NBA Top 10 du jour : Nikola Jokic n’en a plus rien à foutre des défenseurs, c’est officiel

Le 25 mars 2017 à 08:18 par Giovanni Marriette

Mode pause activé entre deux visionnages des highlights de Devin Booker, l’occasion de parler d’un sujet qui nous tient tous à cœur. Un sujet qui fait surtout partie de nos vies à tous, du réveil le matin au dodo d’une heure le soir avant les matchs.

Nous fêtons en effet aujourd’hui la Journée Mondiale de la procrastination, et si pour certains ce terme est aussi étranger que la modestie pour LaVar Ball, sachez que vous êtes tous des procrastineurs. Nous procrastinons tous car c’est humain. La procrastination kezako ? C’est tout simplement le fait de remettre à plus tard (au lendemain, à la semaine suivante, à… jamais) quelque chose que vous ne voulez ou pouvez pas faire sur le moment. A cause du manque de temps, à cause de la flemme ou même d’une impossibilité matérielle mais en tout cas… “on le fera plus tard”. Certains n’aiment pas fonctionner ainsi mais le font forcément de temps en temps, d’autres s’en sont fait une spécialité. Et en NBA aussi d’ailleurs car on peut finalement, par exemple, taxer Chris Paul de procrastination quand il remet à l’année suivante sa participation aux Finales de Conférence, pareil d’ailleurs pour Carmelo Anthony avec les Playoffs tout court. Idem pour Gérard quand il dit qu’il arrête de boire demain ou pour Jared Sullinger qui n’en finit plus de repousser son régime.

On sait que vous vous reconnaitrez tous plus ou moins dans ces lignes. Le ménage ? Je le ferai demain. Réviser pour le DS de mardi ? Demain. Prendre des nouvelles de mamie ? Semaine pro. Me raser ? Demain. Dormir un peu ? Lol.

Deux choses à savoir donc à travers ces quelques lignes : premièrement, si vous voulez remettre une tâche un peu chiante à demain… aujourd’hui vous en avez le droit. Et deuxièmement ? Pas de procrastination pour le Top 10. Il est sorti et il faut le regarder. Maintenant, tout de suite, pas demain. Allez, zou.


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