Les bonnes résolutions made in NBA – Conférence Ouest : en exclusivité, voici les principaux défis de chaque franchise pour 2021

Le 31 déc. 2020 à 15:30 par Matis Rapacioli

champagne 27 juin 2020
Source image : le point.fr

Ça y’est ! C’est l’heure de trinquer et de boire un coup en souvenir de cette délicieuse année 2020 qui, qu’on le veuille ou non, restera dans les an(n)ales de l’Histoire NBA et principalement dans celle des Clippers. Mais trêve de cette nostalgie débordante, on regarde droit devant nous et on fait de bonnes résolutions pour l’année 2021. Les quinze franchises de l’Ouest ont joué le jeu et nous ont transmis en exclusivité mondiale leurs vœux pour l’année qui arrive alors à vos seaux de pop-corn, et c’est parti.

Mais aussi : les résolutions consacrées à la Conférence Est 

Dallas Mavericks : affronter les Clippers au premier tour des Playoffs, puis en demis et en Finales de conférence. On sait que c’est impossible, mais l’avantage psychologique est pris et après le 51 de dimanche passé, y’a des écarts de 27 ou 31 pions à mettre à la bande à Kawhi. Et si vous n’avez pas compris, attendez ce soir, ça ira mieux.

Denver Nuggets : aller jusqu’en Finale NBA et perdre 3-1 avant le Game 5. Parce qu’à Denver on aime l’adrénaline mais genre on AIME vraiment ça, et puis y’a une petite théorie à pousser un peu plus loin après ces Playoffs 2020 exceptionnels. PS : le vœu des Mavericks nous va très bien aussi.

Golden State Warriors : avoir tous les arbres du monde à proximité de l’Oracle Arena du Chase Center pour toucher tout le bois qu’il existe sur cette planète en espérant revoir jouer Klay Thompson au plus vite. Il en va de la survie de la franchise, donnez au moins un peu de papier bulle, on donne Kelly Oubre en échange.

Houston Rockets : nous souhaitons que Monsieur James Harden, héros de tout un peuple qui nous inspire tant jour après jour, et dont la barbe saillante et la svelte silhouette nous irradient de bonheur, continue de mener notre équipe des Rockets dans des cieux où lui seul pourra nous conduire ! J’ai tout bien dit ?

Los Angeles Clippers : du respect. Svp. On en demande trop ? Bon, alors un peu de biafine pour mettre sur les fesses de leurs fans.

Los Angeles Lakers : de l’adversité pour que BronBron s’occupe un peu. Il devient un peu foufou à 36 ans, et s’il ne claque pas 25 points tous les jours il s’ennuie.

Memphis Grizzlies : inventer la machine à cloner pour Ja M… chut, “pour une expérience qui n’a rien à voir avec le basket”.

Minnesota Timberwolves : qu’Anthony Edwards ne devienne pas Andrew Wiggins. Que Karl-Anthony Towns devienne Anthony Davis. Et que la saison NBA devienne une semaine NBA avec trois rencontres dans l’année.

New Orleans Pelicans : voler la machine à cloner des Grizzlies pour Zion Williamson, parce que les Pels, eux, assument. On fera 2-3 Brandon Ingram en plus, et un Steven Adams supplémentaire aussi, pour voir s’il peut vivre sous l’eau.

Oklahoma City Thunder : un colonel des armées américaines pour commander l’immense tank construit par Sam Presti. Puis le trader contre deux picks de Draft pour 2028 aux Rockets.

Phoenix Suns : que la ligue réétudie le concept de la bulle qui était quand même pas mal, et puis ça permet de moins consommer en voyage.

Portland Trail Blazers : que Patrick Beverley ou Paul George ouvrent leurs énormes bouches juste avant les Playoffs. Si possible, qu’ils émettent à haute voix le nom de Damian Lillard et on n’en demande pas plus.

Sacramento Kings : faire en sorte que le play-in tournament se fasse de la quatrième à la treizième place. Puis prier pour ne pas finir quatorzième de la conférence.

San Antonio Spurs : se réveiller et être en 2005. Revivre les quinze dernières années encore et encore, en gérant le problème Ray Allen d’une nouvelle manière à chaque fois, et être heureux.

Utah Jazz : que Donovan Mitchell et Rudy Gobert lancent le débat du meilleur duo de l’Histoire de la franchise. En gros, vouloir devenir champion NBA… mais ça on suppose que c’est déjà le vœu des 29 autres franchises, non ?

15 franchises, 15 vœux même si vers minuit, des propriétaires un peu éméchés clameront haut et fort vouloir un stylo pour faire un chèque car “ce soir, on achète LeBron James”. Allez, on laisse tomber 2020, sa bulle et ses pauses et on dit bonjour à 2021 avec un grand sourire.