Golden State : une bague qui rend-beau Warriors

Le 30 oct. 2015 à 19:29 par David Carroz

Wikipédiatre Golden State Warriors

TrashTalk Service Announcement : cet article n’a d’autre but que de vous dresser le portrait d’un joueur, d’une franchise ou de tout autre acteur de la NBA en jouant sur les mots pour vous divertir, en visant un contenu ludique. La lourdeur des blagues composant cette rubrique n’ayant d’égal que la légèreté avec laquelle nous vous conseillons de la lire, nous vous remercions de votre grande mansuétude.

Après notre escapade sur le Vieux Continent pour voir l’Euro et se mettre une mine en buvant de l’Espa-gnôle, continuons notre périple pour rejoindre la ville des Champions NBA. C’est donc plus à l’Est encore que j’arrive à Auckland pour me rendre compte qu’en fait, je suis à l’Ouest. Si des guerriers sont présents, ce ne sont pas les Warriors. Y’Haka repartir d’où je viens maintenant, le seul basketteur croisé dans ses contrées lointaines étant Steven Adams qui a souhaité me présenter Stephen Kaori, un soi-disant super shooteur du pays.

Peu importe, direction la Californie, une frontière entre mer et terre, le désert et la vie. Oakland, sans Francisco, le souverain pontife étant resté au Vatican avec ses sous-papes de sécurité. De toute façon, il n’entend pas grand chose au basket, lui qui voue sa vie au Messi. Bref, revenons à nos moutons – enfin pas ceux de Nouvelle-Zélande – et aux Dubs, l’équipe En Vogue en ce moment dans la Ligue. Il faut dire qu’après un titre – personne nous fera croire que Dawn Robinson et ses acolytes en ont réalisés plus – on a forcément la cote. La côte aussi, dans la baie, à proximité de la mer-curry. Pas étonnant que personne n’ait pu les stopper et que l’envie de chanter “We are the Champions” leur soit passée par la tête.

golden state warriors

Chris Paul tient à remercier Steph Curry grâce à qui il a obtenu le rôle de Néo dans le remake de Matrix.
Source : youtube.com

Pourtant, peu attendaient Draymond et merveilles de cette équipe il y a quelques mois, la franchise venant de dire Sorry Mister Jasckon pour miser sur Kerr. Rien à dire, il a fait un super Jobs, Steve, même si c’est Stephen Curry qui Apple souvent les systèmes tirés des books pros de son coach. Mais ne nous voilons pas la face, ou la fesse si on est naturiste, le meneur n’est pas la seule raison du succès des Warriors. Thompson a par exemple lui aussi les Klay de la réussite de Golden State. Les “Spash Brothers” comme on les appelle, soit les Frères Splash, sont un peu comme les frères Dalton sauf qu’il ne sont que deux et tirent probablement plus vite que Lucky Luke. De quoi s’offrir un statut de All Star Ac’, contrairement à Mychal, dont on attend toujours de savoir s’il a volé l’orange du marchand car il avait la dalle, Curry.

Hippie ce n’est pas tout ce qu’il se tram à San Francisco. Andrew Bogut par exemple, bucheron australien, peut parfois se poser des questions sur son rôle. Hêtre ou ne pas hêtre titulaire ? Ça ne le chêne pas plus que ça, ni ne frêne ses ardeurs, il continue à faire son bouleau. Thuya vu se plaindre ? Ça lui donne un côté Le Forestier. Il faut dire qu’il vit pépère dans une maison bleue, adossée à la colline, on y vient à pied, on ne frappe pas… enfin Andrew peut le faire si besoin, c’est sa Maxime.

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Le problème à San Francisco, c’est qu’avec tous les hippies qui fument, Raymond est vite super Green.
Source : scifiinterfaces.wordpress.com

Si Iggy a fait Pop lors des Finales face à LeBron, la Brute, mais pas de truand, il n’est qu’un Passanger sur le banc des Dubs, l’Iguane-dola n’ayant pas pris le dessus sur le “Faucon noir” Barnes. Pas de chute pour lui, Harrison, Ford d’une place dans le 5 réclame maintenant sa part du butin, ce qui pourrait faire du tintamarre en fonction du montant qu’il touchera, loin d’être un simple bout de ficelle. Oui je sais il manque un marabout, mais le coach Steve est actuellement au repos après avoir confié l’équipe à Walton d’un très sobre : Luke, je suis ton Kerr. Passons maintenant au 5ème élément des Dubs, Green. Super Green. L’ouvrir, ça lui tient Tucker et jamais nous ne Besson le volume quand il lance ses punchlines. Depuis que les Dubs l’ont Milla, titulaire, il régale et ses prestations ne sont pas à mettre à la Korben.

Voilà ce qui a fait des Warriors l’an dernier une équipe intouchable comme Elliot Ness, un monstre. Mais attention à ne pas se reposer sur ses lauriers. Curry, tu pleurs, tu vis puis tu meurs. Trois petits tours et puis s’en vont les petits voleurs, alors que les grands garçons se retrouvent en finale. Qu’en sera-t-il de la bande, non pas à Renaud, mais à Steph ? La réponse bientôt dans les backs, 2-backs, ou 2Pac. Mais le meneur le sait, seule la victoire sera belle, Curry. N’en déplaise à Doc “Cry me a” Rivers.

Source image : Anto Hollywotion pour TrashTalk


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