TrashTalk

Le Guide des Playoffs NBA 2024

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Photo de profil page joueur NBA Taj Gibson

<h2 style="text-align: center;">Taj Gibson selon TrashTalk</h2>
<p style="text-align: justify;">La définition du parfait soldat ? Peut-être bien. Taj Gibson est un joueur de basketball américain actuellement sans contrat. Il mesure 2m06, pèse 105 kilos, et il peut jouer au poste d’ailier-fort ou de pivot. Né à Brooklyn (New York) le 24 juin 1985, Taj Gibson a été sélectionné en 26ème choix de la Draft NBA 2009 par les Chicago Bulls et a participé à 14 saisons NBA dans sa carrière. Taj Gibson a porté les couleurs des Chicago Bulls, de l&#8217;Oklahoma City Thunder, des Minnesota Timberwolves et enfin des New York Knicks.</p>
<p style="text-align: justify;">Taj Gibson a un profil qui aurait bien collé dans le basket rugueux des années 90. C’est un véritable col bleu, un travailleur acharné qui n’hésite jamais à aller au charbon pour défendre les couleurs de son équipe. Gibson est surtout précieux pour ses qualités défensives, aux rebonds mais aussi sa combativité et son professionnalisme sans faille. En attaque, Taj Gibson est capable de contribuer mais il n’a jamais été réputé pour ses talents offensifs (seulement 5 saisons au-dessus des 10 points de moyenne en carrière). Gibson connaît son rôle, celui du soldat qui fait les tâches ingrates, et il s’y tient.</p>
<p style="text-align: justify;">Taj Gibson débute sa carrière NBA en 2009 chez les Chicago Bulls, où sa combativité et ses efforts défensifs sont particulièrement appréciés par le coach Tom Thibodeau. Précieux joueur de rotation chez les Bulls de Derrick Rose et Joakim Noah, il est néanmoins échangé au Oklahoma City Thunder après 7 saisons, lorsque Chicago décide de débuter un nouveau cycle. Taj Gibson jouera ensuite avec les Minnesota Timberwolves, les New York Knicks et les Washington Wizards.</p>
<h3 style="text-align: center;">Taj Gibson et Tom Thibodeau, les inséparables</h3>
<p style="text-align: justify;">En NBA, il arrive qu’il soit impossible de dissocier la carrière d’un joueur de celle d’un entraîneur. C’est le cas pour Gregg Popovich avec Tim Duncan, ou Phil Jackson avec Michael Jordan et Kobe Bryant. Cela vaut aussi pour… Taj Gibson et Tom Thibodeau. Sur les 14 saisons NBA de Taj Gibson, Thibodeau a été son coach à 9 reprises. Taj Gibson avait notamment rejoint les Minnesota Timberwolves en 2017 afin de retrouver Tom Thibodeau. Gibson a également porté le maillot des Knicks entre 2019 et 2024, avec &#8211; vous l’avez deviné &#8211; Thibodeau comme entraîneur. Thibs (le surnom de Tom Thibodeau) n’a d’ailleurs jamais caché l’admiration qu’il avait pour celui qui fut son grognard pendant une décennie entière.</p>
<p style="text-align: justify;">Taj Gibson n’a jamais été aussi proche de la retraite et la suite est déjà toute connue : une place dans le staff de Tom Thibodeau. On ne change pas un tandem qui se kiffe après tout.</p>


