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<a href="https://trashtalk.co/2023/09/06/coupe-du-monde-2023-lallemagne-se-fait-peur-face-a-la-lettonie-mais-file-en-demi-finale-81-79/" target="_blank" rel="noopener">Éliminée d&#8217;un rien par l&#8217;Allemagne en quart de finale du Mondial 2023</a>, la Lettonie va longtemps regretter la dernière possession de Davis Bertans. Décryptage. 
Voilà une action qui risque de rester dans les têtes des fans lettons un moment. Revenue à seulement deux points des Allemands dans une fin de match irrespirable, la Lettonie a gâché ses efforts sur son ultime possession. Analysons tout ça en commençant par le plus évident, les images.
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La dernière possession de Lettonie &#8211; Allemagne :<a href="https://t.co/EpTMU4sQCF">pic.twitter.com/EpTMU4sQCF</a>
— TrashTalk (@TrashTalk_fr) <a href="https://twitter.com/TrashTalk_fr/status/1699370619773616442?ref_src=twsrc%5Etfw">September 6, 2023</a></blockquote>
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Alors que Dennis Schroder rate son tir, Davis Bertans récupère la gonfle avec environ 7-8 secondes au chrono. Il décide alors de remonter la balle à toute vitesse pour tenter un 3-points synonyme de victoire pour les siens mais ça finit par une brique et l&#8217;Allemagne l&#8217;emporte. Alors, pourquoi cette possession a-t-elle été mal gérée ?
<h2>Davis Bertans, bien trop pressé</h2>
On l&#8217;a dit plus haut, il ne restait que 7 secondes pour remonter le terrain et tenter un tir pour minimum égaliser. Or, au moment où Bertans déclenche son tir à 3-points, il reste encore 4 secondes au chrono. On a un peu l&#8217;impression qu&#8217;il a eu peur que le temps file trop vite, quitte à tirer dès que possible. S&#8217;il tenait vraiment à tenter sa chance, il aurait sans doute pu avoir un écran de dernière seconde pour au moins éviter de s&#8217;empaler devant les bras d&#8217;Isaac Bonga. Volonté de jouer au héros ou simple mauvaise gestion du chrono ? À son crédit, on peut au moins dire que Bertans était dans un grand jour à 3-points et il est capable de le mettre. Si ça fait ficelle, le gars est un héros. Sauf que là, ça finit à côté.
<h2>Arturs Zagars totalement oublié</h2>
Mais comment au grand dieu comment se fait-il qu&#8217;Arturs Zagars n&#8217;ait pas la balle en main pour ce dernier tir ? Le meneur de la Lettonie a été grandiose une fois de plus dans ce match (24 points, 8 passes) et il sortait un money time de feu avec notamment deux énormes pénétrations sur la dernière minute pour revenir à -2. Il avait la main chaude, c&#8217;était à lui que revenait ce dernier tir. On remarque d&#8217;ailleurs qu&#8217;il était bien placé pour filer en contre-attaque lui aussi mais Davis Bertans n&#8217;a jamais donné l&#8217;impression de chercher son coéquipier. Dommage..
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Zagars toute l&#8217;action regardez-le le pauvre 😭😭😭😭😭😭😭😭😭😭😭😭😭😭😭😭😭😭😭😭😭😭😭😭😭😭😭😭😭😭😭😭😭😭😭😭😭😭 <a href="https://t.co/smjSN7Tc0O">https://t.co/smjSN7Tc0O</a>
— TrashTalk (@TrashTalk_fr) <a href="https://twitter.com/TrashTalk_fr/status/1699370826179477945?ref_src=twsrc%5Etfw">September 6, 2023</a></blockquote>
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<h2>La Lettonie pouvait-elle prendre temps-mort ?</h2>
C&#8217;est une question qui est revenue plusieurs fois dans les commentaires de match. En NBA, la question aurait été facile. Les joueurs récupèrent le ballon, appellent un temps-mort et le coach a le temps de faire un dessin pour préparer au mieux la dernière possession. Sauf qu&#8217;en FIBA, la règle n&#8217;est pas la même. Il faut un arrêt de jeu pour pouvoir prendre un temps-mort. Il faut soit un panier marqué, soit une balle hors du terrain soit une faute. Schroder a manqué son tir mais la balle est resté en jeu, le coach letton n&#8217;avait donc pas la possibilité de demander un temps-mort.

