8/13 du parking pour Sam Merrill, il est où le numéro vert pour l’envoyer au concours à 3-points du All-Star Game ?

Le 23 janv. 2024 à 07:53 par Giovanni Marriette

Sam Merrill 23 janvier 2024
Source image : YouTube

Parmi les belles surprises de cette saison 2023/24 en NBA, l’avènement au royaume des shooteurs du dénommé… Sam Merrill. Sorti de nulle part, le blondinet n’en finit plus de pilonner à 3-points, et son adresse fait partie des raisons pour lesquelles les Cavs tournent aussi bien.

Drafté en 2020 avec le 60ème choix, Sam Merrill est un peu comme ce gamin boutonneux à lunettes choisi en dernier dans la cour d’école. Sauf que Sam, lui, a opté pour les lentilles et a poncé toute la gamme Biactol, au point de devenir le beau gosse de la bande et, accessoirement, son sniper le plus dangereux.

Pour beaucoup, Sam Merrill c’est ce bolosse qui a posé pour la NBA devant la Tour Eiffel… en short. En janvier. Alors qu’il faisait – 2000 degrés.

NBA Paris Game Cavaliers

Bien vu l’artiste, car ce petit coup de boost de popularité aura finalement permis de mettre encore plus de lumière sur les perfs du shooteur des Cavs passé auparavant par le Hustle de Memphis et le Cleveland Charge, en G League, après avoir attaqué sa carrière NBA par un titre en 2021 avec les Bucks, faudrait pas l’oublier non plus.

Cette saison ? L’homme ne regarde pas la météo mais il regarde le cercle. 8,1 points par match, à plus de 42% du parking, et parfois sur des volumes très conséquents, comme par exemple… cette nuit à Orlando, un match lors duquel ce bon Sammy s’est régalé en première mi-temps avant de terminer sa soirée avec 26 points au compteur, à un petit point de son record en carrière (27 face au Jazz le 20 décembre dernier).

Les Cavs continuent de gagner, en sifflotant, et ce malgré l’absence de Darius Garland et Evan Mobley. De bonne augure avant le retour des leaders pour épauler Donovan Mitchell, et assez flippant de se dire que très bientôt un sniper de la trempe de Sam Merrill se retrouvera neuvième ou dixième homme de la rotation des Cavs.

Un problème de riche, dont s’acclimatera sans doute J.B. Bickerstaff, tout heureux de voir qu’il possède en ses rangs un mec qui pose des clims tout en n’ayant pas peur de prendre froid. Et sinon, le concours à 3-points du All-Star Weekend, ça lui dit pas ?


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