TrashTalk

Le Shop TrashTalk

Houston Rockets

Seattle Supersonics

Golden State Warriors

Minnesota Timberwolves

Oklahoma City Thunder

Phoenix Suns

San Antonio Spurs

Denver Nuggets

Dallas Mavericks

Los Angeles Lakers

Sacramento Kings

Utah Jazz

Memphis Grizzlies

Washington Wizards

Toronto Raptors

Philadelphia 76ers

Orlando Magic

New York Knicks

Milwaukee Bucks

Miami Heat

Indiana Pacers

Detroit Pistons

Cleveland Cavaliers

Chicago Bulls

Charlotte Hornets

Brooklyn Nets

Boston Celtics

Los Angeles Clippers

Atlanta Hawks

Portland Trail Blazers

New Orleans Pelicans

E. Mudiay

T. Hardaway Jr.

M. Hezonja

E. Freedom

D. Schroder

P. George

N. Vonleh

K. Knox II

M. Robinson

F. Ntilikina

D. Dotson

R. Baker

A. Trier

J. Grant

T. Ferguson

S. Adams

P. Patterson

A. Nader

N. Noel

T. Luwawu-Cabarrot

H. Diallo

R. Felton

A. Abrines

D. Burton

Photo de profil page joueur NBA Kevin Knox II

<h2 style="text-align: center;">Kevin Knox II selon TrashTalk</h2>
<p style="text-align: justify;">Dire que certains ont cru en un mec qui se pointe avec un costard Fortnite à la Draft. Kevin Devon Knox II &#8211; Kevin Knox en version courte &#8211; est un joueur de basketball américain qui évolue actuellement chez les Rip City Remix en NBA G League. Il mesure 2m06, pèse 98 kg, et il joue au poste d&#8217;ailier ou d’ailier fort. Né à Phoenix en Arizona (États-Unis) le 11 août 1999, Kevin Knox II a été sélectionné au 9ème choix de la Draft NBA 2018 par les New York Knicks. Il a participé à 5 saisons en NBA dans sa carrière. Kevin Knox II a porté les maillots des New York Knicks, des Atlanta Hawks, des Detroit Pistons et des Portland Trail Blazers en NBA.</p>
<p style="text-align: justify;">C’est avec une étiquette de potentiel 3&amp;D (joueur spécialisé dans le tir à 3 points et la défense) ou de stretch four (ailier fort qui s’écarte du cercle) que Kevin Knox II est arrivé en NBA. Mais deux choses auraient dû nous mettre la puce à l’oreille : premièrement, ce sont les New York Knicks qui l’ont sélectionné à la Draft, et on sait qu’ils ont rarement le nez creux dans cette situation. Ensuite Kevin Knox II est venu à la Draft avec un costume dont la doublure de la veste portrait une énorme inscription Fortnite. On voit le sens des priorités.</p>
<h3 style="text-align: center;">Kevin Knox II n’a pas envie d’exploiter son potentiel</h3>
<p style="text-align: justify;">Si Kevin Knox II réalise une saison rookie encourageante avec 12,8 points et 4,5 rebonds de moyenne, il n’a jamais confirmé les attentes placées en lui après sa carrière NCAA et ce premier exercice NBA. Il faut dire que certaines facettes de sa personnalité qui entravent sa progression étaient connues : capable de disparaître sur le parquet, vision et intelligence de jeu limitée, difficulté à accepter le rôle qui lui convient le mieux… Tout ça se ressent aujourd’hui. Car malgré un physique intéressant et une capacité à scorer de nombreuses façons (en transition, au cercle, à mi-distance et dans une moindre mesure à 3 points), Kevin Knox II ne parvient pas à s’imposer en NBA.</p>
<p style="text-align: justify;">Pire, alors qu’il a squatté dans des équipes sans grandes ambitions &#8211; les Portland Trail Blazers lors de la saison 2022-23 alors que Damian Lillard était blessé, les Detroit Pistons 2023-24 &#8211; Kevin Knox II se fait couper à chaque fois. Des mots durs, mais qui ne surprennent pas tant on le sent peu concerné et absolument pas dans une optique de progression. Si bien qu’aujourd’hui, c’est la G League qui lui tend les bras.</p>
<p style="text-align: justify;">Désormais aux Rip City Remix dans la ligue de développement, Kevin Knox II semble s’éloigner de la NBA. Peut-être qu’une saison complète en G League lui fera prendre conscience des efforts à fournir pour jouer dans la grande ligue. Mais ce n’est pas gagné.</p>


