TrashTalk

Le Guide des Playoffs NBA 2024

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J. Harden

R. Covington

E. Payton

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J. Randle

P.J. Tucker

D. House Jr.

R. Westbrook

J. Green

A. Rivers

E. Gordon

B. McLemore

M. Harkless

T. Gibson

B. Portis

K. Knox II

M. Robinson

F. Ntilikina

W. Ellington

Photo de profil page joueur NBA Kevin Knox II

<h2 style="text-align: center;">Kevin Knox II selon TrashTalk</h2>
<p style="text-align: justify;">Dire que certains ont cru en un mec qui se pointe avec un costard Fortnite à la Draft. Kevin Devon Knox II &#8211; Kevin Knox en version courte &#8211; est un joueur de basketball américain qui évolue actuellement chez les Rip City Remix en NBA G League. Il mesure 2m06, pèse 98 kg, et il joue au poste d&#8217;ailier ou d’ailier fort. Né à Phoenix en Arizona (États-Unis) le 11 août 1999, Kevin Knox II a été sélectionné au 9ème choix de la Draft NBA 2018 par les New York Knicks. Il a participé à 5 saisons en NBA dans sa carrière. Kevin Knox II a porté les maillots des New York Knicks, des Atlanta Hawks, des Detroit Pistons et des Portland Trail Blazers en NBA.</p>
<p style="text-align: justify;">C’est avec une étiquette de potentiel 3&amp;D (joueur spécialisé dans le tir à 3 points et la défense) ou de stretch four (ailier fort qui s’écarte du cercle) que Kevin Knox II est arrivé en NBA. Mais deux choses auraient dû nous mettre la puce à l’oreille : premièrement, ce sont les New York Knicks qui l’ont sélectionné à la Draft, et on sait qu’ils ont rarement le nez creux dans cette situation. Ensuite Kevin Knox II est venu à la Draft avec un costume dont la doublure de la veste portrait une énorme inscription Fortnite. On voit le sens des priorités.</p>
<h3 style="text-align: center;">Kevin Knox II n’a pas envie d’exploiter son potentiel</h3>
<p style="text-align: justify;">Si Kevin Knox II réalise une saison rookie encourageante avec 12,8 points et 4,5 rebonds de moyenne, il n’a jamais confirmé les attentes placées en lui après sa carrière NCAA et ce premier exercice NBA. Il faut dire que certaines facettes de sa personnalité qui entravent sa progression étaient connues : capable de disparaître sur le parquet, vision et intelligence de jeu limitée, difficulté à accepter le rôle qui lui convient le mieux… Tout ça se ressent aujourd’hui. Car malgré un physique intéressant et une capacité à scorer de nombreuses façons (en transition, au cercle, à mi-distance et dans une moindre mesure à 3 points), Kevin Knox II ne parvient pas à s’imposer en NBA.</p>
<p style="text-align: justify;">Pire, alors qu’il a squatté dans des équipes sans grandes ambitions &#8211; les Portland Trail Blazers lors de la saison 2022-23 alors que Damian Lillard était blessé, les Detroit Pistons 2023-24 &#8211; Kevin Knox II se fait couper à chaque fois. Des mots durs, mais qui ne surprennent pas tant on le sent peu concerné et absolument pas dans une optique de progression. Si bien qu’aujourd’hui, c’est la G League qui lui tend les bras.</p>
<p style="text-align: justify;">Désormais aux Rip City Remix dans la ligue de développement, Kevin Knox II semble s’éloigner de la NBA. Peut-être qu’une saison complète en G League lui fera prendre conscience des efforts à fournir pour jouer dans la grande ligue. Mais ce n’est pas gagné.</p>


