La NBA dans un monde parallèle, en 10 scénarios flippants : 41 matchs par saison

Le 27 oct. 2017 à 17:34 par Bastien Fontanieu

James Harden
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Il doit bien exister un monde parallèle, quelque part, sous nos pieds. Un monde dans lequel les lois ne sont pas les mêmes, les joueurs ne sont pas les mêmes, la NBA n’est tout simplement pas la même. Sommes-nous paranos ? Un peu. Mais chez TrashTalk, on aime surtout jouer la carte de la science-fiction. Et en duo avec la série Netflix “Stranger Things” (début de la saison 2 le 27 octobre), on a décidé aujourd’hui de plonger dans cet underworld terrifiant. Un univers qui nous pousse à imaginer la NBA à l’extrême opposé de celle qu’on connaît actuellement : accrochez-vous, ça va secouer.

Diviser le nombre de matchs en saison régulière par deux ? Est-ce seulement possible ? Non. D’où cette science-fiction qui nous tend ses bras, afin qu’on y plonge avec bonheur. Le business de la NBA est tellement puissant et fleurissant qu’imaginer autre chose que les 82 matchs actuels est une douce folie. Il n’est pas seulement question de santé pour les joueurs, il est surtout question de sesterces à faire tomber dans les poches de la Ligue. Sauf que dans l’underworld ? On ne se limiterait pas à ça. Pour conserver les joueurs le plus longtemps possible et éviter des matchs parfois inutiles (fin-mars, par exemple), la régulière ne proposerait que 41 matchs, ce qui créerait une compétition plus enragée et des résultats plus décisifs. De nos jours ? On peut parfois avoir l’impression qu’une défaite se rattrapera le lendemain avec un match à domicile. Dans le cas d’une division du total de rencontres jouées par deux, il y a fort à parier que chaque soir offrirait un spectacle plus engagé aux fans de NBA. Moins d’oppositions, forcément, mais plus de dévouement et donc de concentration quotidienne. Voilà une option de ce monde parallèle qui nous attirerait pas mal, car même si la surabondance de notre monde réel est fortement appréciable, l’intérêt de certains matchs et le niveau de jeu de certains duels nous pousse à rêver d’une vraie réduction du calendrier. Et puis, si on peut diminuer le nombre de blessures en agissant ainsi, on quitte volontiers la réalité pour ce modèle-ci.