Quand Victor Wembanyama répond à un message sur Insta trois ans plus tard

Le 29 mai 2024 à 09:48 par Julien Vion

Victor Wembanyama Spurs 14 avril 2024
Source image : YouTube

Des joueurs NBA qui se font critiquer sur les réseaux sociaux, rien de nouveau sous le soleil. Ceux qui répondent sont un peu plus rares. Mais dans ceux qui prennent la peine de retrouver des balles perdues plus de trois ans après, il n’y a que… Victor Wembanyama. 

Si les athlètes professionnels répondaient à chaque mention qu’ils recevaient sur internet, pas sûr qu’ils en verraient le bout. Surtout quand on commence à gagner en réputation, il y aura toujours des énergumènes pour venir gâcher la fête.

Il y a 187 semaines, une page de basket sur Instagram postait innocemment une photo intitulée “Un espoir NBA âgé de 16 ans domine des adultes lors de l’ouverture de la saison en France”. Accompagné de quelques highlights de Victor dans la foulée, le post hypait tranquillement les milliers de followers des États-Unis et d’ailleurs. Mais dans le lot, un internaute se permet d’exprimer son désaccord. “Il ne fera rien de tout ça en NBA” marque-t-il, sans même un petit “cordialement” à la fin du message.

Wemby avait peut-être vu passer la balle et avait probablement préparé un rappel sur son calendrier le 21 octobre 2020 :  “Ne pas oublier de répondre au hater”. Parce que plus de 3 ans plus tard, le rookie de l’année a rétorqué avec son compte : “Et pourquoi pas ?”. Effet assuré.

Mdr Wemby il oublie rien https://t.co/D1RORPlqOb

— Nico TrashTalk 🏀 (@nicolasmeichel) May 28, 2024

Dans les poches du jean de Wembanyama, on retrouve donc les objets suivants : ses clés de maison, son téléphone portable, Jabari Smith Jr., un plan de la planète terre (bizarre ça), Chet Holmgren et un ticket de caisse avec le lien de chaque message reçu sur les réseaux. Oui, il a de très grandes poches.

Dans l’histoire de la NBA, Victor Wembanyama n’a cessé de s’inspirer de son modèle Kevin Durant. Mais s’il se met à l’imiter dans son utilisation des réseaux sociaux, on est pas au bout de nos surprises. 


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