Kevin Knox II

Photo de profil page joueur NBA Taj Gibson

<h2 style="text-align: center;">Taj Gibson selon TrashTalk</h2>
<p style="text-align: justify;">La définition du parfait soldat ? Peut-être bien. Taj Gibson est un joueur de basketball américain actuellement sans contrat. Il mesure 2m06, pèse 105 kilos, et il peut jouer au poste d’ailier-fort ou de pivot. Né à Brooklyn (New York) le 24 juin 1985, Taj Gibson a été sélectionné en 26ème choix de la Draft NBA 2009 par les Chicago Bulls et a participé à 14 saisons NBA dans sa carrière. Taj Gibson a porté les couleurs des Chicago Bulls, de l&#8217;Oklahoma City Thunder, des Minnesota Timberwolves et enfin des New York Knicks.</p>
<p style="text-align: justify;">Taj Gibson a un profil qui aurait bien collé dans le basket rugueux des années 90. C’est un véritable col bleu, un travailleur acharné qui n’hésite jamais à aller au charbon pour défendre les couleurs de son équipe. Gibson est surtout précieux pour ses qualités défensives, aux rebonds mais aussi sa combativité et son professionnalisme sans faille. En attaque, Taj Gibson est capable de contribuer mais il n’a jamais été réputé pour ses talents offensifs (seulement 5 saisons au-dessus des 10 points de moyenne en carrière). Gibson connaît son rôle, celui du soldat qui fait les tâches ingrates, et il s’y tient.</p>
<p style="text-align: justify;">Taj Gibson débute sa carrière NBA en 2009 chez les Chicago Bulls, où sa combativité et ses efforts défensifs sont particulièrement appréciés par le coach Tom Thibodeau. Précieux joueur de rotation chez les Bulls de Derrick Rose et Joakim Noah, il est néanmoins échangé au Oklahoma City Thunder après 7 saisons, lorsque Chicago décide de débuter un nouveau cycle. Taj Gibson jouera ensuite avec les Minnesota Timberwolves, les New York Knicks et les Washington Wizards.</p>
<h3 style="text-align: center;">Taj Gibson et Tom Thibodeau, les inséparables</h3>
<p style="text-align: justify;">En NBA, il arrive qu’il soit impossible de dissocier la carrière d’un joueur de celle d’un entraîneur. C’est le cas pour Gregg Popovich avec Tim Duncan, ou Phil Jackson avec Michael Jordan et Kobe Bryant. Cela vaut aussi pour… Taj Gibson et Tom Thibodeau. Sur les 14 saisons NBA de Taj Gibson, Thibodeau a été son coach à 9 reprises. Taj Gibson avait notamment rejoint les Minnesota Timberwolves en 2017 afin de retrouver Tom Thibodeau. Gibson a également porté le maillot des Knicks entre 2019 et 2024, avec &#8211; vous l’avez deviné &#8211; Thibodeau comme entraîneur. Thibs (le surnom de Tom Thibodeau) n’a d’ailleurs jamais caché l’admiration qu’il avait pour celui qui fut son grognard pendant une décennie entière.</p>
<p style="text-align: justify;">Taj Gibson n’a jamais été aussi proche de la retraite et la suite est déjà toute connue : une place dans le staff de Tom Thibodeau. On ne change pas un tandem qui se kiffe après tout.</p>


Taj Gibson

<h2 style="text-align: center;">Russell Westbrook selon TrashTalk</h2>
<p style="text-align: justify;">De la dynamite dans les jambes, du liquide corrosif pour alimenter les cordes vocales… le basket NBA version rock. Voilà ce qu’est Russell Westbrook, un joueur de basketball américain mesurant 1m91 pour 91 kilos, et évoluant au poste de meneur de jeu. Il a été sélectionné avec le 4ème choix de la Draft 2008 par les SuperSonics de Seattle et a joué 16 saisons en NBA, sous les couleurs du Oklahoma City Thunder, des Houston Rockets, des Washington Wizards, des Los Angeles Lakers puis de leurs voisins, les Los Angeles Clippers.</p>
<h3 style="text-align: center;">Un MVP sauce triple double</h3>
<p style="text-align: justify;">Russell Westbrook est un joueur ultra-spectaculaire. Sorti de l’Université de Californie à Los Angeles (UCLA), il a fait ses classes en NCAA, le championnat universitaire américain. Sa force première ? Une détente exceptionnelle, un dynamisme d’un nouveau genre pour le poste de meneur de jeu. S’il n’a encore remporté aucun titre NBA, Russell Westbrook s’est illustré en rentrant dans l’histoire de la NBA et du basket sur le plan individuel. Participant au All-Star Game à 9 reprises, Russell Westbrook a été élu MVP de la rencontre en 2015 et 2016. Son plus grand succès ? MVP de la saison régulière en 2016-17, notamment après avoir battu le record de triple-double sur une saison (42). Russell Westbrook est également devenu le second joueur de l’histoire de la NBA à enregistrer une saison en triple-double de moyenne, après le légendaire Oscar Robertson. Un exploit qu’il reproduira par deux fois en carrière, terminant à nouveau en triple-double de moyenne en 2017-18 et 2018-19. Un joueur exceptionnel, capable de réaliser des actions décisives.</p>
<h3 style="text-align: center;">L&#8217;histoire inachevée au Thunder</h3>
<p style="text-align: justify;">Malgré ce talent hors-normes, la carrière de Russell Westbrook n’a pas toujours été un long fleuve tranquille. Drafté par les SuperSonics de Seattle, il n’aura jamais le luxe de jouer pour les Verts et Or, puisque la franchise déménage à Oklahoma City en 2008 pour devenir le Oklahoma City Thunder. Sous le maillot du Thunder, Russell Westbrook évolue notamment avec Kevin Durant et James Harden, eux aussi produits de la Draft C’est surtout avec Kevin Durant qu’une magnifique histoire s’écrira, puisque le duo emmènera le Thunder jusqu’aux Finales NBA en 2012. Des Finales perdues, mais le futur NBA semble leur appartenir. Russell Westbrook évolue avec Kevin Durant jusqu’en 2016, mais KD quitte l’équipe alors qu’ils avaient presque fait chuter la meilleure équipe de l’histoire, les Golden State Warriors de Stephen Curry. Désormais aux commandes du Thunder, Russell Westbrook envoie ses meilleures saisons en carrière avec des triple-doubles, impressionnant fans et médias soir après soir.</p>
<h3 style="text-align: center;">Russell Westbrook déménage</h3>
<p style="text-align: justify;">L’arrivée de Paul George en 2018 vient l’aider, mais le Thunder est éliminé en Playoffs par les Blazers et un tir monstrueux de Damian Lillard. En 2019, Russell Westbook est transféré chez les Houston Rockets, où il retrouve James Harden. Ses saisons NBA sont encore superbes, mais la sauce ne prend pas. Russell Westbrook enchaîne en 2020 chez les Washington Wizards, avant de filer chez les Los Angeles Lakers pendant deux ans, sous les ordres de LeBron James et Anthony Davis. Son jeu est moins tranchant, il change de registre et devient un créateur. Après une saison, il est transféré à la Trade Deadline hivernale chez les Los Angeles Clippers en passant par le Utah Jazz. Aux côtés de Kawhi Leonard, Paul George et le Français Nicolas Batum, il s’épanouit plutôt bien mais les Clippers sont à nouveau éliminés des Playoffs. Après 16 ans en NBA, Russell Westbrook en est au crépuscule de sa carrière, mais laissera quoi qu’il arrive une trace ineffaçable dans l’histoire de la NBA. Son objectif ? Prendre sa retraite avec une bague de champion NBA, une récompense bien méritée pour un joueur… unique.</p>


