Kings

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Les Kings viennent de réaliser une saison très encourageante. Avec des gars comme Buddy Hield, De’Aaron Fox et l’ancien joueur des Warriors champions en 2015, Harrison Barnes, pour guider son attaque, la franchise de Sacramento possédait la neuvième meilleure attaque de toute la Ligue avec 114,2 points par match. Mais il n’y a pas qu’au scoring que les Rois se sont révélés être de sérieux clients. Dans la peinture, la très bonne sélection de Marvin Bagley à la Draft 2018 alliée à la puissance de Willie Cauley-Stein ont fait des carnages aux arceaux NBA.
Du talent, de la cohésion d’équipe, c’est tout ce dont a besoin une équipe jeune comme les Kings, qui ne demandent qu’une seule chose : jouer, jouer et encore jouer. À leur âge, les joueurs ont besoin qu’on leur donne des responsabilités, pas qu’on les laisse apprendre en fond de banc. Une philosophie qu’a l’air d’avoir bien compris le front office de Sacramento. DeMarcus Cousins ne doit sûrement pas s’en mordre les doigts, mais tout se serait passé très différemment si Boogie était resté dans sa première franchise. Aujourd’hui, s’ils continuent sur leur lancée et que le groupe demeure tel qu’il est, les Kings peuvent espérer se rapprocher du jeu produit par Golden State en 2015 et c’est exactement ce que cherchait Vlade Divac en faisant atterrir Luke Walton dans sa franchise. Une équipe où tout le monde (ou presque), des joueurs au head coach, sont jeunes et partagent la même philosophie de jeu. Mais avec des gars comme Fox, Bogdanovic, Hield et Bagley, les Kings sont assurés d’un avenir radieux. Reste à savoir si Walton sera le coach parfait qu’a décrit Vlade Divac lors de sa signature.

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