Top 10 du jour : les chevilles du petit Goran Dragic sont attendues à l’accueil, je répète…

C’est l’heure du Top 10 quotidien, cette petite dégustation devant laquelle on se régale depuis des siècles et qui va donc nous permettre de relater un événement marquant ci-dessous. Date du jour ? Le 2 novembre.

Nous sommes en 2004, Emeka Okafor devrait offrir une meilleure carrière que Dwight Howard et Russell Westbrook regarde Disney Channel en faisant des tractions. Alors que certains se demandent encore ce qui s’est passé vraiment le 11 septembre 2001, la loi du calendrier presse chez l’Oncle Sam puisqu’il faut choisir un président pour les 48 prochains mois. Dur dur, surtout quand on sait que George W Bush chute dans l’opinion publique et que John Kerry a étrangement la gueule de Randy Wittman après 3 séries de Playoffs. Mais il faut bien voter et le peuple américain est encore loin d’imaginer qu’un sénateur afro-américain de l’Illinois dirigera la nation quelques années plus tard. Bref… On se bouscule dans les urnes, Danny Ferry vote blanc et personne n’y voit le moindre problème. Quelques semaines plus tard, le duel touche à sa fin et c’est pour quatre nouvelles années sous W que l’Amérique penche. Du moins, c’est ce que la télévision dit, donc on va suivre le carré lumineux. Un tel bordel suivra que Barack l’emportera par la suite en prononçant trois mots : Yes, we et can. Même Byron Scott a essayé des années plus tard, mais tout ce qui sort de sa bouche c’est I, just et suck. Le 2 novembre 2004, réélection de Bush, double-dose de Texas à la Maison-Blanche.

Source image : Anto Hollywotion pour TrashTalk