Russell Westbrook

Photo de profil page joueur NBA P.J. Tucker

Photo de profil page joueur NBA Mitchell Robinson

<h2 style="text-align: center;">Mitchell Robinson selon TrashTalk</h2>
<p style="text-align: justify;">Il joue le même poste et porte le même nom mais non, il ne s’agit pas du fils caché de David Robinson. Mitchell Robinson est un joueur de basketball américain qui évolue actuellement aux New York Knicks en NBA. Il mesure 2m13, pèse 109kg, et il joue au poste de pivot. Né à Pensacola (Floride) le 1er avril 1998, Mitchell Robinson a été sélectionné en 36ème choix de la Draft NBA 2018 par les New York Knicks et a participé à 5 saisons en NBA dans sa carrière.</p>
<p style="text-align: justify;">Mitchell Robinson possède un profil de pivot à l’ancienne. Peu porté sur le tir, Robinson brille grâce à ses qualités athlétiques très près du cercle, où il peut marquer à un fort pourcentage. Mitchell Robinson détient d’ailleurs le record d’adresse au tir global sur une saison NBA avec 76% de shoots réussis lors de la saison 2021-22, c’est mieux que Wilt Chamberlain ! Mais bien que très efficace, Robinson reste un attaquant limité techniquement. Mitchell Robinson est aussi connu pour sa tendance à faire trop de fautes mais aussi son nombre important de blessures. Il compense ses défauts par un grand apport au rebond (notamment offensif) et une solidité défensive de premier plan, notamment dans la protection de cercle. Un bon gardien du temple prêt pour les combats musclés à l’intérieur de la raquette.</p>
<h3 style="text-align: center;">Mitchell Robinson, plus fort que la “malédiction Charlie Ward”</h3>
<p style="text-align: justify;">Joueur très prometteur au lycée, Mitchell Robinson était attendu comme un joueur du Top 15 voire du Top 10 de sa Draft NBA. Sa décision de ne pas aller à l’université pour privilégier l’entraînement individuel (premier joueur à emprunter cette voie) a néanmoins impacté négativement sa cote auprès des recruteurs, et il n’a finalement été choisi qu’en début de second tour. Cela n’a pas empêché Robinson de s’imposer comme un solide pivot dès sa première saison NBA, devenant progressivement le titulaire du poste chez les New York Knicks.</p>
<p style="text-align: justify;">Si Mitchell Robinson n’est pas le joueur qui fait le plus parler de lui, il a prouvé qu’il pouvait réussir. Même dans une franchise aussi exigeante et médiatisée que celle des New York Knicks, où de nombreux jeunes joueurs se sont perdus. En 2022, Mitchell Robinson est devenu le premier joueur drafté par les Knicks à prolonger à l’issue de son contrat rookie depuis… 1999 et un certain Charlie Ward. Pas un mince accomplissement.</p>
<p style="text-align: justify;">Mitchell Robinson ne sera peut-être jamais All-Star ou sur le devant de la scène, mais il a encore le temps d’épurer son jeu pour peser toujours plus à New York, aux côtés de Jalen Brunson, Julius Randle et OG Anunoby. Reste désormais à connaître son plafond.</p>


