Le Top 10 de la saison de Paul George : du poster, du cross, du talent tout simplement

Le 14 mai 2016 à 07:47 par Bastien Fontanieu

Il fallait utiliser cette saison comme un test, pour voir si la terrible blessure vécue lors de l’été 2014 était derrière lui ou encore bien présente dans sa tête : l’ailier des Pacers a réduit tous les doutes à néant, en offrant une saison royale aux Pacers.

Si Paul George lui-même mettait Indiana dans la liste des équipes en Playoffs, ils n’étaient pas si nombreux à le suivre dans sa démarche, la franchise de Larry Bird réalisant des changements majeurs au sein du vestiaire. Propulsé dans le siège de franchise player depuis des mois, Paulo se retrouvait cette fois-ci avec une double-mission supplémentaire, celle de remettre les Pacers dans le droit chemin après une année passée à regarder les joutes du printemps à la téloche, et celle de faire taire la moindre critique concernant la suite de sa carrière. Alors comme ça, je ne pourrai jamais m’en remettre, et j’aurai un destin à la Derrick Rose ? Ok. Du début de la saison à la toute fin, en forçant un Game 7 à Toronto alors que peu de monde pensait pouvoir atteindre ce stade-là dans l’Indiana, PG13 a été sublime de leadership, de sérénité, de régularité et de domination. Connaissant bien évidemment des hauts et des bas dans sa régulière, le simple fait de le voir proposer de nouvelles performances ahurissantes rassurait toute la planète basket, qui avait le ventre en mille morceaux lors de ce fameux match amical de Team USA. Le retour au meilleur niveau de Paul George ? Une des nouvelles les moins évoquées mais pourtant les plus kiffantes de l’année.

Source image : FoxSports


Tags : Paul George