Taj Gibson

Photo de profil page joueur NBA Bradley Beal

<h2 style="text-align: center;">Bradley Beal selon TrashTalk</h2>
<p style="text-align: justify;">Beaucoup de talent, un compte en banque bien rempli mais un palmarès collectif désespérément vide. Bradley Beal est un joueur de basketball américain évoluant chez les Phoenix Suns. Il mesure 1m91, pèse 94 kilos, et il évolue au poste d’arrière. Né à Saint-Louis (Missouri) le 28 juin 1993, Bradley Beal a été sélectionné en 3ème choix de la Draft NBA 2012 par les Washington Wizards et a participé à 11 saisons NBA dans sa carrière.</p>
<h3 style="text-align: center;">Bradley Beal : du talent, mais quel palmarès ?</h3>
<p style="text-align: justify;">Bradley Beal est l’un des meilleurs arrières de sa génération. Aux côtés du meneur John Wall, il a été l’un des grands leaders des Washington Wizards pendant quasiment toute la décennie 2010. Ses performances individuelles dans la Capitale américaine lui ont permis d’être sélectionné à trois reprises au All-Star Game mais aussi de faire partie de la All-NBA Third Team en 2017. Au niveau international, Bradley Beal a remporté une médaille d’or à la Coupe du Monde des moins de 17 ans avec Team USA. Il était d’ailleurs le MVP du tournoi. Un CV malgré tout bien mince compte tenu du talent du joueur.</p>
<h3 style="text-align: center;">Bradley Beal dans l&#8217;histoire des Wizards</h3>
<p style="text-align: justify;">Surnommé “Big Panda” (gros panda), Bradley Beal peut se qualifier en un seul mot : scoreur. Si Beal a progressé au fil de sa carrière dans la gestion du jeu et sa capacité à faire des passes décisives, il est surtout un joueur qui est là pour marquer des points. De loin, à mi-distance, en attaquant le cercle, Bradley Beal est doué pour faire trembler la ficelle. Beal fait notamment partie des 19 joueurs NBA à avoir réalisé au moins deux saisons régulières à plus de 30 points par match. Beal co-détient aussi le record du nombre de points inscrits sur un match de saison régulière par un joueur des Wizards (60 points). Défensivement par contre, Bradley Beal peut parfois manquer de combativité dans sa moitié de terrain.</p>
<p style="text-align: justify;">Recordman du nombre de points sur un match NBA avec les Wizards donc, deuxième meilleur scoreur all-time de la franchise, Bradley Beal a tout sur le papier pour être considéré comme une légende de Washington. Pourtant, son passage chez les Washington Wizards n’a pas été fameux sur le plan collectif. Sur les onze saisons de Bradley Beal à Washington, les Wizards n’ont atteint les Playoffs qu’à cinq reprises, ne faisant jamais mieux qu’un second tour. D’abord lieutenant de John Wall, Bradley Beal n’a pas fait mieux en termes de leadership après le départ du meneur All-Star. En effet, les Wizards ont raté les Playoffs à quatre reprises sur les cinq dernières saisons avant son départ à Phoenix. Bradley Beal fait ses stats, remplit son compte en banque avec un très gros contrat mais les résultats ne suivent pas.</p>
<p style="text-align: justify;">Transféré aux Phoenix Suns à l’été 2023 et coéquipier de stars comme Kevin Durant et Devin Booker, Bradley Beal doit désormais prouver qu’il peut mettre son talent au service d’une équipe qui vise la victoire et pas juste le ventre mou du classement. Bradley Beal commence peut-être la période la plus importante de sa carrière NBA.</p>