Mitchell Robinson

Photo de profil page joueur NBA Julius Randle

<h2 style="text-align: center;">Julius Randle selon TrashTalk</h2>
<p style="text-align: justify;">Puissant comme un bison, Julius Randle est un joueur de basketball américain qui évolue au New York Knicks au poste d’ailier-fort. Né à Dallas (Texas), il pèse 113 kilos pour 2m03. Il a été sélectionné par les Los Angeles Lakers en 7e position de la Draft NBA 2014 après une carrière universitaire chez les Wildcats du Kentucky remarquée. Depuis, il a participé à 9 saisons NBA sous les couleurs des Los Angeles Lakers, des New Orleans Pelicans et des New York Knicks.</p>
<h3 style="text-align: center;">Julius Randle, un mec qui pèse en attaque</h3>
<p style="text-align: justify;">Joueur physique et complet, Julius Randle est un atout offensif de poids pour son équipe des Knicks. Il est capable à la fois de scorer 20 points, prendre 10 rebonds et distribuer 5 passes décisives par match, mais aussi de prendre feu dans un bon soir. En mars 2023, Randle a par exemple marqué 57 points face aux Minnesota Timberwolves, son record en carrière. Ses qualités ont été reconnues à travers deux sélections au NBA All-Star Game en 2021 et 2023, une nomination dans la All-NBA Second Team (deuxième meilleure équipe de la saison NBA) et une autre dans la All-NBA Third Team (troisième meilleure équipe). Julius Randle a aussi reçu le trophée de la meilleure progression NBA de 2021, après une belle deuxième saison aux New York Knicks.</p>
<h3 style="text-align: center;">Une explosion à New York</h3>
<p style="text-align: justify;">La carrière NBA de Julius Randle avait pourtant mal démarré, lui qui s’était blessé gravement à la jambe dès son premier match avec les Los Angeles Lakers en 2014. Mais Randle est revenu pour s’affirmer parmi les têtes d’affiches de la NBA. D’abord utilisé avec parcimonie à ses débuts aux Lakers, Julius Randle a franchi un gros cap individuel lors de sa seule saison aux New Orleans Pelicans (2018-19), avec des stats moyennes de 21 points, 9 rebonds et 3 passes. À son arrivée aux New York Knicks en 2019, Randle s’est ensuite révélé comme un leader, aidant la franchise new-yorkaise à se redresser après des années de galère, tout ça sous les ordres du coach Tom Thibodeau. Il a notamment permis aux Knicks de retrouver les Playoffs NBA pour la première fois depuis l’ère Carmelo Anthony.</p>
<h3 style="text-align: center;">Julius Randle doit confirmer en Playoffs</h3>
<p style="text-align: justify;">Néanmoins, Julius Randle s’est souvent montré décevant en Playoffs NBA et peine à confirmer son statut sur la grande scène. Il a plutôt montré ses limites défensives ainsi qu’une incapacité à faire régulièrement les bons choix en attaque. Mais avec des joueurs comme Jalen Brunson et OG Anunoby à ses côtés, peut-être qu’il arrivera à franchir un cap avec les Knicks.</p>
<p style="text-align: justify;">Julius Randle incarne à la fois le renouveau des Knicks depuis 2019 mais a encore beaucoup de choses à accomplir pour faire l&#8217;unanimité à New York, lui qui a parfois eu une relation compliquée avec les fans du Madison Square Garden. Peut-il réaliser son rêve et apporter un titre aux Knicks ? Ou au contraire sera-t-il poussé vers la sortie après un nouvel échec en Playoffs ? L’avenir nous le dira.</p>


Julius Randle

Photo de profil page joueur NBA Bobby Portis

<h2 style="text-align: center;">Bobby Portis selon TrashTalk</h2>
<p style="text-align: justify;">Joueur de basketball évoluant actuellement chez les Milwaukee Bucks en NBA, Bobby Portis mesure 2m08, pèse 113 kg, et il joue au poste d’ailier-fort. Né à Little Rock, Arkansas (États-Unis) le 10 février 1995, Bobby Portis est une vraie pile électrique, une pile qui n’a pas besoin d’être rechargée. Il a été sélectionné en 22ème choix de la Draft NBA 2015 par les Chicago Bulls et a participé à 8 saisons en NBA dans sa carrière.</p>
<h3 style="text-align: center;">Bobby Portis, boxeur à Chicago</h3>
<p style="text-align: justify;">Élu meilleur joueur de l&#8217;État d’Arkansas en 2015 après sa dernière année universitaire chez les Razorbacks, Bobby Portis débute donc en NBA quelques semaines plus tard sous le maillot des Bulls. Il y évolue pendant trois saisons et demi dans un rôle d’energizer offensif en sortie de banc. Bobby n’est pas à proprement parler un spécialiste défensif mais l’énergie qu’il laisse chaque soir sur les parquets de NBA fait de lui un élément incontournable du roster de la franchise de Chicago. 14 points et 8 rebonds de moyenne, voilà les statistiques positives à poser dans le dossier de Bobby Portis. Une baston avec son coéquipier Nikola Mirotic (fractures au visage pour l’Espagnol), voilà ce qui s’écrit plutôt en rouge sur son CV. En février 2019 “Bobby Buckets” est échangé direction les Washington Wizards après une seule série de Playoffs NBA en trois ans et demi avec les Chicago Bulls, merci pour tout et bonne continuation.</p>
<h3 style="text-align: center;">Bobby Portis, rouage essentiel et champion NBA chez les Bucks</h3>
<p style="text-align: justify;">La suite ? Une demi-saison NBA intéressante d’un point de vue individuel chez les Washington Wizards, une autre sans frisson avec les Knicks de New York et c’est en novembre 2020 que Bobby Portis, son bandeau et ses yeux grands ouverts déboulent chez les Bucks de Milwaukee pour donner un nouvel élan à une carrière qui peine à trouver son utilité.</p>
<p style="text-align: justify;">Ding-dong, le choix est le bon car un an plus tard Bobby Portis est champion NBA avec la franchise du Wisconsin, aux côtés de Giannis Antetokounmpo, en ayant notamment contribué lors des Playoffs, quand il a fallu remplacer son coéquipier grec au pied levé durant quelques matchs, en finale de Conférence face aux Atlanta Hawks. Comme quoi, être dans la bonne team, ça vous change un joueur en NBA. Et comme la franchise des Milwaukee Bucks tourne au poil, Bobby Portis se fond dans le collectif au lieu de distribuer des pains à un coéquipier.</p>
<p style="text-align: justify;">Devenu naturellement l’un des meilleurs remplaçants de NBA, Bobby Portis n’a pas son pareil pour élever l’intensité d’un match. Relever le copain au sol (“une Patty Mills” dans le milieu), chauffer un adversaire et/ou le public, apporter sa combativité au rebond et envoyer une dizaine de tirs pour débloquer un match mal engagé, voici les points forts de Monsieur Bobby, qui a vu ses efforts récompensés avec une invitation à faire partie de Team USA pour la Coupe du Monde 2023. Et ça, ça a de quoi nous faire écarquiller les yeux, à nous aussi.</p>


