LeBron James a du mal à digérer la fragilité de sa nouvelle compagne

Le 24 nov. 2014 à 18:41 par Ludovic

5 coïts et 6 pannes. Peu de relations connaissent des débuts si chaotiques, surtout quand vos camarades ont déjà prévu de vous voir élu couple de l’année au bal de promo. L’embrouille en public à Toronto a pris des proportions énormes, mais l’histoire ne dit pas si Drake, spécialiste de la fragilité au nord du mur, en a profité pour trouver l’inspiration afin de composer un nouveau son.

La saison est à peine commencée qu’il conviendrait déjà de penser à une rupture à l’amiable, s’il n’y avait pas ce foutu contrat de mariage. Le début d’une relation n’est jamais facile mais on espérait voir les principaux protagonistes faire quelques efforts pour démarrer cette histoire sur les chapeaux de roue. La fameuse lune de miel n’aura duré finalement qu’un temps, et déjà, les emmerdes se multiplient.

LeBron James a déjà vécu à Miami des débuts difficiles. Mais les folles nuits d’amour qu’il avait l’occasion de vivre de ci de là, avec sa compagne du moment, prenaient le pas sur les engueulades du quotidien. Surtout, l’expérience de celle-ci n’était nullement comparable avec celle de cette nouvelle conquête. Alors certes, elle est sexy et bien foutue, mais se trouve aussi démunie en défense qu’une pucelle dans un gang bang, la preuve : elle n’en branle pas une. La relation, bien que toute jeune, est de plus en plus fragile, et le « King » se sent presque émasculé. Après un départ fantastique face aux Toronto Raptors, qui les avait vu mener de 18 points en premier quart temps, le joueur et sa nouvelle compagne ont tellement cherché à accélérer le tempo que la purée est sortie trop vite, trop tôt, trop fort, aboutissant à une éjaculation précoce les empêchant de tenir la route en fin de rencontre. Résultat sans appel : 19 points dans l’orifice en fin de match :

 « Nous sommes une équipe très fragile actuellement. Enfin, on est une équipe fragile depuis le départ. S’il y a un peu d’adversité, on perd nos moyens. Pourtant, on n’est pas au plus bas. Vous savez, le pire, c’est de mener de 17 points dans le match 2 des finales, et perdre. Ça peut aller aussi loin. Ou mener 2-1 et aller au match 4 pour finir par en perdre 3 de suite en finales. Ça, c’est très dur. Donc je suis très optimiste. Je suis très positif. Plus positif que je pensais l’être à l’heure actuelle, donc on regarde ce qu’on a fait comme erreur, ce qu’on a fait de bien et on se prépare pour Orlando, lundi. » – LeBron James

Comparer deux relations en ne gardant que les mauvais souvenirs de l’ancienne pour les comparer au potentiel de la nouvelle ne paraît pas être une méthode très objective. Enfin ça, c’est à LeBron James de le gérer. Attention, on ne souhaite pas voir les tourtereaux souffrir outre mesure et se déchirer toute l’année en public. L’un comme l’autre sont trop beaux et trop populaires pour ça.

Mais au moment de la dernière danse du bal de promo, là où les derniers indécis prendront une décision définitive avant de glisser le bulletin de vote dans l’urne, auront-ils les reins assez solides pour l’emporter face à leurs concurrents ? Ce vieux couple texan qui se connaît depuis des lustres ne pourrait-il pas une nouvelle fois leur voler la vedette ? Et que penser de leurs voisins de l’Illinois, qui n’ont plus concouru avec l’intégralité de leurs moyens depuis des lustres ?

Source image : fansided.com

Source article : Pro Basketball Talk

 


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