panier, neuf minutes de no-look passes, neuf minutes de… récréation à la sauce Ball. Ca passe ou ça casse, mais si ça passe la NBA a peut-être trouvé l’un de ses futurs chouchous.


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