TrashTalk

Houston Rockets

Seattle Supersonics

Golden State Warriors

Minnesota Timberwolves

Oklahoma City Thunder

Phoenix Suns

San Antonio Spurs

Denver Nuggets

Dallas Mavericks

Los Angeles Lakers

Sacramento Kings

Utah Jazz

Memphis Grizzlies

Washington Wizards

Toronto Raptors

Philadelphia 76ers

Fiche équipe NBA TrashTalk franchise Orlando Magic

Orlando Magic

New York Knicks

Milwaukee Bucks

Miami Heat

Indiana Pacers

Detroit Pistons

Cleveland Cavaliers

Chicago Bulls

Charlotte Hornets

Brooklyn Nets

Boston Celtics

Los Angeles Clippers

Atlanta Hawks

Portland Trail Blazers

New Orleans Pelicans

T. Satoransky

B. Beal

J. Parker

T. Ariza

D. Russell

T. Graham

J. Green

B. Portis

W. Johnson

T. Brown Jr.

T. Bryant

C. Randle

J. Harris

J. Allen

C. LeVert

D. Carroll

Mccall

J. Dudley

Hollis-Jefferson

R. Kurucs

E. Davis

S. Napier

A. Crabbe

T. McCall

Photo de profil page joueur NBA Bradley Beal

<h2 style="text-align: center;">Bradley Beal selon TrashTalk</h2>
<p style="text-align: justify;">Beaucoup de talent, un compte en banque bien rempli mais un palmarès collectif désespérément vide. Bradley Beal est un joueur de basketball américain évoluant chez les Los Angeles Clippers. Il mesure 1m91, pèse 94 kilos, et il évolue au poste d’arrière. Né à Saint-Louis (Missouri) le 28 juin 1993, Bradley Beal a été sélectionné en 3ème choix de la Draft NBA 2012 par les Washington Wizards et a participé à 13 saisons NBA dans sa carrière. Bradley Beal a porté les maillots des Washington Wizards, des Phoenix Suns et désormais des Los Angeles Clippers en NBA.</p>
<h3 style="text-align: center;">Bradley Beal : du talent, mais quel palmarès ?</h3>
<p style="text-align: justify;">Bradley Beal est l’un des meilleurs arrières de sa génération. Aux côtés du meneur John Wall, il a été l’un des grands leaders des Washington Wizards pendant quasiment toute la décennie 2010. Ses performances individuelles dans la Capitale américaine lui ont permis d’être sélectionné à trois reprises au All-Star Game mais aussi de faire partie de la All-NBA Third Team en 2017. Au niveau international, Bradley Beal a remporté une médaille d’or à la Coupe du Monde des moins de 17 ans avec Team USA. Il était d’ailleurs le MVP du tournoi. Un CV malgré tout bien mince compte tenu du talent du joueur.</p>
<h3 style="text-align: center;">Bradley Beal dans l&rsquo;histoire des Wizards</h3>
<p style="text-align: justify;">Surnommé “Big Panda” (gros panda), Bradley Beal peut se qualifier en un seul mot : scoreur. Si Beal a progressé au fil de sa carrière dans la gestion du jeu et sa capacité à faire des passes décisives, il est surtout un joueur qui est là pour marquer des points. De loin, à mi-distance, en attaquant le cercle, Bradley Beal est doué pour faire trembler la ficelle. Beal fait notamment partie des 19 joueurs NBA à avoir réalisé au moins deux saisons régulières à plus de 30 points par match. Beal co-détient aussi le record du nombre de points inscrits sur un match de saison régulière par un joueur des Wizards (60 points). Défensivement par contre, Bradley Beal peut parfois manquer de combativité dans sa moitié de terrain.</p>
<p style="text-align: justify;">Recordman du nombre de points sur un match NBA avec les Wizards donc, deuxième meilleur scoreur all-time de la franchise, Bradley Beal a tout sur le papier pour être considéré comme une légende de Washington. Pourtant, son passage chez les Washington Wizards n’a pas été fameux sur le plan collectif. Sur les onze saisons de Bradley Beal à Washington, les Wizards n’ont atteint les Playoffs qu’à cinq reprises, ne faisant jamais mieux qu’un second tour. D’abord lieutenant de John Wall, Bradley Beal n’a pas fait mieux en termes de leadership après le départ du meneur All-Star. En effet, les Wizards ont raté les Playoffs à quatre reprises sur les cinq dernières saisons avant son départ à Phoenix. Bradley Beal fait ses stats, remplit son compte en banque avec un très gros contrat mais les résultats ne suivent pas.</p>
<p style="text-align: justify;">Transféré aux Phoenix Suns à l’été 2023 et coéquipier de stars comme Kevin Durant et Devin Booker, Bradley Beal ne sera resté que deux saisons chez les Suns, deux saisons qu&rsquo;on pourrait qualifier de « fiasco » (zéro victoire en Playoffs, mauvaise intégration, blessures, contrat boulet&#8230;). Beal veut désormais rebondir chez les Los Angeles Clippers et prouver qu’il peut mettre son talent au service d’une équipe qui vise la victoire. Peut-il, enfin, ouvrir son palmarès collectif ?</p>
<p><em>Dernière mise à jour le 22 octobre 2025.</em></p>