Bradley Beal

Photo de profil page joueur NBA Karl-Anthony Towns

<h2 style="text-align: center;">Karl-Anthony Towns selon TrashTalk</h2>
<p style="text-align: justify;">Il est tantôt un loup, tantôt un chat mais probablement pas un chef alpha. Karl-Anthony Towns est un joueur de basketball dominicano-américain qui évolue actuellement chez les Minnesota Timberwolves en NBA. Il mesure 2m11, pèse 111kg, et il peut jouer au poste d’ailier-fort ou de pivot. Né à Edison (New Jersey) le 15 novembre 1995, Karl-Anthony Towns a été sélectionné en 1er choix de la Draft 2015 en sortant de la fac de Kentucky et son programme basket des Wildcats. KAT a participé à 8 saisons en NBA dans sa carrière, toutes disputées sous les couleurs des Minnesota Timberwolves.</p>
<h3 style="text-align: center;">Un des meilleurs shooteurs de l’histoire du basketball</h3>
<p style="text-align: justify;">Karl-Anthony Towns fait partie des meilleurs pivots NBA de sa génération mais il est aussi l’un des meilleurs joueurs de l’histoire des Minnesota Timberwolves. Élu Rookie de l’année lors de la saison 2016, Towns s’est rapidement imposé comme le leader des Wolves en NBA. Il est ainsi le second meilleur scoreur de l’histoire des Minnesota Timberwolves et le second meilleur rebondeur derrière le Hall of Famer Kevin Garnett. Il détient aussi le record de franchise du nombre de points inscrits sur un match de saison régulière (60 points).</p>
<p style="text-align: justify;">Surnommé « KAT » Karl-Anthony Towns est le prototype même du pivot moderne en NBA. Grand intérieur capable de courir, excellent shooteur de près comme de loin (plus de 39% à 3-points en carrière), bon rebondeur, Towns a tout pour réussir à son poste dans la NBA d’aujourd’hui. Avec les années, il a même développé une excellente vision du jeu et il est capable d’offrir des passes décisives à ses coéquipiers. Une qualité rare chez un pivot. Son principal défaut se situe surtout sur le plan défensif, où il n’est pas réputé pour sa fiabilité.</p>
<h3 style="text-align: center;">Un joueur All-Star, mais en saison régulière seulement ?</h3>
<p style="text-align: justify;">Karl-Anthony Towns est un excellent joueur NBA et un talent de niveau All-Star (3 sélections). En moins d’une décennie, il a déjà réalisé quelques performances exceptionnelles. Il est par exemple l’un des 9 joueurs dans l’histoire de la NBA à avoir compilé au moins 60 points et 15 rebonds sur un match. A côté de cela, Towns a été critiqué à plusieurs reprises pour son manque de leadership. Alors que les stars NBA ont l’habitude de briller en Playoffs, Karl-Anthony Towns a lui du mal à vraiment porter les Wolves après le mois d’avril, sachant qu&#8217;il faut déjà y aller. Ses moyennes statistiques en carrière sont là pour le prouver. De 23 points et 11 rebonds de moyenne en saison régulière, il passe ainsi à 19 points et 11 rebonds en Playoffs. Pas l’apport statistique qu’on attend d’un leader d’une franchise NBA.</p>
<p style="text-align: justify;">La carrière de Karl-Anthony Towns a connu un immense tournant en 2020. Touché de plein fouet par le COVID 19, Towns a ainsi perdu sa mère ainsi que six autres membres de sa famille. Une période qui coïncide aussi avec le début des blessures pour le joueur. Alors qu’il n’avait manqué que cinq matchs sur ses quatre premières saisons, Karl-Anthony Towns a commencé à fréquenter régulièrement l’infirmerie.</p>
<p style="text-align: justify;">Talent indéniable, Karl-Anthony Towns est l’un des meilleurs joueurs à son poste en NBA. Malgré cela, il doit encore passer un cap pour vraiment devenir une superstar en NBA et un joueur capable de porter son équipe dans la course au titre NBA.</p>


