Second unit en NBA

Sûrement la définition préférée de Carmelo Anthony, lui qui tenait absolument à sortir du banc lors de son passage à OKC (who, me ?). La second unit, ce sont les remplaçants qui sortent du banc. C’est l’équipe des bons roles players, celle qui doit assurer quand les stars se reposent sur le banc, ou qui doivent faire le sale boulot pendant que ces dernières s’assurent de claquer 30 points. La second unit, c’est souvent celle qui permet de faire la différence quand les meilleurs joueurs des deux équipes sont au niveau.

Westbrook laughing at coming off the bench reminds me of this. Guess what happened to Melo afterwards. pic.twitter.com/15z0LAsMGo

— Deflated Kings Fan (@MeanMartian99) June 7, 2022

Le plus souvent, c’est une condition pour le succès d’une équipe en Playoffs. Lors de leur sacre en 2015, les Warriors pouvaient ainsi compter sur Andre Iguodala, Shaun Livingston, Leandro Barbosa ou encore David Lee et Marreese Speights en sortie des banc pour tenir la cadence lorsque le cinq majeur reprenait des couleurs en survêt. Souvent menée par un sixième homme d’exception, parmi lesquels on peut citer Toni Kukoc des années dorées des Bulls, Manu Ginobili des Spurs de Tim Duncan, ou encore Jamal Crawford de n’importe quelle équipe où il a joué, la second unit est un élément indissociable du succès. Ce ne sont ni les joueurs avec les plus grosses stats, ni les plus gros contrats, mais elles peuvent aider à faire la différence.

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