L’appel du Texas Ranger : Trevor Ariza refait une pige avec les Rockets pour 4 ans et 32 millions

Le 13 juil. 2014 à 00:31 par Leo

UPDATE du 14 juillet à 00h15 : Trevor Ariza débarque bien à Houston mais c’est dans le cadre d’un sign-and-trade avec les Wizards. La franchise de Washington récupère une trade exception de 8,5 millions qui pourrait leur permettre de compléter un roster jeune et talentueux qui vient déjà de recevoir l’apport de l’expérimenté Paul Pierce.

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On croyait les Houston Rockets dans le dur après la signature de l’énormissime extension de contrat de Chris Bosh avec le Miami Heat, un joueur qu’ils ciblaient avec ardeur depuis un moment.

Néanmoins, ceux-ci n’ont pas baissé la tête très longtemps bien qu’ils ne soient pas parvenus à rallier à leur cause les gros poissons qu’ils espéraient. Au lieu de ça, c’est bien un ancien de la maison texane qui fera son retour dans l’antre rougeâtre du Toyota Center. Au terme d’une excellente fin de saison avec les Washington Wizards, surtout PlayOffs compris, le vétéran bagué Trevor Ariza débarque en ville avec un joli pesant de lingots qui l’attendra à son arrivée dans le sud du pays : 32 millions sur 4 ans avec une graduation salariale descendante au fil des années de son contrat (8,6 millions la première saison, 8,2 la deuxième, 7,8 en 2017 et  7,4 pour la dernière). De ce fait, le natif de Miami de 29 ans offre aux Rockets la possibilité d’établir une plus grande flexibilité à l’avenir. De passage à Houston lors de l’exercice 2009-2010 après avoir glané sa bague avec les Lakers un an plus tôt, Ariza a tourné à près de 14,9 points, 5,6 rebonds et 3,8 passes de moyenne en 72 rencontres.

Si “Melo” n’a pas accepté leurs avances, Daryl Morey et les Fusées se rattrapent comme ils le peuvent en comptant sur une addition correcte au poste 3 (et même 2 s’ils le désirent), une addition irrégulière mais capable de quelques coups d’éclat appréciés lorsque le dosage des ingrédients de la sauce préparée est optimal. En un mot, une pièce non négligeable qu’il n’est jamais mauvais de se garder sous le coude…

Source texte : Bleacher Report / Source image : Harry How/Getty Images North America


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