Giannis Antetokounmpo sous le charme de l’EuroLeague : “j’envie ces atmosphères”

Le 25 mai 2024 à 11:03 par Robin Wolff

Giannis Antetokounmpo
Source image : YouTube

Giannis Antetokounmpo s’est rendu au Final Four de l’EuroLeague à Berlin pour soutenir son frère Kostas, joueur du Panathinaikos. Le Grec est apparu impressionné par l’ambiance dans la salle. Quelque chose qu’il ne connait pas en NBA.

Désolé aux fans des New York Knicks, l’ambiance la plus chaude du basket-ball mondial ne se trouve pas au Madison Square Garden. Le Final Four de l’EuroLeague 2024 à Berlin réunit le Real Madrid, l’Olympiakos, le Panathinaikos et Fenerbahçe. Le meilleur club d’Europe et trois armées venues de l’Est avec des armées de fans très investies. Ambiance garantie.

Giannis Antetokounmpo, présent pour soutenir son frère Kostas, qui s’est qualifié, avec le Pana, pour la finale (contre le Real Madrid) qui aura lieu ce dimanche à 20h, a été impressionné. Le Grec a parlé de son envie voir de sa jalousie au micro de EuroHoops.

“C’est une bénédiction d’être en NBA considérant d’où je viens. Je suis dans une équipe pour laquelle je veux faire de mon mieux, mais j’envie l’atmosphère de ces matchs. J’aimerais que ce soit le cas en NBA. J’ai voyagé de Grèce aujourd’hui dans un avion avec 150 fans qui ont quitté leur travail et leur famille pour soutenir leur équipe. J’aimerais jouer pour ce genre de supporters.”

Le Fiserv Forum de Milwaukee a embrassé l’ailier-fort depuis son arrivée en NBA et est capable d’être très bruyant, mais les vuvuzelas ne soufflent pas avec les cônes de chantier et ça n’a rien à voir avec les décibels parfois entendus dans des salles d’Europe de l’Est.

La citation de Nikola Jokic affirmant ne pas être impressionné par les fans du Miami Heat car il avait joué en Serbie rejoint cette idée. Les plus grandes stars européennes de la NBA ont parfois un manque de ce qu’ils connaissaient avant de traverser l’Atlantique. Les fumigènes, tambours et autres bouchons d’oreilles pour les enfants, ça a du charme.

Il n’y a pas que les joueurs américains qui ne sont plus les MVP de la planète basket-ball.

Source texte : EuroHoops


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