Top 10 : mais qui sont les joueurs NBA à ne surtout pas inviter à bouffer pour les fêtes ?

Le 21 déc. 2014 à 17:51 par Giovanni Marriette

Top 10

Classement un peu spécial aujourd’hui, à quelques jours des fêtes qui devraient tous nous offrir au moins un cadeau, à savoir quelques kilos supplémentaires sur la balance. Et à ce niveau-là en NBA, certains phénomènes ont aussi leur mot à dire ; c’est le moins que l’on puisse dire. On a donc essayé de recenser ces 10 joueurs de la ligue que vous ne devrez surtout pas inviter pour les fêtes, au risque de devoir hypothéquer votre maison… Un Top 10 sponsorisé par KFC, Burger King, Andre-Pierre Gignac, Oliver Miller et Big Ali.

PlaceJoueurLe mot du pèse-personne

10°

Nikola PekovicNikola PekovicNikola gagne sa place dans ce classement uniquement à la force des biceps. Véritable montagne de muscles, le Monténégrin est considéré par beaucoup comme le joueur le plus “dur” de la ligue. Ce n’est d’ailleurs pas Brandon Knight qui dira le contraire. 2m11, 132 kgs et des mains capables de soulever plusieurs mecs à la fois, un regard de tueur au moins aussi impressionnant que sa barbe d’ours mal léché, voilà de quoi vous faire réfléchir longtemps avant de payer une bouffe au joueur des Wolves. Parce que c’est bien pour ça qu’il est là aujourd’hui dans ce classement le Niko. Parce que pour lui un poulet n’est pas un plat, c’est une entrée. Parce qu’il ne boit pas de l’eau à la bouteille mais du sang au tonneau. Non on vous le dit, on vous le conseille et on vous le répète, ne l’invitez pas. Car en plus de vider votre frigo, vous avez vous aussi des chances de vous faire bouffer. Vraiment.

Jared Dudley Jared DudleyOn avait laissé Jared Dudley a Phoenix, dans la peau d’un poste 2/3 rapide, plutôt athlétique et excellent shooteur. On a retrouvé l’an passé en Californie un poste 2/3 grassouillet, pas du tout athlétique et ayant perdu son shoot. Bah oui, quand on a récupéré au vol un kilo de graisse à chaque poignet, pas facile de régler la mire. Si vous conviez Jared chez vous pour Noël, privilégiez les légumes verts car il semblerait que la junk-food ne lui convienne pas trop et aille directement se loger dans de jolis petits bourrelets. D’ailleurs, preuve de la transformation du néo-nounours, même son bandeau semble avoir grossi, au contraire de son pourcentage aux tirs qui lui maigrit à vue d’œil, malgré un léger – comme quoi ce mot ne lui est pas inconnu – mieux depuis quelques semaines. On peut inverser maintenant ? On en reparle en janvier, quand il n’y aura plus de foie gras.

Jason Maxiell Jason Maxiell Peut-être pas le plus gros tout court mais très probablement dans le Top 3 des plus gros boules de la ligue. A côté du sien, le popotin de Nicky Minaj parait tout plat et celui de Kim Kardash’ semble avoir disparu… La légende dit également qu’un jour, en s’asseyant au bout du banc, il a propulsé son coach au sixième rang de la salle à la force du contrepoids. Bon en même temps si le petit monsieur faisait à peine le poids de l’une des fesses de Jason… On lui conseille pour ce mois de décembre de ne pas abuser des huiles et autres corps gras, ce genre d’aliments ne lui réussissant apparemment pas, preuve en est ce tour de taille de 64, rarement vu pour le commun des mortels… Allez, vu qu’à ce point-là y’a plus rien à faire, tu reprendras bien un peu de pâté croûte Jason ?

Al Jefferson   Al Jefferson2m08, 131 kgs. Là aussi un certain embonpoint au niveau de l’arrière-train, sauf que dans ce cas-là le “Big Al” s’en sert plutôt bien pour poster ses défenseurs. Pour la défense par contre c’est une autre histoire… Mais rien que le fait d’avoir gagné un surnom avec le mot “big” dedans vous place un gars d’office dans ce classement. On ne sait pas ce que bouffe le pivot des Frelons tout les matins au petit dèj mais ce qui est sûr c’est que ce n’est sûrement pas du miel. Ou alors par kilos, voire par tonnes, tellement l’assise du bonhomme est potelée. Il faudra d’ailleurs faire très attention à sa consommation pendant les fêtes car un retour après les fêtes d’un Jefferson trop grassouillet pourrait bien couler pour de bon une équipe des Hornets à la peine depuis le début de saison…

Kendrick PerkinsKendrick PerkinsLE CHOUCHOU ! Ah on l’aime notre Perk’… Tout en gras du bide, tout en moues bougonnes et tout en talent balle en main … ou pas. Kendrick n’est pas spécialement un bibendum à proprement parler mais il est boursouflé de partout. Du muscle certes, mais aussi pas mal d’enrobé tout autour, ce qui lui donne toujours cet air de bull-dog pas content et c’est d’ailleurs ce qu’on aime chez lui. Un gros cou, des grosses miches, l’escroc le pivot du Thunder a tout ce qu’il faut là ou il faut pour intégrer ce classement. Jamais contre un rab de cassoulet, il est l’exemple typique du mec à ne pas convier chez soi pour un dîner, de peur de voir votre stock de conserves disparaitre aussi vite que la carrière de Brandon Roy…

