“Vidéo”, septième épisode de la mini-série dans les coulisses de l’Équipe de France : le rôle clé de Bryan George

Le 22 août 2022 à 05:28 par Giovanni Marriette

Retrouvailles, entraînements, discipline, concurrence, intendance, hygiène de vie. Ces termes ne désignent pas les titres de chaque tome de la série Twilight mais bien ceux des épisodes de la mini-série offerte par la FFBB pour nous faire vivre de l’intérieur la préparation de l’Équipe de France avant l’EuroBasket, et ce matin on plonge dans l’univers de l’analyse vidéo grâce à Bryan George, le préposé à la télécommande du groupe de France.

C’est toujours aussi rapide, un peu plus de deux minutes, mais au moins c’est dynamique et ça donne envie de regarder une nouvelle fous les autres épisodes tous les jours avant l’Euro. Pour se mettre dans l’ambiance. Aujourd’hui on prend un peu de Kobe, un peu de Paul George et on retrouve… Bryan George, le monsieur vidéo du staff de Vincent Collet, qui nous explique donc en quoi consiste son travail et, spoiler, ça n’a rien à voir avec Netflix. Étudier chaque adversaire, évidemment, pour rappeler aux joueurs que “attention les Serbes ça shoote” ou encore qu’il faut attaquer Gallinari car il ne fait pas les efforts en défense, mais étudier le jeu des Bleus avant tout, car le premier adversaire à combattre ce sont nos défauts à nous, ça on nous l’apprend dès nos premiers rebonds de U9. Vincent Poirier et Evan Fournier pointent l’importance de ce travail et on réalise une nouvelle fois la densité du staff de l’EDF et l’importance de chacun de ses membres, en espérant voir très vite un prochain épisode consacré au begey qui prépare les sauces des sandwichs de nos Bleus.

Début des hostilités dans neuf jours avec un France – Allemagne qui ne sera pas sans nous rappeler le difficile Euro 2017 lors duquel les Français étaient sortis dès les huitièmes de finale par, ah bah tiens, les Allemands. D’ici-là ? La République Tchèque et la Bosnie au programme, deux matchs giga-importants puisque comptant pour les qualifications à la prochaine coupe du monde. Trois jours avant l’Euro, faut suivre ouais.