TrashTalk

Le Guide des Playoffs NBA 2024

Los Angeles Clippers

Dallas Mavericks

Mavericks – Clippers, la preview du Game 4 : y’a t-il un capitaine pour sauver le voilier de L.A. ?

Philadelphie 76ers

New York Knicks

Sixers – Knicks, la preview du Game 4 : Joel Embiid toujours maître sur ses terres ?

Finales de la Coupe de France 2024 : on y était, on vous raconte

San Antonio Spurs

Saison Rookie Victor Wembanyama Partie 2 25 avril 2024

La saison rookie de Victor Wembanyama : vers l’infini et au-delà (Partie 2)

Los Angeles Lakers

LeBron James 16 mars 2024 Los Angeles Lakers

LeBron James : “Lundi, c’est le match le plus important de notre saison”

Coach de l’année 2024 : le vainqueur annoncé ce soir à 0h30 !

NBA Top 10 : Nikola Jokic s’amuse avec la défense des Lakers

Résumé de la nuit en NBA : le Thunder déroule, les Celtics réagissent, les Lakers survivent et le Magic y croit

Denver Nuggets

Lakers – Nuggets (119-108) : les Lakers ne voulaient pas mourir, ce sera pour la prochaine fois

Miami Heat

Boston Celtics

Heat – Celtics (84-104) : Boston a réagi, les fesses de Miami ont rougi

Encart Home Page Guide des Playoffs NBA 2023

Houston Rockets

Seattle Supersonics

Golden State Warriors

Minnesota Timberwolves

Oklahoma City Thunder

Phoenix Suns

Sacramento Kings

Utah Jazz

Memphis Grizzlies

Washington Wizards

Toronto Raptors

Orlando Magic

Milwaukee Bucks

Indiana Pacers

Detroit Pistons

Cleveland Cavaliers

Chicago Bulls

Charlotte Hornets

Brooklyn Nets

Atlanta Hawks

Portland Trail Blazers

New Orleans Pelicans

Wisconsin Badgers

Jonathan Davis

Photo de profil page joueur NBA Johnny Davis

Johnny Davis

Photo de profil page joueur NBA Chase Audige

Photo de profil page joueur NBA Deni Avdija

Photo de profil page joueur NBA Marvin Bagley III

Photo de profil page joueur NBA Patrick Baldwin Jr.