Bradley Beal

Photo de profil page joueur NBA D'Angelo Russell

<h2 style="text-align: center;">D’Angelo Russell selon TrashTalk</h2>
<p style="text-align: justify;">Il a de la glace dans les veines et du talent dans les mains ! D’Angelo Russell est un joueur de basketball américain évoluant actuellement chez les Dallas Mavericks en NBA. Il mesure 1m92, pèse 88kg, et il joue au poste de meneur. Né à Louisville (Kentucky) le 23 février 1996, D’Angelo Russell a été sélectionné en 2ème position de la Draft NBA 2015 par les Los Angeles Lakers (derrière Karl-Anthony Towns) et a participé à 10 saisons en NBA dans sa carrière. Durant celle-ci, D&rsquo;Angelo Russell a porté les maillot des Lakers, des Nets, des Warriors, des Wolves avant un deuxième passage aux Lakers puis aux Nets, et une siganture à Dallas à l&rsquo;été 2025.</p>
<p style="text-align: justify;">D’Angelo Russell, c’est la définition même du pur talent qui ne parvient pas à son zénith. Attendu comme le nouveau visage des Los Angeles Lakers au moment de sa Draft en 2015, Russell n’est resté que deux saisons en Californie. Envoyé chez les Brooklyn Nets, il explose véritablement et devient All-Star lors de sa quatrième saison (2019). Échangé à nouveau aux Warriors (contre Kevin Durant) puis aux Wolves, D’Angelo Russell enchaîne les hauts et les bas dans ses performances. De retour aux Lakers en 2023, il remporte la même année le NBA In-Season Tournament aux côtés de LeBron James et Anthony Davis. Il s’agit là de son premier et seul titre collectif en carrière. Lors de la Trade Deadline 2025 il revient à Brooklyn en espérant y briller à nouveau.</p>
<h3 style="text-align: center;">D’Angelo Russell, ou quand le talent ne suffit pas</h3>
<p style="text-align: justify;">Surnommé “D-LO”, D’Angelo Russell est un meneur capable de briller aussi bien au scoring qu’à la création. Malgré quelques difficultés en début de carrière, Russell s’est affirmé comme un shooteur solide en NBA. Il a connu des progrès significatifs au niveau de l’adresse à 3-points, passant de 35% durant sa saison rookie à plus de 40% lors des dernières années. Des capacités qui lui ont permis de réaliser quelques très gros cartons au scoring : son record personnel est de 52 points (2019), et il a aussi distribué 15 passes décisives dans un match en 2022. Défensivement, D’Angelo Russell n’a jamais été connu pour sa combativité et il est régulièrement pris pour cible par les meilleurs scoreurs adverses. Bref, un joueur qui ne joue que d’un côté du terrain.</p>
<p style="text-align: justify;">Attendu comme l’un des grands talents de sa génération, D’Angelo Russell n’a pas réussi à franchir le cap pour devenir une véritable star en NBA. Ses principaux défauts, en plus de la défense, sont son manque de régularité et son faible leadership. Ses limites se sont vues à de nombreuses reprises lors des Playoffs NBA. Alors que les grands joueurs ont l’habitude de hausser leur niveau dans les séries éliminatoires, Russell a lui tendance à totalement disparaître ou à déjouer. Ses stats en Playoffs NBA sont d’ailleurs largement inférieures à ce qu’il apporte en saison régulière. Pas facile de croire en un joueur qui ne répond pas présent quand on a le plus besoin de lui.</p>
<p style="text-align: justify;">D’Angelo Russell ne sera jamais une superstar en NBA mais il reste un joueur talentueux qui peut faire des coups d’éclat dans un bon soir. Manque juste un peu de régularité et de gros efforts défensifs pour devenir la meilleure version de lui-même. Ce sera peut-être avec les Mavericks, dans un rôle de lieutenant de l&rsquo;ombre qui lui enlève pas mal de pression.</p>
<p><em>Dernière mise à jour le 7 octobre 2025</em></p>