Bobby Portis

Photo de profil page joueur NBA Danuel House Jr.

Danuel House Jr.

Photo de profil page joueur NBA James Harden

<h2 style="text-align: center;">James Harden selon TrashTalk</h2>
<p style="text-align: justify;">La barbe la plus célèbre au monde n’appartient pas au père Noël. James Harden est un joueur de basketball américain évoluant actuellement aux Los Angeles Clippers. Il mesure 1m96, pèse 100 kilos, et il peut évoluer aussi bien au poste de meneur que d’arrière. Né à Los Angeles (USA) le 26 août 1989, James Harden a été sélectionné en 3ème choix de la Draft 2009 et a participé à 14 saisons NBA dans sa carrière, portant les couleurs du Oklahoma City Thunder, des Houston Rockets, des Brooklyn Nets, des Philadelphie Sixers et des Los Angeles Clippers.</p>
<p style="text-align: justify;">Considéré comme l’un des meilleurs arrières de l’histoire de la NBA, James Harden figure également dans la liste des joueurs offensifs les plus inarrêtables des annales de la Ligue. Nommé meilleur joueur de NBA en 2018 (Most Valuable Player), James Harden a également un titre de Sixième Homme de l’Année (2012). Son jeu complet en attaque, tant au scoring qu’à la passe, lui aura permis de finir trois saisons meilleur marqueur de NBA (2018, 2019, 2020) et deux fois meilleur passeur (2017, 2023). James Harden détient aussi le record du nombre de points marqués sur un match (61) avec le maillot des Houston Rockets. Il est également celui qui a réalisé le plus de passes décisives dans l’histoire de la franchise des Houston Rockets.</p>
<h3 style="text-align: center;">James Harden n&#8217;a pas besoin de système, il est le système</h3>
<p style="text-align: justify;">Surnommé “The Beard” (la Barbe), James Harden s’est affirmé au fil des saisons comme l’un des joueurs les plus impactant de la NBA. Utilisé comme remplaçant à ses débuts au Thunder, aux côtés de Kevin Durant et Russell Westbrook, James Harden a véritablement explosé lors de son arrivée aux Houston Rockets en 2012, enchaînant les cartons au scoring et les records individuels. Machine à points, Harden sait aussi attirer l’attention des défenseurs afin d’offrir des paniers faciles à ses coéquipiers. Ses qualités de dribble, sa vision du jeu, son stepback à 3-points et sa capacité à obtenir un grand nombre de lancers-francs en font l’un des joueurs les plus durs à défendre de l’histoire de la NBA. En 2019, James Harden est d’ailleurs devenu le premier joueur de l’histoire de la NBA à inscrire 30 points contre chacune des 29 autres franchises NBA, lors d’une même saison. Pour mettre le ballon dans le cercle, difficile de trouver mieux que le gaucher velu.</p>
<h3 style="text-align: center;">James Harden, à quand les grands succès collectifs ?</h3>
<p style="text-align: justify;">Mais la carrière de James Harden se résume principalement à ses exploits individuels en saison régulière. Premier joueur de l’histoire à réaliser un triple-double (compiler 10 unités dans trois catégories statistiques au cours d’un même match) à 60 points, seul joueur à avoir compilé 2000 points, 900 passes décisives et 600 rebonds au cours d’une même saison (2016-17), James Harden ce sont des chiffres qui donnent le tournis mais des résultats collectifs qui déçoivent dès qu’on arrive au moment important de chaque saison, les Playoffs NBA. Critiqué pour son apport souvent décevant en Playoffs, Harden est toujours en quête de son premier titre en club. Champion Olympique (2012) puis Champion du Monde (2014) avec Team USA, Harden n’a jamais pu remporter le titre NBA. Sa meilleure performance en Playoffs reste une Finale NBA perdue avec le Oklahoma City Thunder en 2012 face au Miami Heat de LeBron James. Ce manque sur son CV a poussé James Harden à demander plusieurs fois son transfert au cours de sa carrière afin de trouver une équipe qui lui offre de meilleures chances de gagner le titre de champion NBA.</p>
<p style="text-align: justify;">Monstre du scoring, machine à points, James Harden n’a plus que quelques saisons pour éviter le club des légendes de NBA qui ont pris leur retraite sans bague au doigt. Enfin un accomplissement collectif pour mettre en lumière une carrière NBA marquée par les coups d’éclat individuels ?</p>


