“Tout est possible” : Andrew Bynum a parlé de son retour en NBA, les Sixers pleurent encore

Le 04 mars 2016 à 05:54 par Bastien Fontanieu

Andrew Bynum

Décidément, c’est le mois des légendes. Après avoir appris que Michael Beasley revenait du côté de Houston cette semaine, c’est un autre pilier de notre génération qui est réapparu sur les écrans, et notamment ceux incontournables de TMZ.

Spécialisée dans l’interview embarquée et avec un iPhone comme seul matos notable, l’institution américaine a reçu un beau cadeau venant de la rue ce jeudi puisque c’est Andrew Bynum qui a été remarqué en train de traîner, de quoi lui poser quelques questions. Dans la vidéo ci-dessous, on voit l’ex-pivot des Lakers en belle forme, avec un combo short-casquette qui transpire la farniente et un bouc à rendre jaloux Steven Adams. Jouant le jeu, Bynum répond aux petites questions dont celle sur son comeback où ce dernier dit… que ‘tout est possible’. Typiquement le genre de réponse qu’on balance afin de ne pas choisir entre le noir ou le blanc, un gris-vaseux compréhensible sachant que le garçon a réussi à trouver un peu de calme dans sa vie, après une période particulièrement sombre.

On s’en souvient, de ces années à Philadelphie, marquées par une série de matchs d’absence et des opérations toutes plus compliquées les unes que les autres aux genoux. Selon certains, il s’agissait d’une belle carotte signée les Lakers. Selon d’autres, le géant était tout simplement au bout du rouleau, une situation catastrophique qui l’avait empêché de participer au moindre match sous le maillot des Sixers, avant de retenter sa chance aux côtés de Kyrie Irving à Cleveland, puis de définitivement quitter la NBA une fois son contrat racheté. Depuis 2014, on n’avait pas eu de nouvelles fréquentes de sa part, mais celles-ci sont rassurantes puisqu’au-delà d’un potentiel retour chez les grands auquel on ne croit pas une seconde, il y a du positif dans l’humeur de Bynum et un brin de sérénité. Ce qui, mine de rien, est un miracle quand on replonge en 2012 et que les histoires de bowling-coiffeur-blessures se mélangeaient à vitesse grand V.

Si Greg Oden est capable de se donner en Chine, que penser d’Andrew en D-League ? Lorsque le cas Baron Davis lui a été exposé, le géant n’avait pas l’air désintéressé. On croise déjà les doigts, ainsi que les genoux. Au moins pour lui.

Source : Bleacher Report

Source image : TMZ


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