D’Angelo Russell

Photo de profil page joueur NBA Bobby Portis

<h2 style="text-align: center;">Bobby Portis selon TrashTalk</h2>
<p style="text-align: justify;">Il est une véritable pile électrique, une pile qui n’a pas besoin d’être rechargée. Bobby Portis est un joueur de basketball américain évoluant actuellement chez les Milwaukee Bucks en NBA. Il mesure 2m08, pèse 113kg, et il joue au poste d’ailier-fort. Né à Little Rock, Arkansas (États-Unis) le 10 février 1995, Bobby Portis a été sélectionné en 22e choix de la Draft NBA 2015 par les Chicago Bulls, et a participé à 10 saisons en NBA dans sa carrière. Au cours de sa carrière il a porté les couleurs des Chicago Bulls, des Washington Wizards, des New York Knicks et enfin des Milwaukee Bucks.</p>
<h3 style="text-align: center;">Bobby Portis, boxeur à Chicago</h3>
<p style="text-align: justify;">Élu meilleur joueur de l&rsquo;État d’Arkansas en 2015 après sa dernière année universitaire chez les Razorbacks, Bobby Portis débute donc en NBA quelques semaines plus tard sous le maillot des Bulls. Il y évolue pendant trois saisons et demie dans un rôle d’energizer offensif en sortie de banc. Bobby n’est pas à proprement parler un spécialiste défensif mais l’énergie qu’il laisse chaque soir sur les parquets de NBA fait de lui un élément incontournable du roster de la franchise de Chicago. 14 points et 8 rebonds de moyenne, voilà les statistiques positives à poser dans le dossier de Bobby Portis. Une baston avec son coéquipier Nikola Mirotic (fractures au visage pour l’Espagnol), voilà ce qui s’écrit plutôt en rouge sur son CV. En février 2019 “Bobby Buckets” est échangé direction les Washington Wizards après une seule série de Playoffs NBA en trois ans et demi avec les Chicago Bulls, merci pour tout et bonne continuation.</p>
<h3 style="text-align: center;">Bobby Portis, rouage essentiel et champion NBA chez les Bucks</h3>
<p style="text-align: justify;">La suite ? Une demi-saison NBA intéressante d’un point de vue individuel chez les Washington Wizards, une autre sans frisson avec les Knicks de New York et c’est en novembre 2020 que Bobby Portis, son bandeau et ses yeux grands ouverts déboulent chez les Bucks de Milwaukee pour donner un nouvel élan à une carrière qui peine à trouver son utilité.</p>
<p style="text-align: justify;">Ding-dong, le choix est le bon car un an plus tard Bobby Portis est champion NBA avec la franchise du Wisconsin, aux côtés de Giannis Antetokounmpo, en ayant notamment contribué lors des Playoffs NBA quand il a fallu remplacer son coéquipier grec au pied levé durant la finale de conférence face aux Atlanta Hawks. Comme quoi, être dans la bonne team, ça vous change un joueur en NBA. Et comme la franchise des Milwaukee Bucks tourne au poil, Bobby Portis se fond dans le collectif au lieu de distribuer des pains à un coéquipier.</p>
<p style="text-align: justify;">Devenu naturellement l’un des meilleurs remplaçants de NBA, Bobby Portis n’a pas son pareil pour élever l’intensité d’un match. Relever le copain au sol (“une Patty Mills” dans le milieu), chauffer un adversaire et/ou le public, apporter sa combativité au rebond et envoyer une dizaine de tirs pour débloquer un match mal engagé, voici les points forts de Monsieur Bobby, qui a vu ses efforts récompensés par une invitation chez Team USA pour la Coupe du Monde 2023. Et ça, ça a de quoi nous faire écarquiller les yeux, à nous aussi.</p>
<p>Bobby Portis a bouclé la saison 2024-25 avec 13,9 points et 8,4 rebonds de moyenne, malgré une suspension de 25 matchs pour substance interdite (Tramadol, confondu avec un médicament autorisé). Il a maintenu son niveau en playoffs (14 points, 8 rebonds) malgré le court parcours des daims.</p>
<p><em><span style="font-weight: 400;">Dernière mise à jour le 01/10/2025</span></em></p>