Karl-Anthony Towns

Photo de profil page joueur NBA Dario Saric

<h2 style="text-align: center;">Dario Saric selon TrashTalk</h2>
<p style="text-align: justify;">Contrairement à ce qu’affirmait Adil Rami en 2018, un Ic dans une équipe n’est pas toujours un point faible. Dario Saric est un joueur de basket-ball croate évoluant actuellement aux Golden State Warriors en NBA. Il mesure 2m08, pèse 102 kilos et joue aux postes d’ailier-fort et de pivot. Né à Sibenik en Croatie, le 8 avril 1994, Dario Saric a été sélectionné au 12e choix de la Draft NBA 2014 par le Magic d’Orlando. Finalement, il n’est arrivé en NBA qu’en 2016 avec les Philadelphia Sixers. Dario Saric a participé à six saisons dans sa carrière en NBA.</p>
<p style="text-align: justify;">Dario Saric est un intérieur qui rentre parfaitement dans la tradition des ailiers-forts et pivots d’Europe de l’Est. Doté d’excellentes mains et d’un Q.I basket au-dessus de la moyenne, il est capable d’impacter en attaque que ce soit proche du panier ou hors de la raquette. Bon passeur, shooteur capable, mais aussi physique et malin à l’intérieur, Dario Saric est capable de beaucoup de choses en attaque et est un profil entre le traditionnel et le plus moderne. Dario Saric n’est pas un spécialiste de la défense, mais il est un rebondeur capable et n’est pas non plus un immense point faible pour son équipe de ce côté du terrain. Le record de points sur un match de Dario Saric en NBA est de 32 points contre les Chicago Bulls en mars 2017.</p>
<h3 style="text-align: center;">Dario Saric, le début de carrière canon</h3>
<p style="text-align: justify;">Surnommé “The Homie”, “Super Dario”, ou “Si Si”, Dario Saric a commencé de la meilleure manière sa carrière en NBA. Arrivé mature dans la Grande Ligue après six saisons professionnelles en Europe dont deux à l’Anadolu Efes après sa Draft, il impacte immédiatement son équipe des Philadelphia Sixers. Dario Saric finit sa saison rookie à la deuxième place du classement du Rookie de l’année derrière Malcolm Brogdon, mais devant son coéquipier Joel Embiid. Il tournait déjà à l’époque à 12,8 points et 6,3 rebonds de moyenne. Le Process est en marche aux Sixers, et Dario en fait clairement partie. Enfin pendant un petit moment.</p>
<h3 style="text-align: center;">Dario Saric, à la recherche d’un projet stable</h3>
<p style="text-align: justify;">Car pour la suite, la carrière de Dario Saric est un peu plus mouvementée avec quelques trades qui lui ont valu des déménagements vers d’autres villes avec des équipes NBA. Dario Saric a déjà évolué dans cinq franchises depuis son arrivée en NBA. Le Croate n’est resté que deux saisons et demie avec les Philadelphia Sixers avant de rejoindre les Minnesota Timberwolves pour une demie-saison. Dario Saric évolue ensuite aux Phoenix Suns pendant trois ans et demi, mais subit en 2021-22 une rupture des ligaments croisés qui lui a fait rater l’ensemble de la saison. Dario Saric a ensuite joué pour le Oklahoma City Thunder pendant quelques mois avant de finalement signer avec les Golden State Warriors à l’été 2023. Il est désormais un joueur de la rotation mise en place par Steve Kerr.</p>
<p style="text-align: justify;">Dario Saric n’a pas encore trouvé de la stabilité dans une équipe en NBA, ce qui est surprenant au vu de son talent de basketteur. Néanmoins, Dario Saric a laissé des bons souvenirs dans tous les vestiaires par lesquels il est passé, ce qui est signe d’un bon joueur et d’un excellent coéquipier.</p>


Dario Saric

Photo de profil page joueur NBA Derrick Rose

<h2 style="text-align: center;">Derrick Rose selon TrashTalk</h2>
<p style="text-align: justify;">À un genou de Derrick Rose près, Chicago aurait peut-être un titre NBA sans Michael Jordan. Derrick Rose est un joueur de basketball américain qui évolue actuellement chez les Memphis Grizzlies en NBA. Il mesure 1m91, pèse 91kg, et il joue au poste de meneur de jeu. Né à Chicago (Illinois) le 4 octobre 1988, Derrick Rose a été sélectionné en 1er choix de la Draft NBA 2008 par les Chicago Bulls. Il a participé à 15 saisons en NBA dans sa carrière en portant les couleurs &#8211; et en squattant l&#8217;infirmerie &#8211; des Chicago Bulls, des New York Knicks, des Cleveland Cavaliers, des Minnesota Timberwolves, des Detroit Pistons et des Memphis Grizzlies.</p>
<h3 style="text-align: center;">Derrick Rose, plus jeune MVP</h3>
<p style="text-align: justify;">Derrick Rose, c’est l’histoire d’une ascension rapide et inarrêtable avant une énorme chute. Déjà star à la fac de Memphis, Derrick Rose avait tout pour réussir en NBA. Élu Rookie de l’année en 2009, il devient rapidement l’une des stars de la Ligue. Il ne lui faut que trois saisons en NBA pour remporter le MVP (Most Valuable Player). A 22 ans, six mois et 30 jours, il devient ainsi le plus jeune lauréat du MVP de l’histoire de la NBA. Au niveau international, Derrick Rose remporte également deux médailles d’or avec Team USA aux Championnats du Monde 2010 et 2014. Au début de sa carrière, tout le monde se l’arrache.</p>
<p style="text-align: justify;">Surnommé « D-Rose », Derrick Rose est un meneur principalement connu pour son explosivité et ses finitions spectaculaires près du cercle. Pas réputé pour son adresse au tir à 3-points, Rose utilisait ses qualités de dribbleur et sa vitesse supersonique pour déborder les défenseurs et aller finir dans la raquette. Le spectacle, le show, voilà ce qu’apportait Derrick Rose en plus des victoires. Mais ses qualités athlétiques ayant été limitées par les blessures et le poids des années, Rose a aussi développé petit à petit un tir à 3-points plus efficace sur la seconde partie de sa carrière NBA. Défensivement, il n’a jamais été un joueur élite.</p>
<h3 style="text-align: center;">Too big, too strong, too fast, too good, too injured</h3>
<p style="text-align: justify;">Très précoce et rapidement au sommet de la NBA, Derrick Rose avait tout pour devenir le visage de la Ligue et conduire les Bulls vers un ou plusieurs titres de champion. Malheureusement pour lui, deux énormes blessures au genou en 2012 et 2013 vont le faucher dans son élan. S’il a ensuite pu retrouver un niveau très correct et faire une carrière NBA, Derrick Rose n’a jamais pu redevenir celui qui faisait chavirer de bonheur les fans des Bulls. De meneur star en NBA, Rose a dû petit à petit accepter un nouveau rôle de joueur d’équipe, souvent en tant que sixième homme. Le fait qu’il ait pu avoir une carrière NBA après tant de blessures est en soi une grande victoire, mais il est impossible de ne pas avoir quelques regrets en se demandant ce qui aurait pu advenir sans ces fameuses blessures au genou.</p>
<p style="text-align: justify;">“Et si” sont peut-être les deux premiers mots qui viennent en tête lorsqu’on parle de Derrick Rose. Et si ce genou n’avait pas lâché en Playoffs en 2012 ? Et si les Bulls avaient pu compter sur leur MVP en forme pendant toute une décennie ? Des questions auxquelles on n’aura malheureusement jamais les réponses.</p>


