TrashTalk

Le Guide des Playoffs NBA 2024

Orlando Magic

Cleveland Cavaliers

Magic – Cavaliers, preview du Game 4 : reste-t-il des munitions à Orlando après l’explosion du Game 3 ?

Oklahoma City Thunder

New Orleans Pelicans

Pelicans – Thunder, preview du Game 3 : OKC veut enfoncer le clou à l’extérieur

Cholet Basket Soren Bracq Coupe de France U17 FFBB

Soren Bracq colle 31 points, Cholet Basket remporte la Coupe de France U17 face à l’ASVEL (85-63)

Amazon Prime va bien acquérir des droits de diffusion de la NBA !

Minnesota Timberwolves

Anthony Edwards : “Je veux détruire tout ce qui est devant moi”

Tidjane Salaün élu meilleur jeune de la Basketball Champions League 2023-24

Nando De Colo : “Cet été, ce sera ma dernière campagne avec l’Équipe de France”

Dallas Mavericks

P.J. Washington, le nouveau garde du corps de Luka Doncic

Milwaukee Bucks

Damian Lillard touché au genou et au tendon d’Achille, ça commence à faire beaucoup pour les Bucks…

Les Wolves à une victoire de réussir le premier 4-0 de leur histoire en Playoffs

Encart Home Page Guide des Playoffs NBA 2023

Houston Rockets

Seattle Supersonics

Golden State Warriors

Phoenix Suns

San Antonio Spurs

Denver Nuggets

Los Angeles Lakers

Sacramento Kings

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Memphis Grizzlies

Washington Wizards

Toronto Raptors

Philadelphie 76ers

New York Knicks

Miami Heat

Indiana Pacers

Detroit Pistons

Chicago Bulls

Charlotte Hornets

Brooklyn Nets

Boston Celtics

Los Angeles Clippers

Atlanta Hawks

Portland Trail Blazers

Iowa Hawkeyes

Luka Garza

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Photo de profil page joueur NBA T.J. Warren

