“Big Panda” : Bradley Beal va t-il nous faire une Boris Diaw ?

Le 10 mai 2014 à 18:41 par Clément Hénot

S’il existe des joueurs ayant un certain embonpoint dans le monde de la NBA, comme Glen Davis, Jared Sullinger ou encore Raymond Felton pour ne citer qu’eux, peu d’entre nous étions prêts à parier que Bradley Beal faisait partie de ces joueurs qui mangent pour huit personnes à chacun de leur repas.

Et pourtant, il semblerait que Beal ait le même appétit pour ses repas que Gérard Smith et Nick Young pour les tirs forcés. Si bien qu’il aurait été affublé de l’un des sobriquets les plus déjantés de la NBA : “Big Panda”, c’est le meneur Garrett Temple qui aurait relayé l’information. C’est ensuite à John Wall de nous expliquer sa vision des choses à ce sujet.

“A chaque fois que l’on sort pour manger ensemble, il choisit le plus gros menu, et le pire, c’est qu’il arrive toujours à finir. Pour être honnête, parfois je n’arrive pas à terminer mon assiette. Mais lui, il trouve toujours un moyen pour tout manger !”

Si Beal est donc un énorme mangeur, cela ne se voit pas forcément sur sa silhouette. On espère donc que l’animal a une éthique de travail proche de celle de Ray Allen, joueur à qui il était fréquemment comparé dès son entrée en NBA, pour compenser son alimentation démesurée. Mais John Wall nous délivre encore un autre détail bien croustillant, dans les deux sens du terme.

“Il adore la pizza, il mange vraiment beaucoup de pizza mec…”

Bradley Beal aurait reçu une grosse commande de pizza de la part d’une chaîne de restauration de Saint Louis, sa ville natale durant le premier tour des PlayOffs face aux Chicago Bulls, et l’intéressé ne semble pas en être réellement dérangé.

“Ils m’ont envoyé cinq pizza, j’en ai mangé deux, il m’en reste encore trois à manger.”

L’arrière sophomore serait donc en voie de “AnthonyBennettisation” à force de manger comme un sagouin alors que la NBA réclame une hygiène de vie irréprochable à tout joueur souhaitant durer en NBA, on espère toutefois que Beal arrivera à se rationner et/ou à percer durablement dans la ligue. Dans tous les cas, si son surnom persiste, il deviendra impossible de lui dire non.

source image : NBA.com
source texte : Bleacher Report


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