Bobby Portis

Photo de profil page joueur NBA Caris LeVert

<h2 style="text-align: center;">Caris LeVert selon TrashTalk</h2>
<p style="text-align: justify;">Caris LeVert n’est pas vert ni fan de Kaaris, mais un joueur de basketball américain évoluant actuellement chez les Atlanta Hawks en NBA. Il mesure 1m98, pèse 93kg, et joue au poste d’arrière ou d’ailier. Né à Columbus (Ohio) le 25 août 1994, Caris LeVert a été sélectionné en 20e choix de la Draft NBA 2016 par les Indiana Pacers, avant d’être transféré chez les Brooklyn Nets. LeVert a participé à 9 saisons en NBA dans sa carrière. Il a porté les maillots des Indiana Pacers, des Brooklyn Nets, des Cleveland Cavaliers et désormais celui des Atlanta Hawks.</p>
<p style="text-align: justify;">Caris LeVert s’est fait une place en NBA avant tout grâce à ses qualités de scoreur, lui qui a réalisé plusieurs saisons entre 15 et 21 points de moyenne chez les Brooklyn Nets, les Indiana Pacers et les Cleveland Cavaliers. En mars 2020, il a même explosé avec 51 points inscrits contre les Boston Celtics, une performance pas donnée à tout le monde. LeVert est également l’un des meilleurs remplaçants de la NBA actuelle, apportant souvent un coup de boost offensif aux Cavaliers derrière Donovan Mitchell et Darius Garland. Malheureusement, de nombreuses blessures ont également perturbé sa carrière, même avant d’arriver en NBA.</p>
<h3 style="text-align: center;">Caris LeVert, un talent fragile</h3>
<p style="text-align: justify;">Formé dans la célèbre université de Michigan, où il a pu côtoyer des joueurs comme Trey Burke et Tim Hardaway Jr., Caris LeVert a eu l’occasion de participer à la grande finale de la March Madness NCAA, mais a surtout connu trois opérations au pied gauche après plusieurs fractures de fatigue ainsi qu’une autre blessure à la jambe. LeVert a carrément dû assister à sa remise de diplôme en béquilles. Chutant jusqu’à la 20e place de la Draft NBA 2016 à cause de ses pépins physiques, Caris LeVert a ensuite manqué plus de 100 matchs en un peu plus de quatre saisons chez les Brooklyn Nets. Cela n’a pas empêché LeVert de devenir un élément important aux yeux de son coach Kenny Atkinson et d’aider les Nets à retrouver les Playoffs avec D’Angelo Russell, Spencer Dinwiddie ou encore Jarrett Allen.</p>
<p style="text-align: justify;">En janvier 2021, Caris LeVert a néanmoins été sacrifié par les Nets pour permettre l’arrivée de la star James Harden à Brooklyn aux côtés de Kevin Durant et Kyrie Irving. Un transfert qui lui “sauve la vie” puisque sa nouvelle équipe des Indiana Pacers a découvert une tumeur sur son rein gauche lors de la visite médicale. Absent deux mois après s’être fait opérer, LeVert a pu retrouver les parquets NBA et un niveau très correct. À nouveau transféré en février 2022 chez les Cleveland Cavaliers (contre Ricky Rubio), Caris LeVert échappe depuis aux pépins physiques. Pourvu que ça dure.</p>
<p>Transféré à la trade deadline 2025 à Atlanta, Caris LeVert devra aider Trae Young et le Français Zaccharie Risacher à retrouver les Playoffs.</p>
<p><em>Dernière mise à jour le 14 février 2025</em></p>


