JoeIngles
Statistiques de la saison 2023-2024
Joe Ingles selon TrashTalk
Joe Ingles a peut-être la dégaine du Bossu de Notre Dame, mais Joe Ingles est aussi un basketteur spectaculaire, intelligent et efficace. Joueur de basketball évoluant actuellement chez les Milwaukee Bucks en NBA, Joe Ingles mesure 2m01, pèse 100 kg et joue au poste d’ailier. Né à Adelaïde en Australie, le 2 octobre 1987, Joe Ingles fait partie des nombreux joueurs Australiens à avoir fait carrière en NBA (comme Patty Mills ou Andrew Bogut par exemple). Il a débuté sa carrière NBA en 2014 mais n’a pas été drafté, symbole d’un parcours peu commun, à son image.
Joe Ingles : des titres avant la NBA
Connu notamment pour un QI Basket (intelligence de jeu) plus haut que la moyenne et pour être – également – le spécialiste des petits coups de vice pendant les matchs, Joe Ingles a commencé sa carrière loin de la NBA, avec les South Dragons de Melbourne, un nom qui fait rêver et qui lui offre un titre de champion d’Australie. Puis direction l’Espagne pour Tonton Joe, qui rate un premier rendez-vous avec la NBA (Summer League deux étés de suite avec les Golden State Warriors) mais qui se fera plutôt un nom du côté de Grenade et Barcelone (deux Coupes du Roi et deux titre de champion d’Espagne avec le Barca), avant de jouer un an avec le Maccabi Tel-Aviv et de remporter là-bas l’Euroleague, pour ce qui sera sa dernière aventure européenne avant son départ pour la NBA. Moralité ? Partout où Joe Ingles passe, Joe Ingles gagne des titres.
Joe Ingles, la classe et le vice pour faire grandir le Jazz
En NBA, la carrière de Joe Ingles se résume principalement à une franchise, à une belle histoire d’amour : celle qui le lie au Utah Jazz. Huit saisons à Salt Lake City, plus de 600 matchs pour des moyennes de 8,5 points, 3,2 rebonds et 3,7 passes. Solide titulaire ou remplaçant efficace, Joe Ingles est à la fois la fraicheur et l’expérience, l’originalité et la roublardise, la sagesse et la malice. Gordon Hayward, Rudy Gobert, Donovan Mitchell, Mike Conley… il en aura connu des coéquipiers le père Joe, mais après seulement trois demi-finales de Conférence et aucun gros run en Playoffs en huit saisons l’un des visages du Utah Jazz est échangé chez les Portland Trail Blazers en février 2022. Ingles ne jouera aucun match chez les Blazers (il est alors blessé aux ligaments croisés) et signera ensuite avec les Milwaukee Bucks à la fin de la saison, des Bucks à qui il amène sa science aux tirs, sa science tout court.
Un Australien engagé
Parfois surnommé Slow-Mo Joe en raison d’une vitesse d’exécution à rendre jaloux une tortue, Joe Ingles est unanimement reconnu comme un homme (très) doué pour son sport.
Avec la sélection australienne aka Team Australia, il est médaillé de bronze aux Jeux Olympiques de Tokyo en 2021, point culminant de plusieurs très bonnes compétitions des “Boomers”, surnom de l’équipe d’Australie.
Depuis 2019, Joe Ingles et sa femme, Renae, sont très impliqués en ce qui concerne la question de l’autisme, en raison notamment des troubles autistiques diagnostiqués à leur fils Jacob. Une belle manière d’évoquer un homme de conviction, dont l’altruisme et le sourire transpirent autant sur le terrain qu’en dehors.
Joueurs de l'équipe
Joe Ingles selon TrashTalk
Joe Ingles a peut-être la dégaine du Bossu de Notre Dame, mais Joe Ingles est aussi un basketteur spectaculaire, intelligent et efficace. Joueur de basketball évoluant actuellement chez les Milwaukee Bucks en NBA, Joe Ingles mesure 2m01, pèse 100 kg et joue au poste d’ailier. Né à Adelaïde en Australie, le 2 octobre 1987, Joe Ingles fait partie des nombreux joueurs Australiens à avoir fait carrière en NBA (comme Patty Mills ou Andrew Bogut par exemple). Il a débuté sa carrière NBA en 2014 mais n’a pas été drafté, symbole d’un parcours peu commun, à son image.
Joe Ingles : des titres avant la NBA
Connu notamment pour un QI Basket (intelligence de jeu) plus haut que la moyenne et pour être – également – le spécialiste des petits coups de vice pendant les matchs, Joe Ingles a commencé sa carrière loin de la NBA, avec les South Dragons de Melbourne, un nom qui fait rêver et qui lui offre un titre de champion d’Australie. Puis direction l’Espagne pour Tonton Joe, qui rate un premier rendez-vous avec la NBA (Summer League deux étés de suite avec les Golden State Warriors) mais qui se fera plutôt un nom du côté de Grenade et Barcelone (deux Coupes du Roi et deux titre de champion d’Espagne avec le Barca), avant de jouer un an avec le Maccabi Tel-Aviv et de remporter là-bas l’Euroleague, pour ce qui sera sa dernière aventure européenne avant son départ pour la NBA. Moralité ? Partout où Joe Ingles passe, Joe Ingles gagne des titres.
Joe Ingles, la classe et le vice pour faire grandir le Jazz
En NBA, la carrière de Joe Ingles se résume principalement à une franchise, à une belle histoire d’amour : celle qui le lie au Utah Jazz. Huit saisons à Salt Lake City, plus de 600 matchs pour des moyennes de 8,5 points, 3,2 rebonds et 3,7 passes. Solide titulaire ou remplaçant efficace, Joe Ingles est à la fois la fraicheur et l’expérience, l’originalité et la roublardise, la sagesse et la malice. Gordon Hayward, Rudy Gobert, Donovan Mitchell, Mike Conley… il en aura connu des coéquipiers le père Joe, mais après seulement trois demi-finales de Conférence et aucun gros run en Playoffs en huit saisons l’un des visages du Utah Jazz est échangé chez les Portland Trail Blazers en février 2022. Ingles ne jouera aucun match chez les Blazers (il est alors blessé aux ligaments croisés) et signera ensuite avec les Milwaukee Bucks à la fin de la saison, des Bucks à qui il amène sa science aux tirs, sa science tout court.
Un Australien engagé
Parfois surnommé Slow-Mo Joe en raison d’une vitesse d’exécution à rendre jaloux une tortue, Joe Ingles est unanimement reconnu comme un homme (très) doué pour son sport.
Avec la sélection australienne aka Team Australia, il est médaillé de bronze aux Jeux Olympiques de Tokyo en 2021, point culminant de plusieurs très bonnes compétitions des “Boomers”, surnom de l’équipe d’Australie.
Depuis 2019, Joe Ingles et sa femme, Renae, sont très impliqués en ce qui concerne la question de l’autisme, en raison notamment des troubles autistiques diagnostiqués à leur fils Jacob. Une belle manière d’évoquer un homme de conviction, dont l’altruisme et le sourire transpirent autant sur le terrain qu’en dehors.
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