James Harden

Photo de profil page joueur NBA Jeff Green

<h2 style="text-align: center;">Jeff Green selon TrashTalk</h2>
<p style="text-align: justify;">À 20, 40 ou 60 ans, Jeff Green est et restera une terreur des arceaux. Jeff Green est un joueur de basketball américain évoluant aux Houston Rockets en NBA. Il mesure 2m03, pèse 107kg, et il joue principalement au poste d’ailier-fort ou d’ailier. Né à Cheverly (Maryland) le 28 août 1986, Jeff Green a été sélectionné en 5ème choix de la Draft NBA 2007 par les Boston Celtics mais a été envoyé dans la foulée aux Seattle SuperSonics (petits anges partis trop tôt). Jeff Green a participé à 15 saisons NBA dans sa carrière (il n’a pas participé à la saison 2011-12 pour cause de maladie). Il a porté les couleurs des Seattle SuperSonics, du Oklahoma City Thunder, des Boston Celtics, des Memphis Grizzlies, des Los Angeles Clippers, du Orlando Magic, des Cleveland Cavaliers, des Washington Wizards, du Utah Jazz, des Houston Rockets, des Brooklyn Nets et des Denver Nuggets, soit une grosse partie des équipes NBA. Il est désormais de retour aux Houston Rockets.</p>
<h3 style="text-align: center;">Jeff Green, roi des posters</h3>
<p style="text-align: justify;">Jeff Green est l’un des dunkeurs les plus impressionnants de sa génération, capable de postériser (dunker sur un défenseur) ses adversaires directs. Même à un âge avancé (37 ans), Jeff Green continue d’attaquer le cercle grâce à ses qualités athlétiques. Mais Green n’est pas qu’un dunkeur. Durant ses meilleures années, il était un scoreur qui tournait autour des 15 points de moyenne malgré des limites au shoot (34% d’adresse en carrière), avec en prime une belle polyvalence défensive. Jeff Green s’est ensuite transformé en bon vétéran, apprécié pour sa combativité et son professionnalisme. Cela lui a permis de rester en NBA saison après saison, jusqu’à remporter une bague de champion NBA avec les Denver Nuggets en 2023.</p>
<h3 style="text-align: center;">Jeff Green, champion NBA</h3>
<p style="text-align: justify;">Surnommé “Uncle Jeff’ (tonton Jeff), Jeff Green a été transféré avant même d’avoir mis un pied en NBA dans le deal envoyant Ray Allen aux Boston Celtics. Jeff Green a connu une véritable carrière de baroudeur. Solide joueur de collectif, Jeff Green a joué dans pas moins de onze franchises différentes lors de ses 16 premières saisons en NBA. Green a notamment pu partager le vestiaire avec de nombreuses stars NBA au fil des ans, comme Kevin Durant, LeBron James, Kevin Garnett, Russell Westbrook ou encore Nikola Jokic, avec qui il a remporté son seul titre de champion NBA face au Miami Heat, douze après être allé en finale avec la jeune troupe du Thunder (Russell Westbrook, Kevin Durant, James Harden, Serge Ibaka) pour une défaite face au&#8230; Heat déjà !</p>
<h3 style="text-align: center;">Jeff Green à coeur ouvert</h3>
<p style="text-align: justify;">Mais si Jeff Green a connu une carrière NBA globalement aboutie, celle-ci aurait pu être bien différente. En 2012, Jeff Green a en effet été opéré à cœur ouvert pendant près de cinq heures pour soigner un anévrisme aortique. Un problème au cœur qui aurait pu terminer à la fois sa carrière mais aussi sa vie… Rétabli après plusieurs mois de repos, Jeff Green a finalement pu reprendre le cours de sa carrière. Le titre NBA remporté un peu plus d’une décennie plus tard n’en sera que plus beau pour un joueur qui revient de très, très loin.</p>
<p style="text-align: justify;">De la salle d’opération au titre NBA, Jeff Green aura connu une carrière mouvementée mais finalement récompensée d’une bague de champion. La preuve que patience, persévérance et travail donnent souvent des résultats avec le temps.</p>