Kevin Knox II

Photo de profil page joueur NBA Dennis Schroder

<h2 style="text-align: center;">Dennis Schroder selon TrashTalk</h2>
<p style="text-align: justify;">Le “Denis la Malice” de la NBA. Dennis Schroder est un joueur de basketball allemand évoluant actuellement chez les Brooklyn Nets en NBA. Il mesure 1m85, pèse 78kg, et il joue au poste de meneur. Né à Brunswick (Allemagne) le 15 septembre 1993, Dennis Schroder a été sélectionné en 17ème choix de la Draft NBA 2013 par les Atlanta Hawks et a participé à 10 saisons en NBA dans sa carrière. Dennis Schroder a bien roulé sa bosse en NBA en portant les couleurs des Atlanta Hawks, de l&#8217;Oklahoma City Thunder, des Los Angeles Lakers, des Toronto Raptors, des Boston Celtics, des Brooklyn Nets et des Houston Rockets.</p>
<p style="text-align: justify;">Dennis Schroder est un profil un peu touche-à-tout. Il a les capacités pour scorer à un très haut niveau mais manque de constance dans ses prestations. Ses limites à 3-points (moins de 34% en carrière) et son besoin d’avoir la balle en main pour peser sont ses principaux défauts. Dennis Schroder marque essentiellement grâce à ses qualités de dribbleur et sa grande vitesse pour se rapprocher au maximum du cercle. Schroder est aussi un bon créateur pour ses coéquipiers et un défenseur très correct. Il compense notamment sa petite taille (1m85) par sa ténacité et ses mains actives en défense. Du talent à tous les étages mais trop d’irrégularité donc pour vraiment s’imposer comme un cador en NBA.</p>
<h3 style="text-align: center;">Dennis Schroder, joueur lambda en NBA mais superstar en sélection</h3>
<p style="text-align: justify;">Censé incarner le futur du basket allemand à son arrivée en NBA en 2013, Dennis Schroder a mis quelques saisons pour montrer son potentiel. Il a commencé son ascension chez les Atlanta Hawks, où il est devenu titulaire pour tourner autour des 20 points et 6 passes décisives par match. Son passage au Oklahoma City Thunder entre 2018 et 2020 lui a ensuite permis de s’affirmer comme l’un des remplaçants les plus impactants de NBA. Schroder a notamment terminé deuxième dans la course au Sixième homme de l’année en 2020. Dennis Schroder portera ensuite les couleurs des Lakers, des Celtics, des Rockets, des Raptors et des Nets.</p>
<p style="text-align: justify;">Pas toujours titulaire en club mais globalement performant, Dennis Schroder est logiquement devenu un cadre en sélection nationale. Successeur du mythique Dirk Nowitzki en tant que star de l’équipe d’Allemagne, Schroder a montré un niveau impressionnant lors des compétitions internationales. Son jeu, plus taillé pour le style FIBA, lui a permis de s’imposer comme l’un des joueurs majeurs sur la scène mondiale. Schroder a ainsi intégré le cinq majeur de l’EuroBasket 2022 où il a fini troisième de la compétition, avant de remporter le titre de champion du monde et MVP de la Coupe du Monde 2023 malgré un panel de stars comme Luka Doncic ou Shai Gilgeous-Alexander. La définition même du joueur métamorphosé lorsqu’il porte les couleurs de son pays.</p>
<p style="text-align: justify;">Grand talent inconstant en club mais vrai Kaiser en sélection, tel semble être le destin de Dennis Schroder. Si Dennis la Malice ne remporte jamais de titre NBA, il pourra au moins se réconforter devant son armoire à trophées avec l’Allemagne.</p>