Davis Bertans, un dernier tir qui va laisser des regrets à la Lettonie

C&#8217;est un pays d&#8217;une centaine d&#8217;habitants, coincé entre l&#8217;extrême sud de la Roumanie et le nord de la Serbie, et dirigé par un petit bonhomme moustachu du nom de Douglas. Enfin non, mais c&#8217;est à peu près ce qu&#8217;aurait répondu l&#8217;Américain lambda, s&#8217;il lui avait fallu &#8211; d&#8217;instinct &#8211; réaliser une brève présentation de la Lettonie. Pas de panique, un lien bien plus direct existe : il s&#8217;appelle Kristaps.
On pourrait croire que, parce que la Lettonie est un pays balte, qu&#8217;il y a toujours eu une certaine rigueur dans l&#8217;est, que les types y ont les crânes rasés et les exigences un poil trop appuyées, l&#8217;équipe de basket de la Lettonie ait déjà disputé une Coupe du Monde. Il n&#8217;en est rien. Ce Mondial 2023 sera le premier de l&#8217;histoire pour ce pays d&#8217;un peu moins de deux millions d&#8217;habitants. C&#8217;est pourquoi dans la composition de son groupe, l&#8217;entraîneur Luca Bianchi &#8211; également coach de la SIG Strasbourg &#8211; doit se montrer érudit en associant les nouvelles têtes de cette sélection, aux vieux brigands qui ont déjà l&#8217;expérience des fenêtres internationales.
À moins d&#8217;un mois du lancement de la Coupe du Monde, la Lettonie a présenté une liste élargie de seize joueurs &#8211; laquelle sera réduite à douze en fin de course. Six des neufs anciens présents à l&#8217;EuroBasket 2017 &#8211; la dernière compétition internationale disputée par la Lettonie &#8211; ont été reconduits : Kristaps Porzingis, les frères Bertans, Janis Timma, Rolands Smits et Andrejs Grazulis. À l&#8217;époque, la Lettonie s&#8217;était inclinée 103 à 97 en quart de finale du tournoi, contre la Slovénie d&#8217;un Luka Doncic très fraîchement majeur. Mais, au-delà d&#8217;une désillusion forcée par l&#8217;étreint score final, ce résultat fut le meilleur décroché par la sélection lettone depuis&#8230; 1937.
La Lettonie a donc un immense coup à jouer dans ce Mondial. Une doublette NBA, un lien fraternel, des joueurs référencés comme Rodions Kurucs (ancien des Nets) ou Janis Timma (60e choix de la Draft NBA 2013), et plusieurs fins connaisseurs du format FIBA, pour ne citer que l&#8217;intérieur du Zalgiris Kaunas, Rolands Smits. La Lettonie est dans le groupe H avec le Canada, le Liban et la France. Seules deux équipes se qualifieront pour le second tour de la compétition (<a href="https://www.fiba.basketball/fr/basketballworldcup/2023/groups#tab=round_CL17-32" target="_blank" rel="noopener">quatre groupes composés des deux premiers de chaque groupe sur le premier tour</a>). En considérant trois mastodontes, il y aura forcément un immense déçu.
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🇱🇻Valstsvienības galvenais treneris Luka Banki nosaucis 16 spēlētājus, kas piedalīsies oficiālajā treniņnometnē Liepājā, no kuriem 12 pārstāvēs Latviju <a href="https://twitter.com/FIBA?ref_src=twsrc%5Etfw">@FIBA</a> Pasaules kausā. <a href="https://twitter.com/hashtag/Tr%C4%ABsZvaigznes?src=hash&amp;ref_src=twsrc%5Etfw">#TrīsZvaigznes</a> <a href="https://twitter.com/hashtag/FIBAWC?src=hash&amp;ref_src=twsrc%5Etfw">#FIBAWC</a> <a href="https://t.co/ttcqWrs0Ep">pic.twitter.com/ttcqWrs0Ep</a>
— Latvijas Basketbola savienība (@basketbols) <a href="https://twitter.com/basketbols/status/1684110939661148160?ref_src=twsrc%5Etfw">July 26, 2023</a></blockquote>
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Kristaps Porzingis et Davis Bertans dans la liste élargie de la Lettonie pour la Coupe du Monde 2023

