Big Baller Brand présente la ZO2 : une marque indépendante, un design de Kobe, un tarif de Gucci

Le 08 mai 2017 à 19:37 par David Carroz

ZO2 Prime Big Baller Brand
Source image : Slam Online/Big Baller Brand

Jeudi dernier, les premières images des ZO2 sortaient sur Slam Online. Comment ça, vous avez zappé l’événement et vous ne savez pas de quoi il s’agit ? Honte sur vous, vous n’êtes pas dignes d’être des Big Ballers, contrairement à Lonzo Ball, puisque ces ZO2 de Big Baller Brand sont les premières pompes du fils de LaVar.

On avait pu voir que les grosses firmes de groles qui chaussent la plupart des athlètes NBA avaient snobé le jeune homme issu de UCLA malgré son potentiel. Il faut dire que s’offrir Lonzo et ses qualités de basketteur, c’est récupérer en bonus LaVar et ses déclarations. Du coup, comme on n’est jamais mieux servi que par soi-même, la famille Ball a donc opté pour ses propres pompes, qui sortent donc sous la marque BBB – Big Baller Brand. Difficile de parler de technique puisqu’il s’agit là d’une grande inconnue avec le lancement de la marque et du modèle, notons juste l’utilisation d’une semelle intérieure Ortholight pour le confort, une couche pour absorber les chocs et un poids annoncé léger pour une vitesse optimale. On part donc sur une tige basse et un design épuré sur l’empeigne, même si le revêtement rappelle la peau des reptiles. La semelle intermédiaire est noire, tout comme la base d’ailleurs, sauf sur l’avant puisque c’est celle extérieure translucide qui remonte. Quelques touches d’ocre – y compris à l’intérieur – complètent les teintes utilisées.

 

La sortie officielle des ZO2 Prime de Big Baller Brand est annoncée pour fin novembre, le 24 pour être précis. Mais vous pouvez déjà les précommander pour un montant de 495 dollars. Si vous êtes plein aux as ou que vous êtes un fan hardcore de Lonzo Ball, une version premium autographiée et livrée dans son enceinte éclairée par des LEDs est affichée à 995 dollars. A l’inverse, si vous êtes plutôt près de vos sous, vous pourrez vous contenter des claquettes à … 220 dollars. Adieu, ce monde part en cacahuète.

On aime :

  • Le design global est assez sympa des groles de chez Adidas mais également les pompes de Kobe. Un peu de plagiat ? Ne soyons pas mauvaise langue, il y a assez de choses négatives à balancer sur cette sortie.

On aime moins :

  • On a beau essayer de ne pas détester LaVar Ball et mettre de côté toutes ses conneries, quand on le voit nous pondre une paire de basket à 500 euros, on a bien l’impression qu’il nous chie dans la bouche. Et sa justification comme quoi il veut toucher un nouveau marché, au-dessus des pompes de performances, mais en dessous de celles de luxe, ne nous convainc guère.

Source : Slam Online