Photo de profil page joueur NBA Jules Bernard

Photo de profil page joueur NBA Jared Butler

Photo de profil page joueur NBA Justin Champagnie

Photo de profil page joueur NBA Xavier Cooks

Photo de profil page joueur NBA Hamidou Diallo

Photo de profil page joueur NBA Daniel Gafford

Photo de profil page joueur NBA Danilo Gallinari

Photo de profil page joueur NBA Taj Gibson

Photo de profil page joueur NBA Anthony Gill

Photo de profil page joueur NBA Richaun Holmes

Photo de profil page joueur NBA Trey Jemison

Photo de profil page joueur NBA Tyus Jones

Photo de profil page joueur NBA Corey Kispert

Photo de profil page joueur NBA Kyle Kuzma

Photo de profil page joueur NBA Mike Muscala

Photo de profil page joueur NBA Eugene Omoruyi

Photo de profil page joueur NBA Jordan Poole

Photo de profil page joueur NBA Ryan Rollins

Photo de profil page joueur NBA Landry Shamet

Johnny Davis drafté en 10e position par les Wizards, c&#8217;est un peu comme retrouver son fils de sept ans en train de manger des papillons dans le jardin. On ne sait pas trop comment réagir, mais on est obligé de dire quelque chose, rien que pour faire semblant. Du coup, salut Johnny, et bienvenue dans la capitale hein.
<a href="https://trashtalk.co/2022/06/13/profil-draft-2022-johnny-davis-allumer-le-feu-allumer-le-feu-et-faire-danser-les-grosses-prises-a-deux/" target="_blank" rel="noopener noreferrer">Profil Draft 2022 – Johnny Davis : allumer le feu, allumer le feu, et faire danser les grosses prises à deux</a>
Il a le blaze d&#8217;un chanteur de karaoké du Nevada et vient d&#8217;être sélectionné en 10e position de la Draft 2022 par les Wizards. Sur le papier, le joueur est hypant avec ce profil d&#8217;arrière bien bitume, bien Venice Beach, bien leveur de foules. Son énergie manquait cruellement à Washington. Un peu comme si on foutait un requin bulldog dans un aquarium où cohabitent hippocampes et axolotls. Il sort d&#8217;une belle saison sophomore avec les Wisconsin Badgers, à hauteur de 19.7 points à 42,7% au tir dont 30,6% de loin, 8.2 rebonds, 2.1 passes et 1.1 interception en 34 minutes de jeu. Ses dimensions ? 196 centimètres pour 88 kilos, un beau bébé qui saura dynamiter le backcourt &#8211; trop souvent endormi &#8211; des Wizards. On adore Bradley Beal hein, mais au beau milieu de la controverse qui envoie le franchise player des Wizards aux quatre coins du pays, ce rafraichissement ramène un peu de garanties. Johnny Davis n&#8217;a que 20 ans et dispose d&#8217;une belle marge de progression, notamment dans sa manière de prendre les contacts. S&#8217;il muscle le haut du corps et qu&#8217;il continue à bosser son tir de loin, le résultat pourrait être tout choupi.
<blockquote class="twitter-tweet tw-align-center">
The <a href="https://twitter.com/WashWizards?ref_src=twsrc%5Etfw">@WashWizards</a> select <a href="https://twitter.com/JohnnyDavis?ref_src=twsrc%5Etfw">@JohnnyDavis</a> with the 10th pick in the 2022 <a href="https://twitter.com/hashtag/NBADraft?src=hash&amp;ref_src=twsrc%5Etfw">#NBADraft</a> presented by State Farm! <a href="https://t.co/IsRY3FMXcL">pic.twitter.com/IsRY3FMXcL</a>
— NBA (@NBA) <a href="https://twitter.com/NBA/status/1540141857338015751?ref_src=twsrc%5Etfw">June 24, 2022</a></blockquote>
<script async src="https://platform.twitter.com/widgets.js" charset="utf-8"></script>
À l&#8217;instant T, il est absolument impossible de se projeter sur la saison 2022-23 des Wizards. Beaucoup trop de blazes sont inclus dans des rumeurs de transferts. On pense &#8211; en plus de Bradley Beal &#8211; à Kyle Kuzma, qui représente un chouette asset pour construire autour de Johnny Davis. Et Kristaps Porzingis alors ? Avec encore une année sur son contrat &#8211; moyennant 34 millions de biftons &#8211; le Letton ne devrait pas quitter la capitale. Ajoutez au grand blondinet la paire Deni Avdija &#8211; Rui Hachimura, et il devient possible de construire un roster attrayant. Pas instantanément compétitif, mais attrayant. En cas de départ de Bradley Beal, il sera intéressant d&#8217;observer le rôle de Johnny Davis sur un backcourt&#8230; vidé. Eh oui, Ish Smith et Kentavious Caldwell-Pope sont en pleine négociation de leur année non garantie, et les Wizards vont devoir effectuer un gros pistage pour charger ce secteur avant la rentrée. Ce n&#8217;est pas qu&#8217;on ne fait pas confiance au petit nouveau hein, mais à pieds joints dans le grand bain, sans mentor, ce n&#8217;est jamais bon.
<blockquote class="twitter-tweet tw-align-center">
🚨 OFFICIEL : 10EME CHOIX DE LA DRAFT 2022 &#8211; JOHNNY DAVIS AUX WIZARDS ! <a href="https://t.co/i68BOZsgjf">pic.twitter.com/i68BOZsgjf</a>
— TrashTalk (@TrashTalk_fr) <a href="https://twitter.com/TrashTalk_fr/status/1540139262242349062?ref_src=twsrc%5Etfw">June 24, 2022</a></blockquote>
<script async src="https://platform.twitter.com/widgets.js" charset="utf-8"></script>
Hop, Johnny Davis à Washington, c&#8217;est bouclé. Il est encore difficile de situer son rôle dans l&#8217;effectif de Wes Unseld Jr. C&#8217;est maintenant au front office de faire le nécessaire pour ne pas lancer son poulain, livré à lui-même.