Cela fait bientôt un mois que les Playoffs ont commencé. C&#8217;est long un mois. Une vie a le temps de changer. Des gens naissent, d&#8217;autres disparaissent. Mais un mois ne suffit pas à Davis Bertans pour comprendre que l&#8217;on peut scorer autrement qu&#8217;avec un tir à 3-points. Sans tentative dans le périmètre depuis le début de ces Playoffs, le rouquemoute de Dallas démontre une fois encore son unidimensionnalité.
Si vous débarquez en pensant que la stat profite de son peu de minutes, sachez que depuis le 16 avril dernier, Davis Bertans n&#8217;a pas endossé le rôle de 10e homme. Il est un élément important dans la rotation de Dallas. En onze matchs de postseason &#8211; six contre le Jazz, cinq face à Phoenix, pour un total de 123 minutes &#8211; l&#8217;ailier de Dallas n&#8217;a jamais tenté un seul tir à 2-points. Il a donc scoré 54 points à 16/33 du parking et 6/7 aux lancers. C&#8217;est là qu&#8217;intervient une petite nuance. À proprement parler, il a tenté plusieurs 2-points mais ayant obtenu la faute &#8211; et manqué le tir &#8211; ces tentatives ne sont pas comptabilisées sur la feuille de match. Il n&#8217;en demeure pas moins l&#8217;un des joueurs les plus unidimensionnels de NBA. Bien que la réflexion n&#8217;ait pas lieu d&#8217;être, dans quelle ligue jouerait Davis Bertans si son tir à 3-points ne combinait pas adresse et rapidité ? Il dégaine très rapidement et sa gestuelle termine haut. Difficile à contrer, il peut dégainer en sortie d&#8217;écran comme sur une simple réception de passe, dont personne ne soupçonnait le catch and shoot. Et puis, le machin peut prendre feu à tout moment. Samedi dernier, à l&#8217;occasion du Game 4 entre Mavericks et Suns, Davis Bertans a inscrit quatre tirs primés en quatre minutes. Peu importe le contrat, un facteur X dans l&#8217;un des matchs les plus importants de la saison, ça ne se refuse pas.
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Davis Bertans gets 4 threes in 4 minutes 🤯🤯🤯
🎥 <a href="https://twitter.com/dallasmavs?ref_src=twsrc%5Etfw">@dallasmavs</a><a href="https://twitter.com/hashtag/teambsa?src=hash&amp;ref_src=twsrc%5Etfw">#teambsa</a> <a href="https://t.co/tOoynYaWl6">pic.twitter.com/tOoynYaWl6</a>
— BSA (@BSAagency) <a href="https://twitter.com/BSAagency/status/1523405045630324737?ref_src=twsrc%5Etfw">May 8, 2022</a></blockquote>
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Cette saison, Davis Bertans c&#8217;est 5.6 points à 36% au tir dont 34% à 3-points, 2.1 rebonds et 0.6 assist en 14.4 minutes de jeu par match. Pour un garçon <a href="https://trashtalk.co/2020/11/21/officiel-davis-bertans-prolonge-aux-wizards-pour-80-millions-sur-5-ans-cette-fois-comptez-sur-lui-pour-la-prochaine-bulle/" target="_blank" rel="noopener noreferrer">qui a prolongé pour 80 millions sur cinq ans</a> en novembre 2020, on est encore très loin du minimum syndical. Son contrat est l&#8217;un des plus toxiques de NBA. À Washington, sa saison 2019-20 a donné l&#8217;illusion d&#8217;un grand role player en devenir. Le genre de couteau suisse qui dans le futur, aurait son importance dans les très grands matchs. Il envoyait à l&#8217;époque 15.4 points, 4.5 rebonds et 1.7 assist à 42% à 3-points. Une ligne statistique à ne pas négliger. L&#8217;ancien du Partizan Belgrade est un tireur létal. Il peut couler une équipe sur n&#8217;importe lequel de ses coups de chaud. C&#8217;est juste embêtant qu&#8217;en ce moment, cela n&#8217;arrive que deux fois par saison. Transféré début février à Dallas, il n&#8217;a disputé que 22 matchs sous les couleurs texanes pour une réussite de 36% du parking. On est encore loin du compte, mais les Mavs ont été audacieux de tenter le move. Le Letton est un bon ajout à cet effectif construit autour de Luka Doncic. Un profil presque indispensable pour toper le titre, même s&#8217;il est dommage d&#8217;en faire le 4e salaire de l&#8217;effectif. Rendez-vous à l&#8217;été 2024 pour une grosse renégociation.
Davis Bertans touche certes un salaire beaucoup trop important pour son rendement, mais cette prolongation à Washington ne payait pas autre chose qu&#8217;une gâchette à 3-points. C&#8217;est tout ce qu&#8217;on lui demande, à lui de le faire mieux.

Davis Bertans n’a toujours pas tenté un tir à 2-points dans ces Playoffs : unidimensionnel, vous avez dit unidimensionnel ?

