Le Texas Ranger est de retour dans son jardin.
Le teasing est terminé et ça sent déjà le futur classique d'entraînement dans tous les clubs du pays.
Jeune, bon en défense, avec un beau potentiel à développer et sans doute pas cher : qui pour saisir la bonne affaire...
Une année XXL et une prolongation plus que méritée pour Julius Randle.
Woj Booooooomb ! Kemba Walker débarque à New York sur les lieux de l'un de ses anciens crimes, et les Knicks commencent...
Un tour de manège en plus !
Vous vouliez un retour à Chicago ? No way, y'a Vavane qui arrive alors Derrick reste !
Toi tu suis la Free Agency sur Twitch, Evan Fournier lui, il signe aux Knicks et il joue un quart de finale...
Deux légendes new-yorkaises restent chez les Knicks.
Franchement, ça sent la fin.
Jouer devant Spike Lee ? Forcément, ça donne envie.
Le retour en Playoffs après huit ans de disette, un COY et un MIP dans la place, un Madison Square Garden en...
C'est bon là, vous l'avez.
Arrivé il y a un peu plus d’un an à New York avec la mission quasi-impossible de remettre les Knicks dans les...
Kendrick Nunn recrue phare des Knicks cet été ?
Ce genre de marée humaine, juste ça, simplement.
La tête de Randle quand il a vu ses propres highlights.
L'info est folle, et l'ambiance ne le sera pas moins.
On en connaît un qui devrait continuer à croquer la Grosse Pomme.
La Grosse Pomme à la fête.
Pas question de laisser filer un match, l'ADN 2021 des Knicks leur interdit.
Randle a le cœur Orange-Bleu, rien à voir avec Paul Éluard ou les clubs de Fitness.
Donc là VOUS COUREZ ET là VOUS COUREZ
C’est une phrase qui était imprononçable il y a quelques mois. Une blague, qui n’avait pas de sens il y a un...
MVP un jour, MVP toujours.
Show me the money !
Heu le survêt' aux couleurs des Knicks, si c'est pas un signe ça ?
Toujours là pour donner des coups le Charles.
Tiens, intéressant ça...
Alors là par exemple, il venait de botter le cul des Français en 2019.
Simisola Shittu chez les Knicks, et Marcos Henrique Louzada Silva à New Orleans, pour être tout à fait précis.
Bravo à New York pour le titre, on n'a rien pu faire.
Merci pour les jeux de mots garçon
Arrêtez de snober cet homme dans la course au MIP car il va finir par causer pour le MVP.
"La jeunesse est le sourire de l'avenir devant un inconnu qui est lui-même" disait Victor Hugo. Tom Thibodeau valide.
« Lui dans la NBA actuelle... »
Là ça devient très sérieux hein.
J'ai des rancunes qu'ont mijoté, les Playoffs sont servis al dente.
Tom Thibodeau, Playoffs, on y retourne.
Les mecs ne lâcheront jamais. Pas cette année, pas cette fois.
Les saisons se suivent et se ressemblent pour les Knicks, cela fait maintenant depuis 2012 que la franchise n’a plus connu les Playoffs. Cette dernière année a encore une fois été médiocre avec une 11ème place dans la Conférence Est. Le seul point positif est l’éclosion de quelques talents comme Mitchell Robinson, Kevin Knox ou encore Frank Ntilikina (faut bien être un peu chauvin…).
Cette mauvaise saison leur a au moins permis de drafter en troisième position même si on rêvait d’autre chose à New York. Tant pis pour Zion Williamson, il faudra se contenter du Canadien R.J. Barrett. Le rookie sera responsabilisé dès sa première année par son coach David Fizdale qui croit beaucoup en lui. En plus de leur rookie, les Knicks ont récupéré quelques agents-libres sur le marché. Mais malheureusement, ce sera encore une déception pour la franchise qui espérait récupérer de gros poissons comme Kevin Durant, Kyrie Irving voire même les deux pour finalement récupérer Julius Randle, Bobby Portis, Marcus Morris et Taj Gibson. Autant vous dire que la déception était déjà grande pour les fans.
Avant qu’elle ne se transforme en haine, KD et Uncle Drew ont choisi de signer chez leur voisin de Brooklyn car leur projet était plus ambitieux à leurs yeux. Le groupe des Knicks n’est pas ridicule entre jeunesse à potentiel et expérience. Au mieux, l’équipe se battra pour accrocher une place en Playoffs dans une Conférence Est encore une fois ouverte. Mais pour cela, il faudra que David Fizdale trouve un cinq majeur régulier et homogène sur lequel il peut compter pendant 82 matchs. Avec toutes ces incertitudes, la ville de New York ne sait encore une fois pas à quoi s’attendre pour sa franchise la plus mythique (désolé on ne pouvait pas dire la meilleure). Mais les rêves de titre sont encore une fois très loin, le Madison Square Garden va peut-être un peu plus s’enflammer cette année mais pas à la hauteur de ce que cet endroit mérite.