Zach Randolphzach randolph L’un des plus fidèles représentants du club des gros cubes, et peut-être d’ailleurs le plus talentueux. Fini l’époque des JailBlazers où il distribuait autant de marrons qu’il en mangeait à Noël. Aujourd’hui Zach s’est rangé, mais sans pour autant donner sa part au chien ou à Marc Gasol quand il s’agit de remplir son assiette… Avec ses 118 kilos sur la balance, dont une bonne dizaine laissée en route grâce à une hygiène de vie améliorée, Z-Bo est assurément parmi ceux qui ont le mieux appris à se servir de leurs “arrondis rebondis” pour faire carrière. Et je vous vois venir les petits coquins, on parle évidemment de basket…

Jared Sullinger Jared SullingerDommage que ce soient les pieds qui comptent car quand Jared est aux LFS, ses fesses sont à 3 points. Et il est peut-être là le souci avec Sully : s’il n’arrive pas à se trouver un vrai poste en NBA, c’est bien parce que son corps est à deux endroits en même temps… Avec 120 kilos sur la balance, dont une bonne quinzaine située entre le bas du dos et le haut des cuisses, l’intérieur des C’s fait partie des poids lourds de la ligue, au propre comme au figuré. Et si sa bouboulerie lui permet de sanctionner les défenses de près, sa détente proche de celle d’un éléphant en fin de vie lui empêche malgré tout d’être influent au rebond (5,8) et au contre (0,7). Pas grave, le simple fait de pouvoir compter Sully dans son roster permet aux Celtics de faire tourner les fast-foods de la ville. Ça fait aussi partie du biz’…

Raymond FeltonRaymond FeltonL’histoire du poids de Raymond remonte à son arrivée à Portland en 2011, quand les Blazers s’attendaient à récupérer un starter solide pour finalement hériter d’un mec avec des joues de hamster et un ventre de femme enceinte. On ne saura jamais combien de burgers le futur meneur des Knicks et des Mavs se sera englouti pendant le lock-out mais toujours est-il que la franchise de l’Oregon a grincé quand le bibendum a débarqué… Une mésaventure qui le suit toujours aujourd’hui, chaque contre-performance de Felton depuis lors (à chaque match en fait) étant l’occasion de toutes sortes de punchlines à base de ketchup/mayo… Avec des mensurations d’1m85 pour 95 kilos (et donc presque 105 il y a 3 ans…), il est le plus petit représentant de la grande famille des bien portants. Attention d’ailleurs aux prochains mois car vu la concurrence à son poste à Dallas, on pourrait bien le retrouver bientôt noyant sa peine dans un saladier de sauce Tex-Mex…

Boris Diaw     Boris DiawOn le sait, notre Babac aime le pinard, le Brie de Meaux et les plateaux de fruits de mer. Mais quand on voit les formes généreuses du Boris 2014, on ne peut que se féliciter car quelques années auparavant lors de son passage à Charlotte, c’est essentiellement à base de pizzas que notre “Président” devait se nourrir. Pas loin d’attendre les 300 kilos sur la balance à cette époque, se laissant même pousser un début d’afro, Babac était clairement au bout du rouleau en Caroline du Nord. C’est pour cela qu’aujourd’hui, son poids est certes souvent sujet aux moqueries mais avouez qu’on a finalement évité le pire … On ne vous conseille tout de même pas trop de faire de Boris l’un de vos hôtes à Noël car de toutes façons vous n’en n’auriez pas les moyens. Pas assez de thunes sur votre compte et tout simplement pas assez de place dans le frigo pour y stocker toute la charcuterie. On vous conseille par contre de zieuter le physique de Boris avant, et après. Quelque chose nous dit que le malin risque une fois de plus de bien profiter des fêtes. Il aime la vie que voulez vous ?..

Glen Davis     Glen DavisMais qui d’autre ? Monté à plus de 140 kilos à son “pic de forme”, “Big Baby” n’est pas seulement plus gros joueur de la ligue mais c’est surtout celui qui porte le mieux les bourrelets. Déjà car il n’est pas à proprement parler un “géant” (2m06) mais aussi car l’équipementier des Clippers se fait apparemment un kif depuis quelques temps en donnant à Glen des tenues une ou deux tailles en dessous histoire de laisser apparaître au choix des jolies poignées d’amour ou alors carrément un beau décolleté du plombier… On se rappelle tous de ce gros bébé qui pleure face à Kevin Garnett en 2008 mais ce dont on se souviendra jusqu’à notre mort, ce sont bien ces parquets qui tremblent à chacun des pas du mammouth natif de Bâton-Rouge… Le plus beau des gros qui remporte donc cet award officieux de l’ennemi public des repas de Noël…

Voilà pour ce classement spécial fête de fin d’année qui, à défaut de vous apprendre quelque chose, vous poussera peut-être à ralentir sur la bouffe dans les prochains jours, histoire de ne pas vous transformer en Raymond ou en Glen. Et c’est toute la mission qu’on s’est d’ailleurs fixée aujourd’hui : divertir les fans de basket tout en les avertissant du danger de manger plusieurs poulets par repas, et cela plusieurs fois par jour… Sur ce, on vous souhaite quand même d’agréables fêtes de Noël, dans le plaisir mais aussi la retenue. Et au fait, pas de repos pour la NBA donc pour suivre tout ce qui se passe chez les cousins, vous connaissez l’adresse…

image de couverture : @NBA_AMANN pour TrashTalk


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