Officiel, Johnny Davis drafté en 10 par les Wizards : un petit nouveau sur le backcourt, et un sacré blase de rockeur

Peu de monde le voyait être drafté au début de la saison, mais aujourd’hui Johnny Davis est considéré à l’unanimité comme un lottery pick. À quoi doit-on donc cela ? Principalement à sa saison sophomore de malade mental qui a su faire évoluer les propos des scouts NBA à son égard. Et comme on dit : “Y’a que les cons qui ne changent pas d’avis”.
<h4 style="text-align: justify;"># SON PROFIL GROSSO MODO</h4>
<ul style="text-align: justify;">
<li>Âge : 20 ans. L’année de sortie du deuxième film Harry Potter au ciné, oui ça ne rajeunit pas.</li>
</ul>
<ul>
<li>Position : Arrière, vrai energizer.</li>
</ul>
<ul>
<li>Équipe : Wisconsin Badgers, ou en français les blaireaux du Wisconsin.</li>
</ul>
<ul>
<li>Taille : 196 centimètres</li>
</ul>
<ul>
<li>Poids : 88 kilos, pareil que Will Smith.</li>
</ul>
<ul>
<li>Envergure : 208 centimètres</li>
</ul>
<ul>
<li>Statistiques 2021-22 : 19,7 points à 42,7% au tir dont 30,6% de loin, 8,2 rebonds, 2,1 passes et 1,1 interception en 34 minutes de jeu en moyenne sur la saison.</li>
</ul>
<ul>
<li>Comparaison : Devin Booker en plafond, et Kentavious Caldwell-Pope en plancher ?</li>
</ul>
<ul>
<li>Prévision TrashTalk : 10ème place, que ces numéros là dans notre team.</li>
</ul>
____
Jonathan Christian Davis est né et a grandi dans le Wisconsin, à La Crosse plus précisément. Avec une mère volleyeuse et basketteuse, et un père basketteur professionnel &#8211; notamment MVP All-Star Game espagnol en 1989 &#8211; le fiston avait déjà la génétique pour réussir dans le monde du sport. Au lycée, Johnny était l’élève populaire des films clichés Disney Channel : le quarterback de l’équipe de football et meilleur joueur de basket de l’état (rien que ça). Ca n&#8217;étonnerait personne s’il sortait avec la capitaine des pom-pom girls à cette époque. Après avoir eu son bac, Johnny Davis abandonne le foot américain et rejoint le programme de basket universitaire des Wisconsin Badgers avec son frère jumeau, Jordan. Vous voyez, les parents ont décidé de donner le nom de leurs stars préférées à leurs deux enfants : Michael Jordan et Johnny Hallyday. La première saison universitaire de l’arrière ne se passe pas très bien : 7 points de moyenne sur l’année avec une seule titularisation en 31 matchs, la recrue n’est clairement pas la première option offensive des Badgers. Johnny Davis réussit quand même à être membre du roster final des U19 américains pour la Coupe du Monde 2021, mais ses performances en Lettonie sont similaires à celles de sa saison freshman. De retour d’Europe, l’arrière est appelé dans le bureau du coach Greg Gard. En un été, la dynamique de l’effectif de Wisconsin a totalement changé : tous les seniors expérimentés de l’année passée ont été diplômés et sont partis. Les clés de la maison appartiennent désormais à l’un des plus vieux de l’effectif, Johnny Davis. La mission est dure à assumer, mais le sophomore va bosser au maximum pour pouvoir assumer ce rôle. Et là c’est la révélation : le nouveau leader des Badgers passe à 19,7 points de moyenne sur autant de matchs que la saison précédente. Monsieur Davis est élu joueur de l’année de sa conférence très relevée, la Big Ten, et reçoit le Jerry West Award, récompensant le meilleur arrière du pays. Il est aussi membre de la AP All-American First Team, regroupant les cinq meilleurs joueurs universitaires. Malgré leur élimination au deuxième tour de la March Madness par Iowa State, la saison de Wisconsin est plus que réussie. Personne ne s’attendait à voir Johnny Davis jouer à un tel niveau des deux côtés du terrain pour emmener les Badgers vers le titre de champion de saison régulière de Big Ten, ainsi que dans le Top 25 des meilleurs programmes du pays. 