Jeff Green

Photo de profil page joueur NBA Eric Gordon

<h2 style="text-align: center;">Eric Gordon selon TrashTalk</h2>
<p style="text-align: justify;">Ce n’est peut-être pas un scoreur élite mais évitez de le laisser seul. Eric Gordon est un joueur de basketball américano-bahaméen évoluant actuellement chez les Phoenix Suns en NBA. Il mesure 1m90, pèse 97 kilos, et il joue au poste d’arrière. Né à Indianapolis (Indiana) le 25 décembre 1988, Eric Gordon a été sélectionné en 7ème choix de la Draft NBA 2008 par les Los Angeles Clippers en provenance des Hoosiers de l&#8217;Indiana en NCAA. Gordon a participé à 15 saisons NBA dans sa carrière. Il a porté les maillots des Los Angeles Clippers, des New Orleans Pelicans, des Houston Rockets et donc désormais des Phoenix Suns dans la Grande Ligue.</p>
<h3 style="text-align: center;">Potentiel aux Clippers, blessures aux Pelicans, renaissance aux Rockets</h3>
<p style="text-align: justify;">Parmi les joueurs les plus prometteurs de sa promotion de Draft, Eric Gordon n’a pas tardé à confirmer son haut potentiel en NBA chez les Clippers. Rapidement titulaire, Gordon est parvenu à figurer dans la All-Rookie Second Team au terme de sa première année (2009). Devenu un joueur cadre des Clippers, Eric Gordon est néanmoins échangé aux New Orleans Hornets en 2011 pour faire venir le meneur All-Star Chris Paul. Son passage chez les Hornets (devenus Pelicans) est néanmoins décevant, la faute à des problèmes récurrents au genou notamment (seulement neuf matchs joués pour Eric Gordon lors de sa première saison chez les New Orleans Hornets pour cause de blessure) durant tout son séjour à la Nouvelle Orléans. Eric Gordon parvient néanmoins à retrouver son meilleur niveau à son arrivée à Houston en 2016. Chez les Rockets, Gordon brille en sortie de banc derrière le futur MVP James Harden. Son apport avec les remplaçants des Rockets lui permet notamment de remporter le titre de Sixième homme de l’année en NBA lors de la saison 2017.</p>
<p style="text-align: justify;">Surnommé “Splash Gordon”, Eric Gordon est principalement connu en NBA pour ses talents de scoreur et sa fiabilité au shoot. Mettre le ballon dans le cercle, c’est le boulot de Gordon. Excellent shooteur, Eric Gordon brille notamment dans sa capacité à marquer à longue distance. Avec plus de 37% d’adresse à 3-points en carrière, il fait partie des snipers redoutés en NBA. Gordon a notamment remporté le concours de 3-points du NBA All-Star Weekend en 2017, prenant le meilleur sur des shooteurs élite comme Kyrie Irving ou Klay Thompson. Du fait de ses multiples expériences en carrière, Eric Gordon est très polyvalent puisqu’il peut se fondre parmi les titulaires comme intégrer un rôle principal en sortie de banc. Défensivement, Gordon peut rendre des services, notamment du fait de sa puissance physique, mais il n’a jamais été une référence dans ce secteur.</p>
<h3 style="text-align: center;">From Team USA to Team Bahamas</h3>
<p style="text-align: justify;">Talentueux et à son avantage en NBA, Eric Gordon a aussi goûté aux joies de la sélection au niveau international. Gordon présente néanmoins une originalité : il a joué pour deux équipes nationales au cours de sa carrière ! Il a notamment été champion du Monde en 2010 avec Team USA avant de représenter les Bahamas (le pays de ses parents) en 2023 pour les éliminatoires des Jeux Olympiques de Paris 2024. S’il est normalement interdit de représenter deux pays en match officiel, Eric Gordon a pu bénéficier d’une dispense de la part de la FIBA. L’instance dirigeante du basket mondial a notamment expliqué que la présence d’un joueur comme Eric Gordon aidait au développement de l’équipe nationale des Bahamas.</p>
<p style="text-align: justify;">Précieux apport offensif durant toute sa carrière, Eric Gordon n’a jamais pu rentabiliser ses efforts avec un titre NBA. Les Phoenix Suns de Kevin Durant, Devin Booker et Bradley Beal peuvent lui permettra-t-elle de passer à la bijouterie avant de ranger les sneakers d’ici quelques saisons ?</p>


Eric Gordon

Photo de profil page joueur NBA Robert Covington

<h2 style="text-align: center;">Robert Covington selon TrashTalk</h2>
<p style="text-align: justify;">Encore un bonhomme passé sous les radars qui a fait son chemin en NBA. Robert Covington est un joueur de basketball américain évoluant actuellement chez les Philadelphia Sixers en NBA. Il mesure 2m01, pèse 94 kilos, et il joue principalement au poste d’ailier ou d’ailier fort. Né à Bellwood (Illinois) le 14 décembre 1990, Robert Covington n’a pas été drafté à sa sortie de l’université de Tennessee State en 2013. Il a participé à 10 saisons NBA dans sa carrière.</p>
<p style="text-align: justify;">Surnommé “RoCo”, Robert Covington est un joueur qui brille par sa polyvalence sur le terrain. Ailier de formation, Covington peut aussi basculer sur le poste d’ailier-fort voire même pivot si besoin. Afin de mettre en place un cinq petit et plus rapide, les Houston Rockets l’avaient justement fait jouer en tant que pivot en 2020, profitant notamment de ses qualités athlétiques et de sa puissance pour défendre sur des intérieurs adverses. Robert Covington est ce qu’on pourrait appeler un “3&amp;D” en NBA. Sélectionné au sein de la NBA All-Defensive First Team en 2018 (meilleure équipe défensive de la saison), Covington a prouvé qu’il pouvait faire partie de l’élite des défenseurs. Avec plus de 36% d’adresse à 3-points en carrière, il est également un joueur relativement fiable à longue distance, même si ses pourcentages ont eu tendance à beaucoup fluctuer selon les années.</p>
<h3 style="text-align: center;">Robert Covington, itinéraire d’un joueur non drafté</h3>
<p style="text-align: justify;">Pas sélectionné à la Draft NBA 2013, Robert Covington a commencé sa carrière NBA sans faire de bruit. Signé par les Houston Rockets, Covington ne dispute que 7 matchs lors de sa saison rookie, évoluant principalement en G League. Ses belles prestations dans la ligue réserve de la NBA ne passent pas inaperçues et les Philadelphia Sixers lui offrent alors un contrat. Dans une équipe des Sixers en totale reconstruction, Robert Covington se fait sa place grâce à ses qualités défensives et son shoot à 3-points. Pendant quasiment cinq saisons, Covington joue le rôle de soldat à Philadelphie aux côtés notamment de Joel Embiid et Ben Simmons. En 2018, il fait partie d’un échange qui permet l’arrivée du All-Star Jimmy Butler aux Sixers. Commence alors une tournée des franchises NBA pour Robert Covington, qui passe successivement aux Minnesota Timberwolves, aux Houston Rockets, aux Los Angeles Clippers ou encore aux Portland Trail Blazers. En 2023, Robert Covington revient aux Sixers où il est transféré en échange de la star James Harden.</p>
<p style="text-align: justify;">S’il ne sera jamais un All-Star ou un joueur majeur de la NBA, Robert Covington a fait du chemin. Il a prouvé tout au long de sa carrière qu’il valait mieux que ce que les scouts NBA ou dirigeants avaient prédit à son sujet. Ils ne sont pas nombreux à avoir réalisé une carrière honorable sans avoir été sélectionnés à la Draft NBA, mais Covington est l’un d’entre eux.</p>