Dennis Schroder

Photo de profil page joueur NBA Mitchell Robinson

<h2 style="text-align: center;">Mitchell Robinson selon TrashTalk</h2>
<p style="text-align: justify;">Il joue le même poste et porte le même nom mais non, il ne s’agit pas du fils caché de David Robinson. Mitchell Robinson est un joueur de basketball américain qui évolue actuellement aux New York Knicks en NBA. Il mesure 2m13, pèse 109kg, et il joue au poste de pivot. Né à Pensacola (Floride) le 1er avril 1998, Mitchell Robinson a été sélectionné en 36ème choix de la Draft NBA 2018 par les New York Knicks et a participé à 5 saisons en NBA dans sa carrière.</p>
<p style="text-align: justify;">Mitchell Robinson possède un profil de pivot à l’ancienne. Peu porté sur le tir, Robinson brille grâce à ses qualités athlétiques très près du cercle, où il peut marquer à un fort pourcentage. Mitchell Robinson détient d’ailleurs le record d’adresse au tir global sur une saison NBA avec 76% de shoots réussis lors de la saison 2021-22, c’est mieux que Wilt Chamberlain ! Mais bien que très efficace, Robinson reste un attaquant limité techniquement. Mitchell Robinson est aussi connu pour sa tendance à faire trop de fautes mais aussi son nombre important de blessures. Il compense ses défauts par un grand apport au rebond (notamment offensif) et une solidité défensive de premier plan, notamment dans la protection de cercle. Un bon gardien du temple prêt pour les combats musclés à l’intérieur de la raquette.</p>
<h3 style="text-align: center;">Mitchell Robinson, plus fort que la “malédiction Charlie Ward”</h3>
<p style="text-align: justify;">Joueur très prometteur au lycée, Mitchell Robinson était attendu comme un joueur du Top 15 voire du Top 10 de sa Draft NBA. Sa décision de ne pas aller à l’université pour privilégier l’entraînement individuel (premier joueur à emprunter cette voie) a néanmoins impacté négativement sa cote auprès des recruteurs, et il n’a finalement été choisi qu’en début de second tour. Cela n’a pas empêché Robinson de s’imposer comme un solide pivot dès sa première saison NBA, devenant progressivement le titulaire du poste chez les New York Knicks.</p>
<p style="text-align: justify;">Si Mitchell Robinson n’est pas le joueur qui fait le plus parler de lui, il a prouvé qu’il pouvait réussir. Même dans une franchise aussi exigeante et médiatisée que celle des New York Knicks, où de nombreux jeunes joueurs se sont perdus. En 2022, Mitchell Robinson est devenu le premier joueur drafté par les Knicks à prolonger à l’issue de son contrat rookie depuis… 1999 et un certain Charlie Ward. Pas un mince accomplissement.</p>
<p style="text-align: justify;">Mitchell Robinson ne sera peut-être jamais All-Star ou sur le devant de la scène, mais il a encore le temps d’épurer son jeu pour peser toujours plus à New York, aux côtés de Jalen Brunson, Julius Randle et OG Anunoby. Reste désormais à connaître son plafond.</p>


Mitchell Robinson

Photo de profil page joueur NBA Tim Hardaway Jr.

<h2 style="text-align: center;">Tim Hardaway Jr selon TrashTalk</h2>
<p style="text-align: justify;">Pas la carrière du papa mais pas de quoi rougir pour autant. Tim Hardaway Jr. est un joueur de basketball américain évoluant actuellement aux Dallas Mavericks en NBA. Il mesure 1m96, pèse 92kg, et il peut jouer au poste d’arrière ou d’ailier. Né à Alameda (Californie) le 16 mars 1992, Tim Hardaway Jr. est le fils de Tim Hardaway, ancien joueur NBA et membre du Naismith Basketball Hall of Fame. Tim Hardaway Jr. a été sélectionné en 24ème choix de la Draft NBA 2013 par les New York Knicks et a participé à 10 saisons en NBA dans sa carrière.</p>
<p style="text-align: justify;">Surnommé “THJ”, Tim Hardaway Jr. est le prototype même du joueur NBA qui est là pour shooter, scorer et… c’est à-peu-près tout. Comme son père avant lui, Tim Hardaway Jr. a des facilités au tir. C’est un shooteur de qualité, même si ses pourcentages à 3-points en carrière (plus de 36% de loin) ont tendance à connaître des hauts et des bas du fait du grand volume de tirs tentés. Si les tirs à 3-points ne rentrent pas, Hardaway peut aussi attaquer le cercle grâce à ses qualités athlétiques. Défensivement, Tim Hardaway Jr. a toujours été un joueur particulièrement moyen, même s’il est capable d’aider lorsqu’il se motive.</p>
<h3 style="text-align: center;">Tim Hardaway Jr., sorti de l’ombre de son père</h3>
<p style="text-align: justify;">Avant d’arriver en NBA, Tim Hardaway Jr. a été membre des Wolverines de Michigan en NCAA. Cette université est notamment connue pour l’époque du “Fab Five” au début des années 1990 avec des futurs All-Stars comme Chris Webber ou Juwan Howard dans ses rangs. En trois saisons à Michigan, Tim Hardaway Jr. a disputé une finale NCAA en 2013, perdue contre les Cardinals de Louisville</p>
<p style="text-align: justify;">Fils d’un Hall of Famer et drafté par les New York Knicks, on peut dire que Tim Hardaway Jr. possédait une bonne dose de pression au moment de débuter sa carrière NBA. Hardaway a néanmoins prouvé qu’il pouvait gérer ça en réalisant une première saison accomplie, lui offrant une place dans la NBA All-Rookie First Team en 2014. Il progresse ensuite petit à petit sur les saisons suivantes, principalement dans un rôle de scoreur, tantôt avec les Knicks tantôt chez les Atlanta Hawks. Tim Hardaway Jr. se stabilise enfin en 2019 après son transfert chez les Dallas Mavericks. À Dallas, Hardaway Jr. joue davantage en sortie de banc mais il n’en reste pas moins l’un des principaux scoreurs de son équipe, en soutien de la superstar slovène Luka Doncic. Tim Hardaway Jr. a notamment réalisé trois saisons à plus de 200 tirs à 3-points marqués chez les Dallas Mavericks, un record de franchise.</p>
<p style="text-align: justify;">Tim Hardaway Jr. n’aura jamais la carrière de son père mais il a au moins réussi à s’acheter un prénom (enfin presque) en NBA grâce à ses accomplissements personnels. Plus de 10 000 points en carrière et un vrai rôle de sixième homme au sein d’une franchise NBA compétitive, beaucoup aimeraient avoir le même C.V..</p>


