Les highlights de Karl-Anthony Towns en 2021-22 : le grand KAT a rajouté quelques posters à sa collection

Le 12 oct. 2022 à 13:36 par Mattis Monier

Les saisons s’enchaînent et se ressemblent pour Karl-Anthony Towns : beaucoup de points et pas mal d’actions spectaculaires. Rien de nouveau la saison dernière à part que l’équipe a commencé à gagner des matchs, et que ça donne une toute autre saveur à ses highlights.

Le premier choix de la Draft 2015 est arrivé en NBA comme le nouveau crack intérieur capable de s’écarter avec son shoot ultra scolaire, de défoncer les raquettes avec son jeu de jambes et sa mobilité élite et de porter l’équipe dans laquelle il atterrirait au sommet de la NBA. Bon, pour le dernier critère, on y est pas encore, mais pour ce qui est du scoring pur, KAT n’a jamais déçu. All-Star lors de ses troisièmes et quatrièmes saisons dans la Ligue, il a depuis trois ans été victimes de pas mal de pépins physiques ou personnels qui ont ralenti son processus d’apprentissage en tant que franchise player. Certes, ce titre ne lui sera probablement plus attribué – s’il reste à Minnesota – étant donné la montée en puissance d’Anthony Edwards, l’autre premier choix de Draft des Wolves, mais il a longtemps eu les espoirs et les regards de toute la Ligue pour devenir un jour le numéro 1 d’une équipe qui gagne. En attendant de voir comment évolue l’arrière explosif de la meute, on va pouvoir profiter de KAT pendant encore de nombreuses années à Minnesota puisqu’il a signé début juillet une énorme prolongation avec les Wolves, jusqu’à 2028. Une récompense bien méritée pour celui qui pourrait être le numéro 1 bis ou le numéro 2 de la franchise pendant une demi décennie encore et qui tournait cette saison à 24,6 points au tir dont 41% du parking. Sans oublier 10 rebonds et 1 contre. Le talent du gros minou est certain et il aura peut-être davantage l’occasion de le montrer cette année, en tout cas dans sa zone de confort, maintenant que Rudy Gobert va s’occuper des sales tâches dans la raquette.

Allez on se laisse avec cette compilation de KAT qui arrache tout, qui dribble, qui passe et qui plante son record en carrière.  Et on en profite pour saluer les arceaux NBA qui ont passé de sales quart d’heures à chaque fois que Towns a fait des siennes.