<blockquote class="twitter-tweet" data-width="550" data-dnt="true">
Johnny Davis is one of the best in the business at disrupting passing lanes. <a href="https://t.co/5Arh9ivjqY">pic.twitter.com/5Arh9ivjqY</a>
&mdash; Will Morris (@w_a_morris) <a href="https://twitter.com/w_a_morris/status/1479270736682438658?ref_src=twsrc%5Etfw">January 7, 2022</a></blockquote>
<script async src="https://platform.twitter.com/widgets.js" charset="utf-8"></script>
Johnny Davis ne pèse pas lourd mais il est solide et possède une très belle envergure pour sa taille. Le poste 2 est un vrai mort de faim des deux côtés du terrain. On a bien sous nos yeux l’un des profils les plus intéressants et complets de cette cuvée de Draft. Ce qui a dû vous intriguer précédemment, c’est la moyenne de rebonds de l’arrière : aller chiper 8,2 rebonds par match quand on fait moins de 2m, c’est très fort. Le petit poucet aime se faufiler dans les raquettes adverses et leur piquer les rebonds défensifs, ses six double-doubles réalisés lors de cette saison le montrent très bien. Et quand ce n’est pas sur les rebonds, il se jette sur les lignes de passes et les prises à deux pour aller voler des ballons. Sa lecture de jeu sans ballon, que ce soit en attaque ou en défense, est excellente. D’un point de vue offensif, Johnny Davis est quasi inarrêtable, il peut être létal de n’importe où sur le terrain. L’arrière des Badgers est connu pour sa forte agressivité sur les drives au cercle pour provoquer des fautes ou pour postériser les adversaires, <a href="https://twitter.com/Evan_Flood/status/1468735005547446273?ref_src=twsrc%5Etfw%7Ctwcamp%5Etweetembed%7Ctwterm%5E1468735005547446273%7Ctwgr%5E%7Ctwcon%5Es1_&amp;ref_url=https%3A%2F%2F247sports.com%2FArticle%2FWisconsin-guard-Johnny-Davis-throws-down-massive-dunk-on-Indiana-Trayce-Jackson-Davis-177782955%2F">Trayce Jackson-Davis d’Indiana peut en témoigner.</a> Sur le jeu de son coach qui consiste à lui offrir le maximum de matchups favorables, son très bon tir mid-range l’avantage énormément sur ses adversaires moins mobiles qui n’arrivent pas à le suivre ou qui restent plantés dans la raquette. À l’inverse, si le jeu amène un adversaire plus petit que lui à défendre sur lui, c’est une occasion pour l’arrière de le jouer en post-up. Après tout cela, si les défenseurs s’adaptent, on recule encore un peu et l’arrière n’a pas peur de tirer du parking à haut volume. 
Malgré ce très beau nombre de qualités, il reste encore des points d’amélioration dans le jeu de Johnny Davis. Dès qu’il dépasse la ligne à 3-points, son jeu est fluide, rapide, impeccable. Mais du parking, le tir de l’arrière n’est pas encore assez fiable. Il a besoin de prendre plus de tirs pour varier son jeu, mais maintenant il faut que le ballon rentre dans le cercle. Ceci étant dit, il est possible qu’en NBA ce pourcentage s’améliore sans enquiller des séries de tirs à l’entraînement. À Wisconsin, Johnny Davis était la première option offensive des Badgers. Dans la Ligue, selon la franchise où il atterrira à la fin du mois, ce ne sera pas le cas : il aura des coéquipiers aussi ou plus talentueux que lui, et il ne sera plus le joueur que les défenses doivent stopper impérativement pour remporter le match. Par exemple, chez les Wizards, là où le Badger a réalisé un workout individuel très intense, il y aura