Tim Hardaway Jr.

Photo de profil page joueur NBA Jerami Grant

<h2 style="text-align: center;">Jerami Grant selon TrashTalk</h2>
<p style="text-align: left;">Neveu d’Horace Grant, quatre fois champion NBA et ancien coéquipier de Michael Jordan, et fils d’Harvey, ancien joueur NBA, Jerami Grant possède la balle orange dans le sang. Mesurant 2m03 pour 95 kilos, il est un joueur américain de basketball qui évolue au poste d’ailier-fort sous le maillot des Portland Trail Blazers en NBA. Il représente ainsi les couleurs de sa ville natale, lui qui est né à Portland le 12 mars 1994. Sélectionné en 39e choix de la Draft NBA 2014 par les Philadelphia Sixers, Jerami Grant a participé à 9 saisons NBA dans sa carrière, portant les couleurs des 76ers donc, du Oklahoma City Thunder, des Denver Nuggets, des Detroit Pistons et désormais des Portland Trail Blazers.</p>
<h3 style="text-align: center;">Jerami Grant, presque All-Star sans y être attendu</h3>
<p style="text-align: left;">Jerami Grant est un joueur qui s’est progressivement imposé comme un ailier calibre All-Star en NBA. S’il n’a jamais eu l’honneur de participer au match des étoiles dans sa carrière, il est réputé pour sa capacité à bien défendre tout en ajoutant 20 points par match en attaque. Une double casquette qui lui a ouvert les portes de l’équipe nationale pour les Jeux Olympiques 2020 de Tokyo, où il a remporté une médaille d’or aux côtés de Kevin Durant et Jayson Tatum.</p>
<p style="text-align: left;">Malgré son héritage familial, peu de spécialistes imaginaient Jerami Grant devenir un joueur aussi solide des deux côtés du terrain. Celui qui a été drafté seulement au deuxième tour en 2014 a en effet intégré la NBA dans un rôle de spécialiste défensif avec son envergure de 2m20. C’est un rôle qu’il a joué pendant les six premières années de sa carrière, notamment au Oklahoma City Thunder dans l’ombre de Russell Westbrook et Paul George, puis chez les Denver Nuggets de Nikola Jokic et Jamal Murray avec qui il a participé aux Finales de Conférence Ouest dans la bulle anti-COVID d’Orlando en 2020.</p>
<h3 style="text-align: center;">Scorer chez des nuls, mieux que gagner chez des bons</h3>
<p style="text-align: left;">C’est justement après ce joli parcours avec Denver que Jerami Grant a choisi de partir dans une franchise des Detroit Pistons en reconstruction afin d’avoir plus de responsabilités offensives. Il en a profité pour prendre une nouvelle dimension en attaque, à tel point qu’il a terminé deuxième dans la course au Most Improved Player en 2021. Après deux saisons dans le Michigan, Jerami Grant a été transféré chez les Portland Trail Blazers de Damian Lillard, où il a confirmé son ascension en réalisant une belle saison 2021-22 avec 20,5 points par match et un pourcentage de réussite record à 3-points pour lui (40,5%). C’est également avec Portland qu’il a réalisé son plus grand match en carrière avec 44 points marqués dans le mythique Madison Square Garden de New York, le 25 novembre 2022.</p>
<p style="text-align: left;">De quoi lui permettre de décrocher une énorme prolongation contrat de 160 millions de dollars sur cinq ans en tant qu’agent libre à l’été 2023. À Jerami Grant de prouver désormais qu”il mérite chacun de ces billets verts.</p>