Caris LeVert

Photo de profil page joueur NBA Joe Harris

<h2 style="text-align: center;">Joe Harris selon TrashTalk</h2>
<p style="text-align: justify;"><span style="font-weight: 400;">Du shoot, du shoot et encore du shoot. Joe Harris est un ancien joueur de basketball américain ayant évolué en NBA entre 2014 et 2024. Il mesure 1m98, pèse 99kg, et il jouait au poste d’arrière ou d’ailier. Né à Chelan (Washington) le 6 septembre 1991, Joe Harris a été sélectionné en 33ème choix de la Draft NBA 2014 par les Cleveland Cavaliers et a participé à 10 saisons en NBA dans sa carrière.</span></p>
<p style="text-align: justify;">Joe Harris est le profil typique du sniper en NBA. Un joueur connu pour la fiabilité de son tir à 3-points, capable d&rsquo;enchaîner les shoots de loin avec régularité si les défenses adverses lui laissent trop d’espace. Avec plus de 43% d’adresse à 3-points en carrière (cinquième meilleure adresse de l’histoire NBA), Joe Harris peut être considéré comme l’un des shooteurs les plus fiables de NBA à longue distance. Harris a notamment remporté le concours à 3-points de la NBA au All-Star Weekend 2019. Joe Harris détient aussi le record de franchise des Brooklyn Nets avec 984 tirs à 3-points inscrits (devant Jason Kidd) durant son passage à Big Apple.</p>
<p style="text-align: justify;">Si Harris brille à longue distance, il a également prouvé au cours de sa carrière qu’il était plus qu’un shooteur, lui qui possède une vraie intelligence de jeu et une belle capacité à se fondre dans un collectif. Par contre, Joe Harris souffre de ses limites défensives (liées notamment à son manque de qualités athlétiques), qui peuvent souvent en faire une cible de choix pour les attaquants adverses.</p>
<h3 style="text-align: center;">Joe Harris, du 3-points et des blessures</h3>
<p style="text-align: justify;">Après un parcours de 4 ans à la fac de Virginie, Joe Harris arrive en NBA chez les Cleveland Cavaliers. Son passage dans l’Ohio est néanmoins anecdotique. Dans une équipe qui joue les premiers rôles avec LeBron James, Kyrie Irving et Kevin Love, Harris a très peu de temps de jeu dans sa saison rookie. Sa saison sophomore est encore pire car il se blesse et ne dispute que cinq matchs avant d’être échangé puis coupé. Joe Harris est néanmoins crédité du titre de champion NBA 2016 remporté quelques mois plus tard par ses ex-coéquipiers. Il voit enfin sa chance tourner lorsqu’il rejoint les Brooklyn Nets en 2016, qui lui accordent confiance et temps de jeu alors qu’ils sont en reconstruction. Durant sept saisons, Joe Harris s’impose comme un titulaire à Brooklyn, dans un rôle de shooteur d’élite à 3-points. Sa fin de parcours chez les Nets est néanmoins marquée par des blessures à répétition à la cheville et un niveau en baisse. Envoyé chez les Detroit Pistons en 2023, pire équipe NBA, Joe Harris ne joue presque plus et est coupé en février 2024.</p>
<p style="text-align: justify;">Pendant son ascension aux Nets, Joe Harris a eu l’occasion de défendre les couleurs de son pays sur la scène internationale, preuve qu’il était un joueur solide dans ses bonnes années. Sélectionné par Gregg Popovich pour disputer la Coupe du Monde 2019 avec Team USA, Joe Harris a fait partie de l’équipe américaine qui a fini seulement 7ème en Chine (pire performance de Team USA dans une compétition internationale). Il avait des moyennes de 8 points et 4 rebonds sur l’ensemble de la compétition.</p>
<p style="text-align: justify;"><span style="font-weight: 400;">Gêné par les blessures ces dernières années en NBA, Joe Harris a finalement décidé de mettre un terme à sa carrière NBA en août 2024, à seulement 33 ans. Reste à connaître désormais sa reconversion. Pourquoi pas comme coach de shoot pour aider la nouvelle génération à faire trembler la ficelle à 3-points ?</span></p>
<p><em>Dernière mise à jour le 27 janvier 2025</em></p>


