Sekou Doumbouya is back : 29 points et la victoire pour son deuxième match avec Roanne !

Le 10 mars 2024 à 08:54 par Giovanni Marriette

Sekou Doumbouya 10 mars 2024
Source image : YouTube - LNB

Certaines histoires méritent d’être contées, et celle actuelle de Sekou Doumbouya en fait partie. Hier soir, pour son deuxième match avec Roanne depuis son retour en France, Sekou en a collé 29 au Portel et a contribué à une victoire essentielle pour la Chorale. Sekou, ça secoue.

Marc Berjoan ne pouvait pas rêver mieux pour son baptême du feu au plus haut niveau. Quelques jours après sa promotion suite à l’éviction surprenante de Jean-Denys Choulet, maire, facteur, boulanger et cantonnier de la ville de Roanne, le nouveau coach de la Chorale a donc assisté, comme les heureux spectateurs de la Halle André Vacheresse, à l’acte 2 de la renaissance de Sekou Doumbouya. On en place une, évidemment, pour les chefs d’orchestre DJ Cooper ou Antoine Diot, ou au soldat Yannis Morin, mais le héros de la soirée – en tout cas le protagoniste de “la belle histoire” restera bien Sekou, ancienne gloire du championnat mais ancien blacklisté, ancien prospect mais ancienne cible des railleries, aujourd’hui en passe de devenir la nouvelle sensation du championnat.

29 points à 8/12 au tir dont 2/5 du parking et 7/9 aux lancers, 4 rebonds, 1 contre et 1 steal en 28 minutes

Sekou Doumbouya semble avoir sept vies tel le Chat Potté, et on espère qu’il lui en reste encore quelques unes. Mais tel le rouquin matou, la Faucheuse semble le guetter et lui insuffler une force et une rage supplémentaire, jugez plutôt ci-dessous.

𝗛𝗘 𝗜𝗦 𝗕𝗔𝗖𝗞 🔥

2⃣9⃣ points et une victoire précieuse pour la @ChoraleRoanne, Sekou Doumbouya est bel et bien de retour en #BetclicELITE 💪 pic.twitter.com/qW19PvmvhL

— LNB (@LNBofficiel) March 9, 2024

18 points pour son premier match, 29 pour le deuxième. La Chorale de Roanne est lancée dans une sacrée opération maintien, et le pompier de service pourrait bien être celui que personne n’attendait. Certaines histoires méritent vraiment d’être contées