Coachs du mois de novembre en NBA : Nick Nurse et Doc Rivers honorés, une infirmière et un docteur… ah mince on l’a déjà faite
Le 04 déc. 2018 à 14:11 par Giovanni Marriette
On connaît les traditions, chaque début de mois correspond à la paye et à une grosse cuite également à l’heure de décerner quelques awards. Pas de ceux qui construisent une carrière, mais le genre de trophée qui peut faire joli sur le meuble de la salle à manger. Aujourd’hui 4 novembre les premiers awards de la saison sont donc tombés, alors go faire le point sur les heureux élus.
C’est la troisième et dernière distinction de début de mois, car il n’existe pas encore de classement qui ranke les mascottes. Les Joueurs du mois c’est fait, les Rookies aussi, place désormais à ceux qui donnent le ton sur le banc, ou du moins ceux qui essaient. Deux hommes honorés pour ce premier mois et demi de compétition, et deux profils bien différents, bien qu’issus tous deux du secteur médical. Nick Nurse tout d’abord, coach rookie des Raptors et heureux bénéficiaire du meilleur bilan de la Ligue avec Toronto, ça c’est pour mettre tout le monde d’accord. Un Doc Rivers qui revit avec ses despérados californiens, lui aussi leader de sa Conférence, ça c’est pour la belle histoire.
Deux manières de coacher, deux rosters tellement différents, mais à l’arrivée deux bilans magnifiques pour ce mois de novembre, espéré pour l’un et un peu utopique pour l’autre il y a de ça un mois et demi. L’émergence de Tobias Harris et Danilo Gallinari, l’utilisation habile d’un banc giga-dominant c’est lui aussi, sans compter la mise en lumière d’un rookie, pas forcément la spécialité du Doc ces dernières années. Pour Nick Nurse les choses sont bien différentes car le talent est immense à Toronto mais encore fallait-il s’en saisir de la meilleure des manières. Le chapitre 1 est une réussite, et on bave déjà d’impatience de voir la suite…
Nick Nurse, Doc Rivers, Doc Rivers, Nick Nurse. Un rookie, un vétéran mais un point commun : leurs squads respectifs marchent sur l’eau en ce début de saison. Pourvu que ça dure, comme dirait l’autre.
