Le TrashTalk Award – Semaine 2 : qui a eu la plus grande gueule de la NBA ? Venez voter !

Le 15 nov. 2014 à 17:36 par Ludovic

Après une première édition qui a vu la victoire de Kobe Bryant avec 46% des voix, on enchaîne cette semaine avec une deuxième fournée avec nos trash talkers préférés. Steve Blake qui joue des coudes, Ed Davis qui taille le gros cul de Charles Barkley, un Kendrick Perkins sans respect pour finir avec des San Antonio Spurs qui taclent un peu Tim Duncan pour fêter le cap des 25 000 points.

Candidat n°1 : Steve Blake, thug des vertes contrées de Portland

Même Steve Blake peut faire un thug crédible

Même Steve Blake peut faire un thug crédible

Il a beau faire 12 centimètres et 23 kilogrammes de moins que Kenneth Faried, Steve Blake n’aime pas quand on lui pose un bloc un peu trop dur. Résultat : une poussette et un regard assez tendu pour montrer au Manimal que le Slim Shady de la NBA peut s’occuper de lui, si besoin. Le joueur de Denver se fait un deuxième ennemi dans la semaine, et sa street cred s’écroule.

Candidat n°2 : Ed Davis, soucieux de l’estomac de Charles Barkley

Ed Davis

Se foutre de la gueule d’une franchise en perdition, c’est bien. Le faire sur une émission mondialement connue, c’est mieux. Quand on s’appelle Charles Barkley, c’est le top. Mais attention au retour de bâton. Sir Charles avait déclaré entamé une grève de la faim qui ne s’arrêterait que lorsque les Los Angeles Lakers gagneraient leur premier match. Ses potes avaient même commencé à imaginer ce que ça pourrait donner :

La grève de la faim de Sir Charles (source : inquisitr.com)

La grève de la faim de Sir Charles (source : inquisitr.com)

Voulant sans doute surfer sur le buzz, les réseaux sociaux et Shaquille O’Neal se sont emparés de l’histoire. Sauf que l’aventure s’est arrêtée tout de suite, l’équipe de Kobe Bryant ayant réussi à battre les Charlotte Hornets. Du coup, Ed Davis s’est empressé de tailler l’ancien membre de la Dream Team. L’histoire ne nous dit pas s’il lui a préparer un peu de junk food par la suite.

Charles your fat a$$ can eat now

— Ed Davis (@eddavis32) 10 Novembre 2014

 

Candidat n°3 : Kendrick Perkins, qui n’aura jamais de respect pour les Sacramento Kings

kendrick-perkins-angry-face

Les bilans des Sacramento Kings ont eu beau s’inverser avec ceux des Oklahoma City Thunder en ce début de saison, Kendrick Perkins n’a pas une pointe de respect pour eux. Motivé à l’idée de remettre les pendules à l’heure, le pivot superstar et futur Hall of Famer n’a pas hésité à sortir cette petite pépite :

These mother fuckers are still the Sacramento Kings

On vous passe la traduction, vous avez sans doute compris, bien que la diction de Kendrick Perkins et la qualité de la vidéo soient moyennes.

 Candidat n°4 : Joakim Noah, passionné du jeu

COUV NOAH

Guerrier sur le terrain, le pivot des Bulls préfère passer son temps libre à autre chose que penser au basketball. Alors quand Pau Gasol, nouveau venu au sein de la franchise, pousse le professionnalisme au maximum en allant jusqu’à scouter ses futurs adversaires, Joakim est perdu. Quand il apprend que le match visionné par l’Espagnol est un magnifique Raptors – Sixers, il ne peut retenir sa verve :

Je ne pourrai pas regarder cette merde.

Propre, classe, net et sans bavure. Sans nul doute, les fans au nord du mur, et dans la ville de l’amour fraternel apprécieront.

Candidats bonus : Les punchlines des San Antonio Spurs 

Cette nuit, Tim Duncan vient de passer la barre mythique des 25000 points en carrière. Impressionant ? Pas tant que ça pour plusieurs membres de l’effectif, qui ont pris soin de le trolley, conformément à la tradition des San Antonio Spurs. On commence par Manu Ginobili, qui a lancé une belle pique avant de vanter les exploits de son pote :

Quand vous jouez 48 saisons…Non, ce mec est incroyable.

Et puis, bien évidemment, son coach de toujours, le grand Gregg Popoviche :

J’ai dit à Aron Baynes : “C’est pas grand chose. Si tu prends autant de tirs que lui, tu en mettras 25000 aussi.”

Rien à dire, les San Antonio Spurs sont au dessus, que ça soit en termes de jeu, ou en termes de crash talk, même si pour le coup, ça reste mignon.

On vous donne rendez-vous samedi prochain pour la remise des prix du premier Award, en costume, avec un beau trophée. Cela nous donnera également l’occasion de lancer les votes pour la semaine suivante.  On compte sur vous pour voter, et éventuellement commenter !


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