Une saison NBA ce sont des matchs, des mecs qui les regardent et qui en parlent, mais aussi des mecs qui les regardent et qui les notent. Vengeance probable après une jeunesse passée à collectionner les zéros, et occasion rêvée en tout cas de lâcher de la punchline au kilo. Cette saison encore la Team Notes a tenté de vous ravir de son imagination sans faille, en essayant tout de même de parler un tout petit peu de basket.
Cette fois-ci c&#8217;est &#8211; vraiment &#8211; terminé. Bel et bien terminé, même si on reviendra probablement début septembre pour causer basket FIBA et tout le tintouin à l&#8217;occasion de l&#8217;EuroBasket. Cette nuit ? Une feu d&#8217;artifice, une apothéose, et une finale de Summer League que seuls les vrais gourmets auront su apprécier. On tente de vous expliquer pourquoi ? Allez, envoyez les notes.
<h4 style="text-align: center;"><a href="https://trashtalk.co/2022/07/17/les-blazers-remportent-la-nba-summer-league-2022-la-jeunesse-de-portland-a-gagne-sa-bague-et-damian-lillard-a-like-ce-post/">Pour de vraies infos concrètes sur ce match, c&#8217;est aussi ici que ça se passe</a></h4>
<h4 style="text-align: justify;"># New York Knicks</h4>
Quentin Grimes (4) : il s&#8217;est réveillé sur la toute fin mais n&#8217;a pas été à la hauteur de son superbe tournoi. Ce soir Quentin Grimes avait le masque, ce soir Quentin Grimes c&#8217;était Quentin Grimé.
Miles McBride (5) : Nate Robinson en plus lent, moins physique et moins adroit. Miles McBrade.
Jericho Sims (6) : Jarrett Allen sans la coupe afro mais encore plus taillé. Agressif, dépourvu du moindre move mais tellement énergique et athlétique que les Knicks ont grandement intérêt à l&#8217;utiliser comme il se doit cette saison. En défense, en attaque, Sims to be good.
Feron Hunt (3) : très volontaire, mais parfois la volonté ne suffit pas. Exemple : &#8220;j&#8217;ai depuis longtemps la volonté de waka-waquer avec Shakira mais je n&#8217;en ai pas les moyens.&#8221;
Trevor Keels (3) : le saviez-vous, le mot &#8220;ok&#8221; vient de l&#8217;armée américaine qui envoyait &#8220;0 Keels&#8221; lorsque Trevor ratait tous ses tirs dans un match.
Daquan Jeffries (4) : si Daquan Jeffries était un logo ce serait probablement &#8220;droit au but&#8221;. L&#8217;ancien joueur des Kings et des Rockets est une vraie boule d&#8217;énergie mais qui ne possédait ce soir que le bouton &#8220;fonce dans l&#8217;tas&#8221;.
Micah Potter (6) : il a touché peu de ballons mais a transformé tous ces ballons en or. Des fondamentaux, un petit tir et du hustle, ouais, on est en train de vous parler d&#8217;un futur Hall Of Famer de G League.
Jean Montero (3) : il avait plutôt plu à nos mirettes sur cette Summer League mais cette nuit il s&#8217;est contenté de courir vite. Et si c&#8217;est juste pour courir, autant aller faire du 800m à Charlety.
Amir Simms (-) : trois minutes de jeu pour celui qui n&#8217;est qu&#8217;un deuxième Sims mais avec une faute d&#8217;orthographe.
Julius Randle (rend le MIP) : selon notre jauge, chaque joueur de ce match a montré en moins de dix minutes plus de motivation que Julius Randle sur l&#8217;intégralité de la saison passée.
<h4 style="text-align: justify;"># Portland Trail Blazers</h4>
Luka Garza (5) : un gabarit de gladiateur, mais dont les mains ne correspondent que très rarement avec le reste de son corps. Idéal pour prendre des gnons et booster les copains mais ne lui demandez pas de shooter et envoyez-le plutôt au mastic. Luka Garza ? C&#8217;est Olivier Magne.
Brandon Williams (7) : il a commencé tranquille et il a fini très fort, tel la tortue faisant la nique à un lièvre trop sûr de lui. Il y a probablement 157 000 Brandon Williams sur la planète et il est le meilleur basketteur d&#8217;entre eux, visez ce genre d&#8217;info et dîtes-nous si vous sentez la fatigue.
Keon Johnson (3) : il est passé à côté de son match et n&#8217;a absolument pas pesé ce soir. C&#8217;est pas la mer à boire puisque les copains ont assuré, et puisqu&#8217;il avait surtout montré toute la semaine qu&#8217;il était NBA ready, enfin, ready pour aller chercher la dixième place de l&#8217;Ouest en tant que cinquième rotation sur le backcourt.
Trendon Watford (7) : 19/7/2/3 pour celui qui a commencé son match avec quatre retours en zone non-sifflés dans la même action mais qui l&#8217;a terminé comme le MVP qu&#8217;il est. Déjà bien en vue l&#8217;année dernière avec le FC Tank, Trendon a démontré qu&#8217;il avait sa place cette saison encore avec les grands. Trendon is trending.
Greg Brown III (-) : n&#8217;a pas joué car il ne sait que dunker, ça tombe bien c&#8217;était un match de basket et pas un concours de dunks.
Kyle Alexander (6) : gros match du pivot back-up de Luka Garza, même si cette simple phrase peut clairement vous envoyer en dépression. Il est long, il a des mains et fait les efforts des deux côtés du terrain, bref, Kyle Alexandaire a tout pour plaire.
Colbey Ross (5) : quatre passes et deux tirs du parking en sortie de banc, ça doit être à peu près ce qu&#8217;on attend d&#8217;un meneur remplaçant. Russell Westbrook, tu sais ce qu&#8217;il te reste à faire.
Jabari Walker (7) : oh la pépite, oh l&#8217;sang chaud. Récupéré dans le caniveau de la Draft par les Blazers, Jabari a montré ce soir encore qu&#8217;il était peut-être l&#8217;un des gros steals de sa cuvée. Athlétique, adroit, two-way player, et si Jabari mange de la raclette au mois d&#8217;août la demande en mariage pourrait partir très vite.
Didi Louzada (3) : Didi était titulaire dans cette équipe mais, dis, dis, pourquoi Didi édait didulaire ?
Craig Randall II (5) : il a beaucoup shooté en proportion de l&#8217;importance qui est la sienne dans cette franchise. Craig Random.
Romello White (-) : n&#8217;a pas joué et c&#8217;est bien dommage, car on avait déjà préparé la vanne du &#8220;Romello au frigo&#8221;.
George King (4) : il a rentré son tir, il a gagné sa bague. George King sans couronne mais pas sans bague donc.
Shaedon Sharpe (-) : n&#8217;a pas joué car il a le bras en écharpe, Shaedon Esharpe.
Damian Lillard (122) : touchera 122 millions sur deux ans mais possède 122 millions de bagues de moins que Didi Louzada.
Voilà, c&#8217;est fini, et cette phrase servira donc de conclusion.

Summer League, les notes de Knicks – Blazers : Luka Garza est la preuve ultime qu’un rugbyman peut jouer au basket

