Bam Adebayo veut faire ceci plus souvent
Une dernière et puis la retraite pour Udonis Haslem.
Comment ne pas cliquer ?!?
Un joueur non drafté qui brille à Miami, quoi de plus normal.
P.J. Tucker est parti, mais il n'a pas été remplacé. Qui pour combler son départ ?
Cadeau pour ceux qui n'ont pas vu ceci.
Duncan Robinson est un braqueur et il va devoir rendre des comptes au GodFather.
Pour cet épisode des 30 Previews en 30 Jours, direction Miami pour décortiquer le Heat !
Son mérite n'empêche pas que c'est extrêmement bien payé.
Kyle Lowry trop gros ? Non selon Tim Hardaway.
On valide !
Le flow de cette image est indécent.
Jimmy Buckets n'aura jamais aussi bien porté son nom.
Une façon de boucler la boucle.
Le calendrier officiel du Miami Heat, c'est par ici baby !
Okay fallait la sortir sans trembler du menton celle-là, mais à toi de jouer Vic.
Vu le niveau all-time affiché par LeBron à Miami entre 2010 et 2014, c'est juste impensable de ne pas voir son numéro...
Ils sont pas beaux, sur leur bateau, les copaings du Banana ? Allez, direction Miami.
Bam Adebayo va-t-il disputer toute sa carrière sous le maillot de Miami ?
T'as raison Bam, accroche-toi à cette salle pour être sûr d'y rester !
Ta tête quand tu vois ton nom dans la All-NBA 2nd Defensive Team.
L'homme qui valait très cher.
P.J. Tucker et Jimmy Butler en mode complices, une image qui appartient au passé.
Caleb Martin, l'un des soldats d'Erik Spoelstra.
Et Tyler Herro, il puduk ?
On to the next one.
Vraie belle addition pour la second unit du Heat.
C'est quoi la suite pour Victor Oladipo ?
T.J. Warren et Jimmy Butler dans la même équipe, ça mérite d'être vu.
Le patron voulait que son équipe reste en forme, il y est pas allé à moitié.
Une news sponsorisée par Florida.
Note du prospect : nez de Jean Lassalle/10
P.J. Tucker va tester le marché : retour à South Beach ou nouveau départ pour le pitbull
"J'traîne dans la city bourrée d'vices"
Au Heat, on ne déconne pas avec la forme physique des joueurs.
"My homeboy Tyler, he plays in South Bench"
Dehors ou pas dehors ?
La fin est cruelle, mais la saison fut belle.
Respect.
C'est l'heure du du-du-du-duel !
C’est un nouveau chapitre qui s’ouvre pour le Heat, quelques semaines après que Dwayne Wade ait mis fin à sa carrière. Vu le gars qui vient le remplacer, D-Wade peut être confiant, on retrouve un peu de hype à South Beach après une saison un peu terne. On le savait à l’avance, la principale attraction du Heat version 2018-19 était de voir la dernière saison de l’un des tout meilleurs arrières de l’histoire. On a eu droit à un sacré spectacle à ce niveau puisque Flash tournait à 15 points de moyenne et a conclu sa carrière à domicile en plantant 30 points sur la tête des 76ers.
Problème, autour de ça, on n’a pas eu grand-chose à se mettre sous la dent. Si Josh Richardson avait fait un gros début de saison, personne ne s’est vraiment approché d’un niveau de All-Star et ça a coûté cher puisque le Heat a terminé à la place du con, à 2 petites victoires des Playoffs. Pas la meilleure des situations pour commencer l’ère post D-Wade.
Heureusement, Miami reste Miami, et le soleil floridien ainsi que la stabilité de la franchise de Pat Riley font que l’équipe reste plutôt attrayante. Du coup, avec un an de retard puisque le Heat cherchait à le récupérer en début de saison dernière, Jimmy Butler a rallié South Beach pendant que Josh Richardson part à Philly. Contrat max, pas de chichi pour un joueur de ce calibre. Aussi, on a fini par comprendre qu’on n’était plus en 2016 et que Hassan Whiteside ne représentait plus vraiment l’avenir de la franchise, du coup on a envoyé le pivot à Portland pour récupérer Meyers Leonard et Moe Harkless. Et on rajoute à ce groupe bien fiable un gros potentiel en la présence de Tyler Herro en 13ème choix de draft. Donc même si on n’a pas pu attirer Russell Westbrook ou Bradley Beal (pour le moment), l’été reste réussi. Le même groupe que la saison dernière avec Jimmy Buckets en plus, le tout coaché par Erik Spoelstra ? Ça va en Playoffs tout les jours normalement, mais difficile d’aller titiller les cadors de l’Est sans un deuxième All-Star.