Joe Harris

Photo de profil page joueur NBA Jeff Green

<h2 style="text-align: center;">Jeff Green selon TrashTalk</h2>
<p style="text-align: justify;">À 20, 40 ou 60 ans, Jeff Green est et restera une terreur des arceaux. Jeff Green est un joueur de basketball américain évoluant aux Houston Rockets en NBA. Il mesure 2m03, pèse 107kg, et il joue principalement au poste d’ailier-fort ou d’ailier. Né à Cheverly (Maryland) le 28 août 1986, Jeff Green a été sélectionné en 5ème choix de la Draft NBA 2007 par les Boston Celtics mais a été envoyé dans la foulée aux Seattle SuperSonics (petits anges partis trop tôt). Jeff Green a participé à 17 saisons NBA dans sa carrière (il n’a pas participé à la saison 2011-12 pour cause de maladie). Il a porté les couleurs des Seattle SuperSonics, du Oklahoma City Thunder, des Boston Celtics, des Memphis Grizzlies, des Los Angeles Clippers, du Orlando Magic, des Cleveland Cavaliers, des Washington Wizards, du Utah Jazz, des Houston Rockets, des Brooklyn Nets et des Denver Nuggets, soit une grosse partie des équipes NBA. Il est désormais de retour aux Houston Rockets.</p>
<h3 style="text-align: center;">Jeff Green, roi des posters</h3>
<p style="text-align: justify;">Jeff Green est l’un des dunkeurs les plus impressionnants de sa génération, capable de postériser (dunker sur un défenseur) ses adversaires directs. Même à un âge avancé (38 ans), Jeff Green continue d’attaquer le cercle grâce à ses qualités athlétiques. Mais Green n’est pas qu’un dunkeur. Durant ses meilleures années, il était un scoreur qui tournait autour des 15 points de moyenne malgré des limites au shoot (34% d’adresse en carrière), avec en prime une belle polyvalence défensive. Jeff Green s’est ensuite transformé en bon vétéran, apprécié pour sa combativité et son professionnalisme. Cela lui a permis de rester en NBA saison après saison, jusqu’à remporter une bague de champion NBA avec les Denver Nuggets en 2023.</p>
<h3 style="text-align: center;">Jeff Green, champion NBA</h3>
<p style="text-align: justify;">Surnommé “Uncle Jeff’ (tonton Jeff), Jeff Green a été transféré avant même d’avoir mis un pied en NBA dans le deal envoyant Ray Allen aux Boston Celtics. Jeff Green a connu une véritable carrière de baroudeur. Solide joueur de collectif, Jeff Green a joué dans pas moins de onze franchises différentes lors de ses 16 premières saisons en NBA. Green a notamment pu partager le vestiaire avec de nombreuses stars NBA au fil des ans, comme Kevin Durant, LeBron James, Kevin Garnett, Russell Westbrook ou encore Nikola Jokic, avec qui il a remporté son seul titre de champion NBA face au Miami Heat, douze après être allé en finale avec la jeune troupe du Thunder (Russell Westbrook, Kevin Durant, James Harden, Serge Ibaka) pour une défaite face au&#8230; Heat déjà !</p>
<h3 style="text-align: center;">Jeff Green à coeur ouvert</h3>
<p style="text-align: justify;">Mais si Jeff Green a connu une carrière NBA globalement aboutie, celle-ci aurait pu être bien différente. En 2012, Jeff Green a en effet été opéré à cœur ouvert pendant près de cinq heures pour soigner un anévrisme aortique. Un problème au cœur qui aurait pu terminer à la fois sa carrière mais aussi sa vie… Rétabli après plusieurs mois de repos, Jeff Green a finalement pu reprendre le cours de sa carrière. Le titre NBA remporté un peu plus d’une décennie plus tard n’en sera que plus beau pour un joueur qui revient de très, très loin.</p>
<p style="text-align: justify;">De la salle d’opération au titre NBA, Jeff Green aura connu une carrière mouvementée mais finalement récompensée d’une bague de champion. La preuve que patience, persévérance et travail donnent souvent des résultats avec le temps.</p>
<p><em>Dernière mise à jour le 10 octobre 2025</em></p>


Jeff Green

Photo de profil page joueur NBA Thomas Bryant

<h2 style="text-align: center;">Thomas Bryant selon TrashTalk</h2>
<p style="text-align: justify;">Il s’appelle Bryant et il a joué aux Lakers mais il n’a rien d’un Black Mamba. Thomas Bryant est un joueur de basketball américain évoluant actuellement chez les Cleveland Cavaliers en NBA. Il mesure 2m08, pèse 112kg, et il joue au poste de pivot. Né à Rochester (New York) le 31 juillet 1997, Thomas Bryant a été sélectionné en 42ème choix de la Draft NBA 2017 par le Utah Jazz et a participé à 8 saisons en NBA dans sa carrière. Thomas Bryant a porté les maillots des Los Angeles Lakers, des Washington Wizards, des Denver Nuggets, du Miami Heat, des Indiana Pacers et désormais des Cleveland Cavaliers.</p>
<p style="text-align: justify;">Au pays des intérieurs de seconde (ou troisième) zone, Thomas Bryant est roi. Bryant présente certaines qualités de l’intérieur moderne, à savoir notamment un shoot extérieur loin d’être catastrophique (35% d’adresse en carrière), même s’il en fait relativement peu usage. Pivot physique, rebondeur correct, Thomas Bryant peut avoir un impact sur le parquet, au moins sur le plan offensif. Sa lenteur et ses faiblesses en défense sont néanmoins des raisons suffisantes pour expliquer son rôle souvent limité au sein de la rotation.</p>
<h3 style="text-align: center;">Thomas Bryant, un titre NBA dans l’ombre de Nikola Jokic</h3>
<p style="text-align: justify;">Après deux ans chez les Hoosiers d’Indiana à l’université, Thomas Bryant débarque en NBA en 2017, chez les Los Angeles Lakers, où un autre Bryant a brillé avant lui. Dans la Cité des Anges, Thomas Bryant doit se contenter d’un faible temps de jeu et il est laissé libre au terme de son année rookie. Thomas Bryant rebondit ensuite chez les Washington Wizards, où il profite du départ de Marcin Gortat pour obtenir une place de titulaire dans la raquette. Les quatre années de Thomas Bryant à Washington sont marquées par des stats en hausse, lui qui a notamment sorti un match à 31 points avec un parfait 14/14 au tir en décembre 2018. Une performance à la Wilt Chamberlain ! Mais une grave blessure au genou en 2021 marque un vrai coup d’arrêt dans la carrière du joueur.</p>
<p style="text-align: justify;">En 2022, Bryant décide de retenter sa chance chez les Los Angeles Lakers mais il est transféré au bout de quelques mois à destination des Denver Nuggets. Un échange qui va lui sourire car la franchise du Colorado remporte le titre de champion NBA 2023. Si Thomas Bryant joue très peu avec les Nuggets, Nikola Jokic oblige, il en profite tout de même pour obtenir le premier titre de sa carrière avant d&rsquo;être transféré quelques mois plus tard à Miami pour poursuivre sa carrière.</p>
<p style="text-align: justify;">Malgré un début de carrière plutôt prometteur chez les Washington Wizards, Thomas Bryant semble de plus en plus condamné à jouer les utilités en NBA. Un joueur capable d’apporter des rebonds et quelques points mais trop de limites pour vraiment avoir un rôle digne de ce nom dans un roster.</p>
<p><em>Dernière mise à jour le 20/10/2025</em></p>


