Les plus belles passes de la semaine dernière en NBA : if you don’t like that, you don’t like NBA basketball

Après les crossovers un peu plus tôt dans la matinée, place désormais aux plus belles offrandes délivrées la semaine dernière. Les offrandes, les assists, les caviars, appelez-les comme vous voulez, tout ce qu”on sait c’est qu’Hassan Whiteside n’est pas dans la vidéo. Allez, stop àç la tergiversation, envoyez les Père-Noël.

Si le fait de délivrer du caviar royal était autrefois l’apanage des point guards, la NBA d’aujourd’hui va tellement vite que n’importe qui ou presque est devenu capable d’être aussi généreux que le gros bonhomme en rouge le 24 décembre au soir. Kevin Love avait lancé la mode des quaterbacks dans le Minnesota, certains seven footers lui avaient emboîté le pas, et en 2018 les Jokic et consorts sont légion dans la Ligue. Tout le monde doit être capable de lâcher de la no-look pass, d’être la rampe de lancement d’un jeu toujours plus rapide. Alors oui, les meneurs de jeu n’ont pas complètement disparu mais dans la mesure où un paquet de postes 1 se muent de plus en plus en meneurs-scoreurs, chacun doit mettre la main à la pâte pour faire tourner la boutique. Résultat des courses ? De la passé dé’ dans tous les sens et aux quatre coins des parquets et du pays, sept jours sur sept et une trentaine de jours par mois. Marcus Smart, Trae Young, Jamal Murray ou… Mason Plumlee, sur pick and roll ou fastbreak, behind the back ou between the legs, tous les moyens sont bons pour faire grailler le copain. Cinq minutes de cadeaux, cinq minutes de copinage inter/extér, et surtout une bonne raison de vous caler un moment solo à la pause de midi.

A tous ceux qui vous braillent à tout bout de champ que la NBA est une ligue individualiste, un simple copié-collé de ce lien fera l’affaire. Et si l’on vous rétorque que certains ne font ça que pour les stats, vous n’aurez qu’à répondre… vous n’aurez qu’à répondre qu’ils ont raison. Allez, pause.