La NBA dans un monde parallèle, en 10 scénarios flippants : bye bye, conférences et divisions

Il doit bien exister un monde parallèle, quelque part, sous nos pieds. Un monde dans lequel les lois ne sont pas les mêmes, les joueurs ne sont pas les mêmes, la NBA n’est tout simplement pas la même. Sommes-nous paranos ? Un peu. Mais chez TrashTalk, on aime surtout jouer la carte de la science-fiction. Et en duo avec la série Netflix “Stranger Things” (début de la saison 2 le 27 octobre), on a décidé aujourd’hui de plonger dans cet underworld terrifiant. Un univers qui nous pousse à imaginer la NBA à l’extrême opposé de celle qu’on connaît actuellement : accrochez-vous, ça va secouer.

Avec sa répartition en conférences et en divisions, la NBA a toujours voulu conserver cette part d’identité forte de son histoire. Il y a l’Est d’un côté, rugueux et physique. Il y a l’Ouest de l’autre, offensif et rapide. Deux conférences partagées en trois divisions, regroupant des franchises plus ou moins proches d’un point de vue géographique, sauf que les décennies sont passées et l’état d’esprit des fans a considérablement changé. Dans le monde réel ? Un sentiment d’appartenance à une conférence, mais qui n’est plus vraiment d’actualité. Dans notre monde parallèle ? Une liste unique de 30 équipes, sans calendrier défini par les données de géolocalisation de chaque franchise. Ainsi, les Wizards de Washington joueraient autant de fois leurs voisins de New York que les visiteurs de Los Angeles. Ce qui demanderait évidemment une modification du calendrier et des Playoffs par conséquent, mais pousserait surtout les confrontations à être moins désordonnées. De ce fait, en sachant très bien qu’il y a la possibilité de recroiser une des équipes “de l’Ouest” en Playoffs, une franchise “de l’Est” ne prendrait pas les rencontres de saison régulière à la légère. Exemple pour les Bulls, qui ne jouent que deux fois les Warriors et savent très bien qu’il n’y aura pas de retrouvailles en Finales NBA. En affrontant autant de fois San Antonio que Cleveland, difficile de croire que l’engouement serait similaire à celui actuel, qui voit des fans réaliser la faible importance de cette rencontre. Ce système digne de l’underworld supprimerait aussi les bannières de division, ce qui n’est pas véritablement un problème puisque celles-ci sont plus généralement oubliées au plafond des arènes que présentes dans chaque battement de coeur des supporters.