Derrick Rose

Photo de profil page joueur NBA Bobby Portis

<h2 style="text-align: center;">Bobby Portis selon TrashTalk</h2>
<p style="text-align: justify;">Joueur de basketball évoluant actuellement chez les Milwaukee Bucks en NBA, Bobby Portis mesure 2m08, pèse 113 kg, et il joue au poste d’ailier-fort. Né à Little Rock, Arkansas (États-Unis) le 10 février 1995, Bobby Portis est une vraie pile électrique, une pile qui n’a pas besoin d’être rechargée. Il a été sélectionné en 22ème choix de la Draft NBA 2015 par les Chicago Bulls et a participé à 8 saisons en NBA dans sa carrière.</p>
<h3 style="text-align: center;">Bobby Portis, boxeur à Chicago</h3>
<p style="text-align: justify;">Élu meilleur joueur de l&#8217;État d’Arkansas en 2015 après sa dernière année universitaire chez les Razorbacks, Bobby Portis débute donc en NBA quelques semaines plus tard sous le maillot des Bulls. Il y évolue pendant trois saisons et demi dans un rôle d’energizer offensif en sortie de banc. Bobby n’est pas à proprement parler un spécialiste défensif mais l’énergie qu’il laisse chaque soir sur les parquets de NBA fait de lui un élément incontournable du roster de la franchise de Chicago. 14 points et 8 rebonds de moyenne, voilà les statistiques positives à poser dans le dossier de Bobby Portis. Une baston avec son coéquipier Nikola Mirotic (fractures au visage pour l’Espagnol), voilà ce qui s’écrit plutôt en rouge sur son CV. En février 2019 “Bobby Buckets” est échangé direction les Washington Wizards après une seule série de Playoffs NBA en trois ans et demi avec les Chicago Bulls, merci pour tout et bonne continuation.</p>
<h3 style="text-align: center;">Bobby Portis, rouage essentiel et champion NBA chez les Bucks</h3>
<p style="text-align: justify;">La suite ? Une demi-saison NBA intéressante d’un point de vue individuel chez les Washington Wizards, une autre sans frisson avec les Knicks de New York et c’est en novembre 2020 que Bobby Portis, son bandeau et ses yeux grands ouverts déboulent chez les Bucks de Milwaukee pour donner un nouvel élan à une carrière qui peine à trouver son utilité.</p>
<p style="text-align: justify;">Ding-dong, le choix est le bon car un an plus tard Bobby Portis est champion NBA avec la franchise du Wisconsin, aux côtés de Giannis Antetokounmpo, en ayant notamment contribué lors des Playoffs, quand il a fallu remplacer son coéquipier grec au pied levé durant quelques matchs, en finale de Conférence face aux Atlanta Hawks. Comme quoi, être dans la bonne team, ça vous change un joueur en NBA. Et comme la franchise des Milwaukee Bucks tourne au poil, Bobby Portis se fond dans le collectif au lieu de distribuer des pains à un coéquipier.</p>
<p style="text-align: justify;">Devenu naturellement l’un des meilleurs remplaçants de NBA, Bobby Portis n’a pas son pareil pour élever l’intensité d’un match. Relever le copain au sol (“une Patty Mills” dans le milieu), chauffer un adversaire et/ou le public, apporter sa combativité au rebond et envoyer une dizaine de tirs pour débloquer un match mal engagé, voici les points forts de Monsieur Bobby, qui a vu ses efforts récompensés avec une invitation à faire partie de Team USA pour la Coupe du Monde 2023. Et ça, ça a de quoi nous faire écarquiller les yeux, à nous aussi.</p>


