Paul George s’endort dans les starting blocks : réveillez-le quand il aura le feu vert des médecins !

Le 30 mars 2015 à 12:10 par Benoît Carlier

La star des Pacers n’a toujours pas joué le moindre match cette saison et les médecins du club ne semblent pas pressés de le voir reprendre la compétition. À ce rythme là, Paul George se dirige tout droit vers une saison blanche.

À moins de dix matches du dernier buzzer de la saison régulière, Indiana aurait grandement besoin de son franchise player afin de valider son ticket pour les Playoffs. Dixièmes à l’Est, les Pacers ne sont qu’à un demi match des Nets, huitièmes et virtuellement qualifiés en postseason. Paul George se dit prêt à reprendre depuis quelques jours, mais le staff médical de la franchise de Larry Bird juge qu’il est encore trop tôt, ou a littéralement perdu le dossier de l’international américain derrière le radiateur. Dans les deux cas, c’est un moment critique pour Indianapolis qui reste sur 7 défaites lors de ses 9 derniers matches, mais disposera d’un calendrier légèrement favorable par rapport à ses adversaires directs pour terminer la saison. Le retour de PG-13, gravement blessé lors d’un scrimmage avec le Team USA l’été dernier, serait un avantage de poids pour Frank Vogel mais la décision ne revient pas au jeune coach des Pacers.

« Le double All-Star a déclaré après l’entraînement de samedi qu’il avait passé tous les tests pour pouvoir rejouer mais qu’il attendait toujours le feu vert des médecins pour faire ses grands débuts lors de la saison 2014-2015, » pouvait-on lire sur Yahoo! ce week-end.

Les quatre prochains matches seront décisifs pour Indiana qui rencontrera successivement Brooklyn, Boston, Charlotte et Miami soit ses quatre concurrents directs pour une place dans le Top 8. L’heure de vérité a sonné.

L’horloge tourne pour les Pacers qui vont devoir prendre une décision rapidement sous peine de voir les Playoffs leur échapper pour de bon. Il serait peut-être temps de faire confiance au joueur lui-même, non ?

Source : Yahoo!

Source image : USA Today


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