Bradley Beal et d’autres options offensives à côté de lui. Aussi, même s’il était un joueur très agressif dans la raquette en NCAA face à des physiques moins puissants qu’en NBA, il est possible que sur les premiers matchs, Johnny explose sur les contacts. Pour éviter cela, bosser un peu à la salle sur le haut du corps ne ferait pas de mal. Enfin, le plus gros point d’amélioration de Johnny est le playmaking. Sur sa saison sophomore en moyenne, Monsieur Davis a perdu plus de ballons qu’il ne fait de passes décisives (2,3 balles perdues pour 2,1 passes). Le natif de La Crosse sait servir des caviars, surtout sur pick-and-roll, mais il faut qu’il prenne plus soin du cuir. En renforçant son handle, ou en prenant vraiment les écrans qu&#8217;on lui propose.
<blockquote class="twitter-tweet" data-width="550" data-dnt="true">
Johnny Davis is the king of rejecting screens <a href="https://t.co/3aBs06Dbef">pic.twitter.com/3aBs06Dbef</a>
&mdash; Will Morris (@w_a_morris) <a href="https://twitter.com/w_a_morris/status/1478800978208043009?ref_src=twsrc%5Etfw">January 5, 2022</a></blockquote>
<script async src="https://platform.twitter.com/widgets.js" charset="utf-8"></script>
<h4 style="text-align: justify;"># ALORS SI ON RÉSUME…</h4>
Points forts :
<ul style="text-align: justify;">
<li style="font-weight: 400;">Tir aux 3 niveaux</li>
<li style="font-weight: 400;">Jeu sans ballon offensif et défensif</li>
<li style="font-weight: 400;">Agressivité vers le cercle</li>
</ul>
Points faibles : 
<ul style="text-align: justify;">
<li style="font-weight: 400;">Playmaking et soin du cuir</li>
<li style="font-weight: 400;">Défense sur porteur de balle</li>
<li style="font-weight: 400;">Physique encore à développer (haut du corps)</li>
</ul>
DANS LES MOCKS DRAFTS, CA DIT QUOI ?
<ul style="text-align: justify;">
<li style="font-weight: 400;"><a href="https://www.espn.com/nba/insider/insider/story/_/id/34011027/2022-nba-mock-draft-projecting-all-58-picks-nba-draft-combine">ESPN</a> annonce Johnny Davis en 10ème position.</li>
<li style="font-weight: 400;"><a href="https://bleacherreport.com/articles/2956172-2022-nba-mock-draft-full-2-rounds-post-draft-lottery-edition">Bleacher Report</a> annonce Johnny Davis en 10ème position.</li>
<li style="font-weight: 400;"><a href="https://theathletic.com/3312706/2022/05/17/nba-mock-draft-2022/">The Athletic</a> annonce Johnny Davis en 14ème position.</li>
<li style="font-weight: 400;"><a href="https://nbadraftroom.com/p/2022-nba-mock-draft/">Draft Room</a> annonce Johnny Davis en 10ème position.</li>
<li style="font-weight: 400;"><a href="https://www.tankathon.com/mock_draft">Tankathon</a> annonce Johnny Davis en 12ème position.</li>
</ul>
Beaucoup de franchises en manque de poste 2 sont séduites par le profil de Johnny Davis prêt pour la Ligue et sa large palette offensive. Et même si les Wizards ont plus besoin d’un meneur que d’un backup pour Bradley Beal, les exécutifs de la capitale ont été séduits par l’arrière lors de son workout individuel. Il est possible que le Badger se balade entre la 8ème et la 14ème place, mais s’il descend aussi bas que la fin des lottery picks, cela sera une très bonne affaire pour les franchises malchanceuses à la Loterie.

JohnnyDavis

Statistiques de la saison 2023-2024

Officiel, Johnny Davis drafté en 10 par les Wizards : un petit nouveau sur le backcourt, et un sacré blase de rockeur

Profil Draft 2022 – Johnny Davis : allumer le feu, allumer le feu, et faire danser les grosses prises à deux

Joueurs de l'équipe

NEWS WIZARDS

Statistiques de la saison 2023-2024