Robert Covington

Photo de profil page joueur NBA R.J. Barrett

<h2 style="text-align: center;">R.J. Barrett selon TrashTalk</h2>
<p style="text-align: justify;">Fils de Rowan Barrett, ancien basketteur professionnel et manager de l’équipe nationale canadienne, filleul de l’ancien MVP Steve Nash en NBA, R.J. Barrett était prédestiné pour la balle orange. Joueur de basketball évoluant actuellement chez les Toronto Raptors en NBA, R.J. Barrett mesure 1m98, pèse 97kg, et joue au poste d’ailier/arrière. Né à Toronto (Canada) le 14 juin 2000, R.J. Barrett fait partie de cette génération montante du basket canadien. Il a été sélectionné en 3e choix de la Draft NBA 2019 par les New York Knicks derrière Ja Morant et Zion Williamson, et a participé à 4 saisons NBA dans sa carrière. Il a porté le maillot des Knicks et désormais celui des Toronto Raptors.</p>
<h3 style="text-align: center;">R.J. Barrett, un prospect attendu</h3>
<p style="text-align: justify;">Passé notamment par Dijon, Villeurbanne et Chalon lorsque son papa jouait en Pro A durant les années 2000, R.J. Barrett s’est d’abord imposé comme l’un des meilleurs jeunes de l’Ontario à son retour au Canada, avant de rejoindre en 2015 la très réputée Montverde Academy (Floride). C’est là-bas que R.J. a été nommé meilleur lycéen de l’année 2018, un an seulement après avoir été élu MVP et meilleur scoreur de la Coupe du Monde des -19 ans. C’est lors de cette compétition que Barrett a vu sa cote exploser, lui qui a guidé le Canada vers le titre mondial en éliminant les Américains en demi-finale avec une performance historique : 38 points, 13 rebonds et 5 passes. Ces exploits lui ont ensuite permis de rejoindre la fameuse université de Duke, coachée par le mythique Mike Krzyzewski, où il a passé un an avant d’aller en NBA.</p>
<h3 style="text-align: center;">L’explosion de Barrett n’arrive pas chez les Knicks</h3>
<p style="text-align: justify;">Possédant un physique assez imposant pour sa taille, R.J. Barrett est arrivé à New York avec l’étiquette de jeune espoir, mais aussi comme un lot de consolation pour les fans des Knicks qui rêvaient de Zion Williamson ou Ja Morant. Depuis sa sélection à la Draft, Barrett s’est plus imposé comme un joueur de complément qu’un vrai franchise player, lui qui tourne à 18 points et plus de 5 rebonds de moyenne en carrière avec New York. S’il est capable de réaliser de grandes performances dans un bon soir et qu’il possède les qualités pour être un joueur important des deux côtés du terrain, son irrégularité l’empêche pour l’instant d’entrer dans une nouvelle dimension. R.J. Barrett n’est donc pas encore devenu la superstar que beaucoup voyaient en lui quand il n’était encore qu’un lycéen.</p>
<p style="text-align: justify;">Après 4 saisons en NBA, R.J. Barrett ne semblait pas intouchable chez les Knicks. C’est ainsi qu’il a été envoyé dans son Canada natal pour rejoindre les Toronto Raptors, contre O.G. Anunoby. Le jeune Canadien a encore de nombreuses années devant lui pour prouver qu’il peut devenir un joueur majeur dans la Ligue, et faire honneur par la même occasion à son surnom. Celui de “Maple Mamba”.</p>


Match du 02 mars 2020 : New York Knicks vs Houston Rockets

Score

Statistiques Houston Rockets

Statistiques New York Knicks