Le printemps est derrière nous et pourtant, une fleur vient d&#8217;éclore. Au centre de tous les questionnements depuis la fin de saison NCAA, Luka Garza inquiétait de par sa capacité à transiter vers les raquettes NBA, bien plus dures qu&#8217;un choc entre deux lycéens qui s&#8217;interrogent encore sur leur formation post-bac. Finalement, les récentes nouvelles à son sujet vont dans le meilleur des sens. On débrief.
Intérieur de 2m11 à la dégaine d&#8217;acteur X, Luke Garza a passé quatre ans dans le laboratoire d&#8217;Iowa State à y parfaire son jeu de poste 5 moderne. Une chouette stabilité pour que le lycéen se développe à l&#8217;abri des regards, avant de faire le grand saut chez les adultes. Et pourtant, l&#8217;énonciation de son blaze lors de la Draft était bien loin d&#8217;être assurée, lui qui ne fut sélectionné qu&#8217;en cinquante-deuxième position par les Pistons. Un gaillard un peu pâteux, d&#8217;ores et déjà âgé de 22 balais et doté de la vitesse latérale de Gérard Depardieu qui se fait crocheter par Ismaila Sarr, le déficit athlétique faisait clairement peur aux franchises NBA. Il avait beau tourner à 24 points et 9 rebonds de moyenne sur son année senior, boire dans le crâne du pivot adverse au goûter d&#8217;après-match, Luka Garza a vu le terme de « NBA ready » revenir dans chaque débat qui le mentionnait. Mais aujourd&#8217;hui, après une Summer League vaillamment disputée sous le maillot de Detroit, le rookie vient de décrocher un contrat de deux ans et d&#8217;effacer sa sélection tardive, au plus profond de nos mémoires. En lâchant des moyennes de 15 points, 9,6 rebonds, 1,8 assist et 1 contre à 52% au tir dont 40% du parking, l&#8217;Amerloque d&#8217;origine bosniaque a réussi sa ligue d&#8217;été, convainquant par ailleurs Troy Weaver de verrouiller son cas dans le Michigan. C&#8217;est marrant, de placer autant d&#8217;interrogations au-dessus de celui qui a été élu meilleur joueur NCAA l&#8217;an dernier. Absurdité, anachronisme ou incohérence, il se pourrait finalement que Luka Garza réponde à l&#8217;appel des raquettes de la Grande Ligue.
<blockquote class="twitter-tweet" data-width="550" data-dnt="true">
The Detroit Pistons are signing rookie center Luka Garza to a new two-year contract, his agents Mike Kneisley and Odell Witherspoon told <a href="https://twitter.com/TheAthletic?ref_src=twsrc%5Etfw">@TheAthletic</a> <a href="https://twitter.com/Stadium?ref_src=twsrc%5Etfw">@Stadium</a>. Garza, the No. 52 pick, has his two-way converted to a full NBA deal.
&mdash; Shams Charania (@ShamsCharania) <a href="https://twitter.com/ShamsCharania/status/1441431399563599878?ref_src=twsrc%5Etfw">September 24, 2021</a></blockquote>
<script async src="https://platform.twitter.com/widgets.js" charset="utf-8"></script>
Son two-way derrière lui, les détails financiers du nouveau contrat décroché par Mister Garza sont encore inconnus. Une chose est sûre, il n&#8217;est pas le premier prospect à faire déjouer les pronostics de la sorte, en confirmant si tôt qu&#8217;il mérite sa place au sein d&#8217;un roster NBA. On pense naturellement à un gars comme Nikola Jokic, sélectionné en quarante-et-unième position de la Draft 2014, ou même à Isaiah Thomas, facile au lycée mais pour qui la dimension physique posait un problème à l&#8217;étape supérieure. C&#8217;est là toute la difficulté d&#8217;analyse pour les scouts, de savoir si un joueur qui cartonne dans une ligue physiquement plus light, peut reproduire ses moves chez les plus costauds. Cette tendance se confirme généralement dans les premières semaines et Luka Garza n&#8217;est pas venu faire exception à la règle. La masse d&#8217;Iowa a fait forte impression en Summer League et devra réitérer ses haut faits à l&#8217;entraînement, devant le bloc Isaiah Stewart. L&#8217;une des raisons de sa bonne adaptation &#8211; toute proportion gardée, la saison n&#8217;ayant pas encore débuté &#8211; serait un régime flexitarien, c&#8217;est-à-dire qu&#8217;il a limité sa consommation de viande sans pour autant la supprimer. Initialement aux alentours des 120 kilos, Luka Garza pointe aujourd&#8217;hui à 111 plaques, un bien-être confié au <a href="https://eu.freep.com/story/sports/nba/pistons/2021/08/04/detroit-pistons-luka-garza-weight-loss/5492362001/">Detroit Free Press</a> en août dernier.
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« Je me sens plus à l’aise pour bouger. Ce n’est pas seulement à propos du poids, c’est aussi tout le travail que j’ai effectué sur mes déplacements latéraux et ma vitesse. Je ne suis pas une référence dans ce domaine, mais je progresse à mon rythme. » &#8211; Luka Garza
</blockquote>
Hype, le maître mot qui survole la situation de Luka Garza. Pour la petite confidence, Dwane Casey a lui aussi confié aux micros de Detroit Free Press que Luka Garza avait quelque chose de spécial. Il a « botté les fesses des gars au rebond offensif ou en transition », de quoi mettre en confiance la Pistons Nation quant au potentiel de leur nouveau mécano.

LukaGarza

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Summer League, les notes de Knicks – Blazers : Luka Garza est la preuve ultime qu’un rugbyman peut jouer au basket

Les Pistons signent leur rookie Luka Garza : un nouvel apprenti mécano dans le Michigan, lui risque de faire des étincelles

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