Le best-of des Wolves 2018-19 : qui a dit que les loups ne savaient pas voler ?

Le 05 août 2019 à 10:44 par Julien Dubois

En attendant la reprise des hostilités, TrashTalk paye une nouvelle fois son mois d’août et vous offre chaque jour le best-of 2018-19 de l’une des trente franchises NBA. Histoire de se mettre bien avant la reprise, histoire de ne pas oublier que le basket est le plus beau sport du monde, juste devant la pétanque du dimanche, celle qui se pratique une boule dans la main gauche et un verre de rosé dans la droite. Allez, highlights, les vacances c’est pour les autres.

C’est parti, quatrième best-of de cette série spéciale N-1, synonyme d’un début de saison qui se rapproche inexorablement. Ça c’était pour la bonne nouvelle, mais passons tout de suite aux choses sérieuses.

Ce ne fut pas une saison facile pour les gars de Minnesota qui ont eu, pêle-mêle, des problèmes avec Jimmy Butler, leur coach, et ne sont pas allés en Playoffs. Pour autant, ça ne les a pas empêchés de nous divertir avec une dose de highlights conséquente. En première ligne, Karl-Anthony Towns et Josh Okogie qui ont donné de leurs mollets pour écraser du cercle et du défenseur. Le premier, pourtant à l’aise avec une grosse palette offensive, s’est amusé à monter sur l’ensemble des intérieurs de la Ligue, avec brio, hein Mason Plumlee. Le second, petit nouveau de la Ligue, a prouvé que la jeunesse avait du bon : putback, alley-oop, tomar tout seul comme un grand, bref de tout et très bien.

A part cela, c’est Derrick Rose que l’on retrouve au cœur de ce best-of, au-delà de l’avoir dans notre cœur tout court. Auteur d’un comeback monstrueux cette année, il aura marqué la saison des Wolves. Déjà avec son match à 50 points, on en pleure encore, mais aussi avec tout un tas de drivess dévastateur qui finissent avec 2 points et une finition de funambule, un régal. On note également un petit game winner sur la tête des Suns, histoire de montrer qu’avoir des genoux fragiles n’impacte en rien sur la clutchitude et la taille des balls. Merci Derrick, on se remet ça l’année prochaine ?

Voilà pour cette session highlights du jour avec en prime une dose “larmes et flashback en 2011”. On apprecie nos douze minutes de plaisir quotidienne et on se dit “vivement demain” parce que ça commence à faire long là. Allez, bière, transat et rendez-vous demain matin.