La NBA dans un monde parallèle, en 10 scénarios flippants : plus aucun décalage horaire

Le 27 oct. 2017 à 17:34 par Bastien Fontanieu

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Il doit bien exister un monde parallèle, quelque part, sous nos pieds. Un monde dans lequel les lois ne sont pas les mêmes, les joueurs ne sont pas les mêmes, la NBA n’est tout simplement pas la même. Sommes-nous paranos ? Un peu. Mais chez TrashTalk, on aime surtout jouer la carte de la science-fiction. Et en duo avec la série Netflix “Stranger Things” (début de la saison 2 le 27 octobre), on a décidé aujourd’hui de plonger dans cet underworld terrifiant. Un univers qui nous pousse à imaginer la NBA à l’extrême opposé de celle qu’on connaît actuellement : accrochez-vous, ça va secouer. 

Là, on est plus au paradis que dans un underworld flippant, mais on va se permettre d’y croire. On va renverser les lois de la gravité, brûler le système solaire qui nous impose de dormir à certaines heures, et voir ce que le quotidien donnerait avec de la NBA à des heures normales. Bien évidemment, dans ce monde parallèle, l’adaptation serait d’abord compliquée car les nouvelles habitudes à prendre seraient bouleversantes. Comment ça, vous voulez dire qu’à 20h30 il y aurait un pur match de basket, tous les soirs ? Et qu’on pourrait en avoir un vers 19h sur la East Coast américaine avant de terminer dans les bras de Morphée devant une rencontre des Lakers ? C’est là qu’on réalise alors la chance qu’ont certains copains du monde réel, habitant entre Boston et San Francisco. En France, de nos jours, difficile de promouvoir le basket sachant que la meilleure ligue au monde a lieu à des horaires incompatibles avec notre rythme de vie. Du coup, regarder la NBA, c’est plus ou moins faire partie d’une secte aux cernes de 12 mètres de long, et s’habiller en survêtement des Bulls. Alors qu’en fait, on fait juste partie d’une secte aux cernes de 12 mètres de long, mais on s’habille en pyjama. Sans décalage horaire, au-delà de la facilité pour pouvoir prendre part à un match, c’est une toute autre place que pourrait prendre le basket. Peut-être, du coup, que la couverture médiatique serait encore plus importante car le jeu serait visible par tout le monde. Peut-être, aussi, que le sport n’arriverait pas à décoller car il reste américain avant tout. Qui sait, qui sait.