Bobby Portis

Photo de profil page joueur NBA Tyus Jones

<h2 style="text-align: center;">Tyus Jones selon TrashTalk</h2>
<p style="text-align: justify;">Il n’a pas la carrure de Monsieur Propre mais possède la même efficacité. Tyus Jones est un joueur de basketball américain évoluant actuellement chez les Washington Wizards en NBA. Il mesure 1m85, pèse 89kg et il joue au poste de meneur. Né à Burnsville (Minnesota) le 10 mai 1996, Tyus Jones a été sélectionné en 24ème choix de la Draft NBA 2015 par les Cleveland Cavaliers (immédiatement transféré aux Minnesota Timberwolves) et a disputé 8 saisons en NBA dans sa carrière. Il a porté les couleurs des Minnesota Timberwolves, des Memphis Grizzlies et désormais des Washington Wizards. Tyus Jones est le frère de Tre Jones, qui évolue également en NBA chez les San Antonio Spurs.</p>
<p style="text-align: justify;">Tyus Jones a tout du meneur de jeu traditionnel en NBA : excellent gestionnaire, bon passeur, avec une belle vision du jeu pour délivrer des passes décisives à ses coéquipiers. Tyus Jones est plus un meneur qui fait jouer les autres que quelqu’un qui marque beaucoup de points (sa meilleure saison au scoring est de 12 points par match). Jones est notamment réputé pour sa capacité à prendre soin de la balle, ne perdant quasiment jamais un ballon. Avec 0,8 ballon perdu en moyenne en carrière, Tyus Jones fait partie des meneurs avec le moins de turnovers par match dans l’histoire de la NBA. Tyus Jones a également fini premier au classement du ratio passes décisives / ballons perdus de NBA sur les cinq dernières années ! Difficile de demander plus de propreté dans le jeu que ça.</p>
<p style="text-align: justify;">Malgré quelques difficultés au shoot en début de carrière, Tyus Jones s’est également affirmé progressivement comme un tireur très capable en NBA, notamment à 3-points (plus de 36% d’adresse à longue distance).</p>
<h3 style="text-align: center;">Tyus Jones, la définition de la propreté</h3>
<p style="text-align: justify;">Champion NCAA avec la célèbre université de Duke et élu meilleur Most Outstanding Player (meilleur joueur) du Final Four (le dernier carré de la March Madness), Tyus Jones est arrivé en NBA avec un C.V. déjà bien rempli. Cerise sur le gâteau, Jones commence sa carrière NBA avec l’équipe de son État natal (les Minnesota Timberwolves). Tyus Jones va pourtant avoir toutes les peines du monde à s’imposer durablement chez les Wolves. Laissé libre après 4 ans à Minnesota, Tyus Jones s’engage chez les Memphis Grizzlies où il devient le remplaçant attitré du meneur All-Star Ja Morant et l’un des remplaçants les plus réguliers de NBA. Il est ensuite envoyé aux Washington Wizards en échange de Marcus Smart (Défenseur de l’année 2022 en NBA).</p>
<p style="text-align: justify;">Désormais aux Wizards, Tyus Jones reste ce meneur de jeu qui ne donne pas de sueur froide à son coach. Un profil bien précieux et propre dans son jeu, même s’il n’empêche pas les Washington Wizards d’être l’une des pires NBA à l’heure actuelle.</p>