Récemment transféré du côté des Mavs, Davis Bertans en a profité pour tacler l&#8217;individualisme de ses anciens coéquipiers de Washington. Merci pour l&#8217;info mais à quand la remise en cause personnelle ? 
Le début de saison des Wizards avait tout d&#8217;un conte de fées mais, depuis décembre, les copains de Poudlard sont rentrés dans le rang et la franchise est même sortie de la zone du play-in tournament. Pour ne rien arranger, <a href="https://trashtalk.co/2022/02/09/bradley-beal-opere-du-poignet-et-forfait-pour-le-reste-de-la-saison-question-a-245-millions-rejouera-t-il-un-jour-avec-les-wizards/" target="_blank" rel="noopener noreferrer">Bradley Beal est déjà out pour la fin de saison</a> et il va falloir un grand Kristaps Porzingis et un collectif de qualité pour sauver les meubles à D.C. Ce collectif justement, où est-il donc passé ? On avait loué l&#8217;altruisme et la capacité du groupe à s&#8217;en sortir en équipe et cette description semble désormais bien lointaine. Qu&#8217;est-ce qui a changé entre temps ? On a peut-être un élément de réponse grâce à Davis Bertans, tout juste échangé à Dallas (avec Spencer Dinwiddie). Pour le sniper letton, le problème des Wizards est clair : l&#8217;ambiance dans le vestiaire est pourrie et chacun pense trop à sa pomme.
<blockquote>
&#8220;C&#8217;est dur d&#8217;avoir une bonne alchimie quand il y a des disputes tous les jours autour du nombre de minutes et du rôle de chacun dans l&#8217;équipe.&#8221;
&#8220;C&#8217;était probablement le plus difficile pour la plupart des gars cette saison. Au début, ça ne se voit pas parce que tout le monde essaie de comprendre ce qui se passe. Une fois que ça commence à aller mal, c&#8217;est vraiment dur d&#8217;inverser la tendance.&#8221;
</blockquote>
On sait que Montrezl Harrell et Kentavious Caldwell-Pope ont notamment dû être séparés à la mi-temps d&#8217;un match mais on ne pensait pas que le vestiaire était gangréné à ce point. On peut également prendre cette décla&#8217; comme un tacle à son ancien staff car Wes Unseld Jr. n&#8217;a pas forcément brillé dans ses choix ni dans sa capacité à mettre en place une hiérarchie claire au sein de l&#8217;effectif. Une ambiance pourrie à Washington, c&#8217;est malheureusement un thème qu&#8217;on a souvent traité ces dernières années et ça explique peut-être pourquoi Tommy Sheppard a dû bouger ses pions à la deadline. Au revoir le bagarreur Harrell, au revoir <a href="https://trashtalk.co/2022/01/31/spencer-dinwiddie-a-tente-de-parler-a-ses-coequipiers-mais-il-sest-fait-recaler-jai-essaye-de-parler-plut-tot-ce-netait-pas-forcement-bien-accueilli-ambian/" target="_blank" rel="noopener noreferrer">le rejeté Dinwiddie</a> mais aussi le décevant Davis Bertans. On a beau remercier le Letton de nous filer des infos à l&#8217;intérieur du locker room, il faut dire que l&#8217;équipe n&#8217;a pas été aidée par le natif de Valmiera. Moins de 6 points de moyenne, 32% de loin, une défense qui nous ferait pleurer, Bertans a vraiment fait l&#8217;unanimité cette saison (mais contre lui). Pas ouf quand on sait qu&#8217;il récupère un chèque de 16 millions cette année. Bien content de quitter D.C. et le climat hostile de la franchise, DB va devoir prouver que le contexte a joué sur ses performances. Cela veut dire régler enfin la mire en attaque, offrir un peu de spacing à Dallas (seulement 24ème à l&#8217;adresse lointaine) et si possible se battre un minimum de l&#8217;autre côté du terrain. C&#8217;est bien beau de tacler les copains mais faut aussi balayer devant sa porte de temps à autre.
Davis Bertans règle ses compte avec son ancienne franchise. Le gros problème à Washington ? Une ambiance pourrie et un individualisme qui fait des dégâts. Vivement le prochain Wizards-Mavs !

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Statistiques de la saison 2023-2024

Davis Bertans, un dernier tir qui va laisser des regrets à la Lettonie

Kristaps Porzingis et Davis Bertans dans la liste élargie de la Lettonie pour la Coupe du Monde 2023

Davis Bertans n’a toujours pas tenté un tir à 2-points dans ces Playoffs : unidimensionnel, vous avez dit unidimensionnel ?

Davis Bertans balance sur l’individualisme des Wizards : ça change, d’habitude c’est plutôt des parpaings qu’il balance

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