NBA Top 10 du jour : c’est officiel, on a trouvé le game-winner le plus pété de la saison
Le 11 avr. 2017 à 08:52 par Giovanni Marriette
La vie n’est pas faite que d’histoires merveilleuses et le Top 10 du matin est là pour vous le prouver. Car si la carrière de Jonathon Simmons est sur le point de vraiment décoller, celle d’Allan Theo ne fût qu’une lente descente sur l’échelle de la hype.
Allan qui ? Allan Theo. Ni Houston ni Ratliff, mais seulement un petit frenchie qui fut en son temps l’idole du pays mais dont personne aujourd’hui ne serait capable de reconnaître le visage. Car vous vous rappelez forcément de ces paroles tirées directement d’une pièce de Shakespeare :
Emmène-moi… I know you wanna give it up, there’s no easy way to say… I’m gonna save my love for you… emmène-moi.
Voilà voilà, juste pour vous rappeler qu’en 1998, plus d’un million de personnes apprécieront cette chanson au point d’acheter l’album d’un Allan Theo qui mettra par ce fait les deux pieds dans la folie de l’époque, celle qui entourait les 2B3, Worlds Apart, Alliage ou autres Poetic Lovers. Le seul problème d’Allan ? Le pauvre homme voulait faire de la vraie musique… sauf que ses producteurs n’étaient pas d’accord. Résultat, un retour brutal dans le quasi-anonymat, de petites scènes avec les copains et même… un peu de porno avec sa femme et la sœur jumelle de cette dernière (elle-même actrice accomplie dans le milieu), parce que ça n’est pas drôle si ce n’est pas un peu original. Également sensibilisé par la lutte contre la maladie d’Alzheimer et très engagé en matière d’autisme, Allan Theo aura donc eu plusieurs vies. Celle d’un gamin qui rêvait de faire de la musique, celle du même gamin obligé de rester dans le moule et celle de l’ancien gamin qui s’autorise aujourd’hui à faire ce qu’il aime. On dirait pas comme ça, mais la génération boys band aura cassé de sacrés rêves.
Allez, emmène-moi, et envoyez le Top 10.