Tyus Jones

Photo de profil page joueur NBA Jeff Green

<h2 style="text-align: center;">Jeff Green selon TrashTalk</h2>
<p style="text-align: justify;">À 20, 40 ou 60 ans, Jeff Green est et restera une terreur des arceaux. Jeff Green est un joueur de basketball américain évoluant aux Houston Rockets en NBA. Il mesure 2m03, pèse 107kg, et il joue principalement au poste d’ailier-fort ou d’ailier. Né à Cheverly (Maryland) le 28 août 1986, Jeff Green a été sélectionné en 5ème choix de la Draft NBA 2007 par les Boston Celtics mais a été envoyé dans la foulée aux Seattle SuperSonics (petits anges partis trop tôt). Jeff Green a participé à 15 saisons NBA dans sa carrière (il n’a pas participé à la saison 2011-12 pour cause de maladie). Il a porté les couleurs des Seattle SuperSonics, du Oklahoma City Thunder, des Boston Celtics, des Memphis Grizzlies, des Los Angeles Clippers, du Orlando Magic, des Cleveland Cavaliers, des Washington Wizards, du Utah Jazz, des Houston Rockets, des Brooklyn Nets et des Denver Nuggets, soit une grosse partie des équipes NBA. Il est désormais de retour aux Houston Rockets.</p>
<h3 style="text-align: center;">Jeff Green, roi des posters</h3>
<p style="text-align: justify;">Jeff Green est l’un des dunkeurs les plus impressionnants de sa génération, capable de postériser (dunker sur un défenseur) ses adversaires directs. Même à un âge avancé (37 ans), Jeff Green continue d’attaquer le cercle grâce à ses qualités athlétiques. Mais Green n’est pas qu’un dunkeur. Durant ses meilleures années, il était un scoreur qui tournait autour des 15 points de moyenne malgré des limites au shoot (34% d’adresse en carrière), avec en prime une belle polyvalence défensive. Jeff Green s’est ensuite transformé en bon vétéran, apprécié pour sa combativité et son professionnalisme. Cela lui a permis de rester en NBA saison après saison, jusqu’à remporter une bague de champion NBA avec les Denver Nuggets en 2023.</p>
<h3 style="text-align: center;">Jeff Green, champion NBA</h3>
<p style="text-align: justify;">Surnommé “Uncle Jeff’ (tonton Jeff), Jeff Green a été transféré avant même d’avoir mis un pied en NBA dans le deal envoyant Ray Allen aux Boston Celtics. Jeff Green a connu une véritable carrière de baroudeur. Solide joueur de collectif, Jeff Green a joué dans pas moins de onze franchises différentes lors de ses 16 premières saisons en NBA. Green a notamment pu partager le vestiaire avec de nombreuses stars NBA au fil des ans, comme Kevin Durant, LeBron James, Kevin Garnett, Russell Westbrook ou encore Nikola Jokic, avec qui il a remporté son seul titre de champion NBA face au Miami Heat, douze après être allé en finale avec la jeune troupe du Thunder (Russell Westbrook, Kevin Durant, James Harden, Serge Ibaka) pour une défaite face au&#8230; Heat déjà !</p>
<h3 style="text-align: center;">Jeff Green à coeur ouvert</h3>
<p style="text-align: justify;">Mais si Jeff Green a connu une carrière NBA globalement aboutie, celle-ci aurait pu être bien différente. En 2012, Jeff Green a en effet été opéré à cœur ouvert pendant près de cinq heures pour soigner un anévrisme aortique. Un problème au cœur qui aurait pu terminer à la fois sa carrière mais aussi sa vie… Rétabli après plusieurs mois de repos, Jeff Green a finalement pu reprendre le cours de sa carrière. Le titre NBA remporté un peu plus d’une décennie plus tard n’en sera que plus beau pour un joueur qui revient de très, très loin.</p>
<p style="text-align: justify;">De la salle d’opération au titre NBA, Jeff Green aura connu une carrière mouvementée mais finalement récompensée d’une bague de champion. La preuve que patience, persévérance et travail donnent souvent des résultats avec le temps.</p>


Jeff Green

Photo de profil page joueur NBA Thomas Bryant

Thomas Bryant

Photo de profil page joueur NBA Troy Brown Jr.

Troy Brown Jr.

Photo de profil page joueur NBA Keita Bates-Diop

Match du 09 mars 2019 : Minnesota Timberwolves vs Washington Wizards

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