Conseiller capillaire : pour J.R. Smith, les cheveux de LeBron sont la rançon de son succès

Le 18 déc. 2015 à 08:25 par David Carroz

En plus de nous régaler régulièrement sur les parquets, J.R. Smith est devenu une de nos mascottes grâce à son comportement en dehors des terrains, une vie parfois débridée et souvent alcoolisée. Si depuis son arrivée à Cleveland en janvier on le voit moins régulièrement squatter la case “j’ai fais n’imp'”, il n’en demeure pas moins un génie. La preuve avec sa dernière sortie, sur la coiffure de LeBron James.

En effet, interrogé par GQ, notre cher “Gérard” aborde sa théorie quant à la calvitie de LBJ, sujet de moquerie de la part des observateurs de la NBA. Le moins que l’on puisse dire, c’est que comme toujours, J.R. Smith nous vend du rêve, même si on attend toujours qu’il poursuive son analyse en nous expliquant le caniche présent sur la tête de Kevin Love.

Je lui dis qu’il ne peut pas tout avoir. Je lui dis tout le temps : “Tu ne peux pas tout avoir ! Il faut bien que tu renonces à quelque chose, et il se trouve que ce sont tes cheveux.” Si quelqu’un me disait, “je te donne 600 millions de dollars mais je vais devoir de prendre tes cheveux.” Prenez mes cheveux alors ! – J.R. Smith, nouveau conseiller chez Jean-Louis David.

Il est vrai que tout le monde ne peut pas avoir la coupe impeccable de Smith, acteur de la mode réputé. Mais il est vrai aussi que malgré tous les efforts entrepris pas LeBron James, peu importe sa réussite sportive et l’accumulation des contrats publicitaires, ses cheveux ne repoussent pas. Et ce ne sont pas les trois poils de fion qu’il s’est fait greffer sur le crâne qui changent grand chose à son look capillaire. Ni à son niveau d’ailleurs, et c’est bien ça le plus important. En tout cas cette belle remarque de J.R. Smith nous rassure, ce n’est pas parce qu’il n’a plus autant l’occasion de faire la bringue qu’à New York qu’il a perdu de son style. Pourtant, lui même avoue avoir flippé en débarquant dans l’Ohio.

Honnêtement ? J’étais pétrifié. Sérieusement. Je ne savais pas à quoi m’attendre. Je me disais : la météo va être horrible. Il ne va y avoir aucun endroit où sortit manger. Aucun endroit pour aller faire la bringue. – J.R. Smith.

En effet, pas autant de strip-club et de boites de nuit qu’à Big Apple, mais ce n’est pas plus mal finalement que Gérard se soit bien habitué à cette nouvelle vie. La preuve, il a prolongé son bail à Cleveland cet été alors qu’il avait l’opportunité de bouger. Mais le charme de LeBron James, coiffure pourrie ou pas, a pris le dessus sur d’éventuelles envies d’ailleurs…

Source : Bleacher report

Source image : Gregory Shamus/Getty Images


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