Lou Williams s’éclate et plante 54 points au Pro-Am d’Atlanta : comme dirait tonton, c’est très très lou

Le 20 août 2016 à 11:31 par Giovanni Marriette

Lou Williams

Pendant que certains s’évertuent à ramener une médaille d’or au pays, d’autres préfèrent aller taper la baballe entre potes, là où le mot défense est resté à la buvette et où se faire plaisir est le mot d’ordre. Lou Williams fait partie de cette deuxième catégorie et il a frappé hier un grand coup dans la colonne des trucs dont on en a un peu rien à foutre.

A quelques semaines de la reprise avec les Lakers où, rappelons-le, Lou Williams est encore sous contrat malgré une très probable envie des dirigeants de s’en débarrasser au même titre que son bro’ Swaggy-P, les tournois battent leur plein et le 6th man of the year 2015 continue donc de faire chauffer son poignet. Pour le plus grand bonheur de ses deux meufs peut-être, mais aussi et surtout pour le plaisir du public d’Atlanta, qui a donc vécu hier une folle soirée grâce à Jean-Michel Bigame. 54 points, dont au moins… 2 avec un défenseur dans les pattes, le caviar qui va bien pour le game winner et un enjaillage total de la salle pour l’équipe du Laker et de… Stephen Jackson, qui aura donc assisté au record de points du tournoi, un an après un certain… Lou, qui bat donc hier son propre record. Pas sûr que ceci ne l’aide à intégrer un jour le Hall of Fame mais ce genre de mixtape est toujours bonne à prendre l’été lorsqu’on est en manque de basket cainri. Sauf quand on est un fan des Lakers en fait, puisque la gloutonnerie de Loulou doit faire un peu flipper certains, qui se demandent déjà comment la gonfle sera partagée la saison prochaine et qui ont donc eu la confirmation que l’ancien Faucon et Raptor avait apparemment toujours autant la dalle.

Quoiqu’il en soit on aime ce genre d’images même si elles ne veulent pas dire grand chose. Parce qu’elles nous montrent des malades du basket, qui ne pourront jamais s’empêcher d’aller crosser les potes tous les étés quand la pause se fait trop longue. Vivement la reprise, bordel.

Source : youtube


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