Thomas Bryant

Photo de profil page joueur NBA Troy Brown Jr.

<h2 style="text-align: center;">Troy Brown Jr. selon TrashTalk</h2>
<p style="text-align: justify;">Est-il le fils de Deux Brown ? Troy Randall Brown Jr. est un joueur de basketball américain qui a été coupé lors de l&rsquo;été 2024 par la franchise NBA des Detroit Pistons. Il mesure 1m98, pèse 98 kg, et il joue au poste d&rsquo;ailier. Né à Las Vegas dans le Nevada aux  États-Unis le 28 juillet 1999, Troy Brown Jr. a été sélectionné en 15ème choix de la Draft NBA 2018 par les Washington Wizards. Il a participé à six saisons en NBA dans sa carrière. Troy Brown Jr. a porté les maillots des Washington Wizards, des Chicago Bulls, des Los Angeles Lakers, des Minnesota Timberwolves et des Detroit Pistons.</p>
<p style="text-align: justify;">Troy Brown Jr. est un ailier défensif qui s’appuie sur ses qualités physiques &#8211; en particulier son envergure &#8211; pour peser de ce côté du parquet. Bon intercepteur, pas mauvais au rebond, on va surtout lui demander de venir faire les tâches ingrates en sortie de banc pour freiner la second unit (les remplaçants) adverse. Offensivement, son rôle reste limité car sans être nul à 3 points (35% environ en carrière), Troy Brown Jr. n’est pas un shooteur fiable, en tout cas pas suffisamment pour s’affirmer comme un 3&amp;D (joueur spécialisé dans le tir à 3 points et la défense) dans la grande ligue. Il n’empêche, il dispose d’une bonne vision du jeu et de création, ce qui permet d’ajouter quelques cordes à son arc en attaque où il dépend encore trop de ses qualités athlétiques.</p>
<h3 style="text-align: center;">Troy Brown Jr. enchaîne les franchises, pas les performances</h3>
<p style="text-align: justify;">L’autre souci de Troy Brown Jr., c’est son manque de régularité, ce qui explique sans doute qu’il a connu presque autant de franchises NBA que de saisons dans la ligue. Drafté par des Washington Wizards en déclin, Troy Brown Jr. n’a pas particulièrement brillé lors de sa saison rookie avant de montrer des signes de progrès en sophomore (deuxième saison) avec par exemple son record en carrière aux points, 26 unités lors d’une victoire sur les Knicks en décembre 2019. Pas suffisamment aux yeux des Wizards puisque quelques mois plus tard, alors que son temps de jeu et ses statistiques sont en baisse, Troy Brown Jr. est envoyé aux Chicago Bulls. Il va passer un peu plus d’un an aux Bulls avant de signer aux Los Angeles Lakers lors de la saison 2022-23. L’une de ses saisons les plus réussies : Troy Brown Jr. dispute 45 matchs comme titulaire (sur 76) et affiche sa meilleure adresse à 3 points en carrière (38,1%) ainsi que son record de rebonds sur un match (17 face aux Nets le 30 janvier 2023). Pourtant, là encore ce n’est pas assez pour convaincre les Lakers de miser sur lui pour du long terme. C’est alors aux Minnesota Timberwolves que Troy Brown Jr. essaie de rebondir, mais sans grand succès puisqu’il est transféré aux Detroit Pistons.</p>
<p style="text-align: justify;">Dans une équipe en reconstruction, Troy Brown Jr. n&rsquo;a même pas réussi à faire son trou puisque les Detroit Pistons l&rsquo;ont coupé en juillet 2024. Pas sûr qu&rsquo;il dispose d&rsquo;une autre chance en NBA prochainement.</p>
<p><em>Dernière mise à jour le 27/09/2024</em></p>


Troy Brown Jr.