Jerami Grant

Photo de profil page joueur NBA Paul George

<h2 style="text-align: center;">Paul George selon TrashTalk</h2>
<p style="text-align: justify;">Aussi élégant que talentueux avec un ballon dans les mains, Paul George est un joueur de basketball américain qui évolue actuellement aux Los Angeles Clippers en NBA. Il mesure 2m03, pèse 100kg, et joue au poste d’ailier. Né à Palmdale (Californie) le 2 mai 1990, Paul George a été sélectionné en 10e choix de la Draft NBA 2010 par les Indiana Pacers. Il a participé à 13 saisons en NBA dans sa carrière, aux Pacers, au Thunder puis aux Clippers.</p>
<h3 style="text-align: center;">Paul George, un two-way player de référence</h3>
<p style="text-align: justify;">Paul George est l’un des joueurs les plus complets de la NBA actuelle. Adroit au tir, excellent scoreur, polyvalent et très solide en défense, l’ailier des Los Angeles Clippers n’a que très peu de faiblesses dans son jeu. George a participé au NBA All-Star Game à huit reprises dans sa carrière et a été nommé six fois dans l’une des trois meilleures équipes de la saison NBA (dont une fois dans la première, en 2019). En plus de ça, Paul George a été élu quatre fois dans l’une des deux meilleures équipes défensives de la saison NBA (deux fois dans la première), et a terminé meilleur intercepteur de la NBA en 2019. Ses qualités lui ont permis d’être sélectionné par l’équipe nationale américaine pour les Jeux Olympiques 2016, où il a remporté la médaille d’or avec Team USA. Un très joli palmarès pour un joueur qui n’était pourtant pas considéré comme une future star au moment de son arrivée en NBA.</p>
<h3 style="text-align: center;">PG-13, une blessure terrible</h3>
<p style="text-align: justify;">Surnommé “PG-13” (ses initiales et son numéro), Paul George est sorti de la petite université de Fresno State avec l’étiquette de joueur prometteur mais pas forcément transcendant. Néanmoins, George a montré assez vite qu’il possédait l&#8217;étoffe des grands. Sous les couleurs des Pacers, l’ailier a d’abord été nommé dans la deuxième équipe des meilleurs rookies (débutants) 2011. Deux années plus tard, en 2013, Paul George a reçu le titre de joueur ayant le plus progressé en NBA. Devenant un scoreur à 20 points par match et très bon défenseur, il a aidé les Indiana Pacers à atteindre les Finales de Conférence Est en 2013 et 2014, durant lesquelles George a livré plusieurs gros duels contre LeBron James et le Miami Heat. Son ascension a malheureusement été stoppée net par une terrible blessure à la jambe lors d’un match amical avec l’équipe nationale américaine en 2014. Paul George est ainsi resté éloigné des terrains jusqu’en 2016. À force de courage et de détermination, George est revenu à son meilleur niveau avec les Pacers, avant de se faire transférer chez le Oklahoma City Thunder de Russell Westbrook à l’été 2017. C’est au Thunder que Paul George a peut-être réalisé sa meilleure saison NBA en carrière en 2018-19, terminant troisième dans la course au MVP. Mais une élimination prématurée d’Oklahoma City lors des Playoffs NBA a provoqué un nouveau transfert de Paul George, cette fois-ci chez les Los Angeles Clippers.</p>
<p style="text-align: justify;">De retour dans sa Californie natale aux côtés de Kawhi Leonard, Paul George est arrivé à Los Angeles avec l&#8217;objectif d’apporter un premier titre NBA à la franchise californienne. Malgré de belles saisons individuelles chez les Clippers, George n’a pas pu faire mieux que de les emmener en Finales de Conférence Ouest (2021), la faute notamment à plusieurs blessures pour lui et Kawhi Leonard. Peut-il remporter un titre NBA avant la fin de sa carrière ?</p>


Paul George

Match du 14 novembre 2018 : Oklahoma City Thunder vs New York Knicks

Score

Statistiques New York Knicks

Statistiques Oklahoma City Thunder