Photo de profil page joueur NBA Jarrett Allen

<h2 style="text-align: center;">Jarrett Allen selon TrashTalk</h2>
<p style="text-align: justify;">Facilement reconnaissable à travers sa coupe afro, Jarrett Allen est un joueur de basketball américain qui évolue actuellement chez les Cleveland Cavaliers en NBA. Il mesure 2m10, pèse 110kg, et il joue au poste de pivot. Né à San Diego (Californie) le 21 avril 1998, Jarrett Allen a été sélectionné en 22e choix de la Draft NBA 2017 par les Brooklyn Nets. Il a participé à 8 saisons en NBA dans sa carrière, portant les maillots des Brooklyn Nets puis désormais des Cleveland Cavaliers.</p>
<h3 style="text-align: center;">Twin Tower des Cavaliers</h3>
<p style="text-align: justify;">Jarrett Allen fait partie des meilleurs intérieurs défensifs de la NBA grâce à son énorme envergure (2m27), ses capacités de contreur et une belle mobilité pour sa taille. Aux côtés du jeune Evan Mobley, il aide les Cleveland Cavaliers à avoir l’une des défenses les plus solides en NBA. Cela lui a valu une première participation au All-Star Game NBA en 2022, au cours d’une saison où Allen a sorti ses meilleures statistiques en carrière avec 16 points, 11 rebonds et 1,3 contre de moyenne. Jarrett Allen est également un bon finisseur près du cercle en attaque, lui qui profite des passes inspirées de ses coéquipiers Darius Garland et Donovan Mitchell.</p>
<h3 style="text-align: center;">De Brooklyn à Cleveland</h3>
<p style="text-align: justify;">Jarrett Allen a montré une belle progression depuis son arrivée aux Cleveland Cavaliers en 2021, confirmant ainsi les belles promesses montrées au lycée (il a participé au McDonald&rsquo;s All-American Game en 2016, rassemblant les meilleurs lycéens des Etats-Unis), à l’université du Texas mais surtout chez les Brooklyn Nets, sa première franchise NBA. Au cours de ses deux premières saisons NBA, entre 2017 et 2019, Allen a participé au renouveau des Nets après plusieurs années difficiles. Il est rapidement devenu le pivot titulaire d’une équipe jeune et ambitieuse, portée notamment par le meneur All-Star D’Angelo Russell et guidée par le coach Kenny Atkinson. Les Brooklyn Nets ont ainsi retrouvé les Playoffs en 2019, posant les bases pour l’arrivée des stars Kevin Durant et Kyrie Irving en tant qu’agents libres cette année-là. Jarrett Allen a brièvement évolué à leurs côtés avant de se faire échanger à Cleveland en janvier 2021 dans le cadre du transfert de James Harden à Brooklyn.</p>
<h3 style="text-align: center;">Une personnalité à part</h3>
<p style="text-align: left;">Mature, travailleur, et pas vraiment intéressé par l’aspect “bling-bling” de la NBA, Jarrett Allen possède une personnalité réservée, mais pas inintéressante pour autant. L’intérieur des  Cleveland Cavaliers est un grand fan de la bande dessinée Calvin et Hobbes, il aime le jardinage, faire la cuisine, l’informatique, et adore voyager durant l’intersaison. Néanmoins, son plus grand objectif est toujours le même : apprendre et progresser pour devenir le meilleur pivot possible, et aider la prometteuse équipe des Cavaliers à devenir l’une des meilleures de la Conférence Est.</p>
<p>La saison 2024-25 de Jarrett Allen est notable par sa régularité et son efficacité record : il a joué les 82 matchs, tourné à 13,5 points et 9,7 rebonds de moyenne, tout en menant la NBA au pourcentage de réussite (70,6 %). Pas une saison spectaculaire, mais une vraie référence de constance et d’impact intérieur pour Cleveland.</p>
<p><em>Dernière mise à jour le 20 octobre 2025</em></p>


Match du 27 février 2019 : Brooklyn Nets vs Washington Wizards

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